La France au temps

nte monarchie

La monarchie est régie par la loi salique : la succession est le 1er enfant mal que le roi a eu avec une reine, pour pas que le royaume n’appartienne à une femme et le fragilise, comme dans d’autres pays. Pb : quand Henri IV est légitime selon ça, mais il est protestant. Alors, que faire ? le droit du sang doit être plus fort. Donc, le roi ne peut pas changer ça, déshériter son 1er fils,… Roi très chrétien, et de droit divin : n’a pas de compte à rendre, même au pape (qui a pourtant essayé). Roi « empereur en son royaume » : n’a pas de compte à rendre à l’empereur du St-empire romain germanique, n’a personne au-dessus de lui. Le roi a gagné des territoires en périphéries, et donc étend l’unité du royaume, il n’y a plus de domaines ennemis. Le roi lève l’impôt régulier : la taille, que paye le tiers état, alors que c’était exceptionnel avant, et avec des longues négociations.

II) L’affirmation d’une nouvelle puissance

Charles Quint, contemporain et rival de François 1er.

A) Charles Quint

A hérité, par Marie de Bourgogne (sa grand-mère), des Pays-Bas. Région très peuplée, urbanisée, riche (carrefour An/empire/Fr), meilleurs systèmes agricoles. Héritage chevaleresque des Habsbourg.

Est l’héritier, par sa mère, des rois catholiques : d’Aragon et de Castille, et du royaume de Grenade, après la Reconquista. Donc aussi Sardaigne, Sicile et Naples. Sa mère (Jeanne la folle) a la Castille et l’Amérique.

15 : à la mort de son grand-père Maximilien (le germain), pb de succession, pk il n’avait pas nommé de successeur. Mas Charles Quint parvient à l’avoir. Donc a maintenant le meilleur empire. Sacré par le pape. Doit mener les fidèles, en croisades. Héritier de Charlemagne,… donc doit faire régner la Pax romana. Et empereur chrétien : doit protéger des Ottomans, musulmans.

Pb : empire, mais quand même des divisions, villes un peu autonomes, il faut toujours négocier.

B) Les atouts de l’Espagne

Es et Por sont les pionniers dans les aventures atlantiques.1ers à avoir découvert l’Am, jackpot par la Castille ; qui veut garder le monopole du commerce, contrôle le départ des populations vers l’Am, et contrôle tout le commerce (le roi touche 20%).

Paye les soldats ; elle peut emprunter, on a confiance en elle.

Fr : J. Cartier, mais pas de grandes richesses, vers le Ca.

L’armée espagnole entoure la Fr, a la Franche-Comté, le Milanais,… armées de lanciers, infanteries plus forts.

Pb : il cumule les titres, mais « roi d’Es », ça n’existe pas ! est tout le temps obligé de respecter les coutumes locales. Négocie avec toutes les assemblées dans tous les territoires. Ses sujets ne parlent pas les mêmes langues, Charles Quint doit toutes les apprendre.

Il nomme à sa succéssion : l’empire allemand à son frère Ferdinand, donc tous les problèmes qui vont avec.

Son fils Philippe II, It,, Es,… grandes différences aussi.

III) Les théàtres d’affrontements

Le roi de Fr est le plus puissant au XVe,… se tourne donc vers l’It

A) Les guerres d’Italie 1494-1559

Principaux lieux d’affrontement.

Terre d’art.

Terre sacrée, Rome, et pont pour les pèlerinages vers Jérusalem.

Tradition d’aller se venger, venger l’honneur de ses ancêtres, ...

Le roi de Fr est héritier du duc d’Anjou et de Naples, donc la monarchie fr va revendiquer ses droits. Mais pas de grandes victoires, on n’y arrive pas vraiment. Aussi revendique Milan.

Aussi : appelé par les Italiens. It = pleins de petits Etats (pape, Rome, Naples, venise, Florence,…), qui font souvent appel aux externes (empire, Es, Fr), et demandent de l’aide. En 1525 : Rome est pillée par l’empire. Le Fr se pose souvent en protecteur.

Jusqu’en 1525 : c’est la Fr qui gagne. Après : c’est l’empereur, l’Es. 1559 : paix avec l’Es, traité du Cateau-Cantresie, l’It est en paix sous l’hégémonie de l’Es. « pax hispanica », Fr/Es. Mariages.

Mais ça cache les guerres civiles :

B) La guerre couverte au temps des guerres de religion

Pirates Fr protestants, qui pillent les navires espagnols, avec un peu le soutient du roi de Fr.

En 1598 : le roi du Por disparaît en guerre au Maroc ; succession : pb entre roi d’Es et Catherine de Médicis.

Les guerres de religion éclatent au Pays-Bas en 1566, et fait la division Bel/Hol. Ce qui a fait éclater les guerres : présence des troupes espagnoles aux Pays-Bas ; l’Inquisition ne plait pas, la zone est plus laïque. Et Philippe II n’a pas trop de lien avec les Pays-Bas, et ne pourra plus avoir de faveurs. La monarchie espagnole a peur que la Fr devienne protestante ; peur qui culmine en 1589, lorsque le roi nommé est un protestant (Henri IV). La Ligue est alors soutenue par l’Es, l’ambassadeur es vient exciter les masses.

C) Les alliances françaises

Pour lutter contre l’Es.

Turquie : de plus en plus forte et proche. D’abord alliance commerciale, de privilèges. Puis : demande la flotte ottomane pour prendre Nice (la flotte est alors hébergée à Toulon). Scandale, pour un roi chrétien héritier des croisades.

XVIè : la Fr cherche l’amitié de l’An

La France dans la Renaissance

Redécouverte, en It puis par là en Fr, de L’antiquité, Aristote, Cicéron, et l’art (statuts d’hommes à cheval). « X-Age » par opposition à l’âge d’or. Dégoût d’avant le XVès

I) La France et la découverte de l’Antiquité

L’Antiquité est une source de richesses ; on descend d’une grande famille. Pareil pour les villes : prestige de l’ancienneté, si évangélisées dans l’Antiquité,…

On considère que les anciens sont un réservoir de savoir, de sagesse : religion : Bible, sagesses Aristote,… Acusations d’avoir été abimés, par les changements de la langue, par les invasions arabes du XI-XIIè, par les universités médiévales qui ont trahit ces textes. humanisme = retourner aux sources.

A) Les langues anciennes

Les langues parlées sont sans grammaire, instables, bilinguisme fr-régional. N’appartiennent pas à une politique. 1400s : 1eres grammaires du fr écrites, en latin !

Il faut les parler pour pouvoir lire les textes des anciens. Bible en latin, et avant en grec, et hébreu. Grec pour lire Aristote, Platon,… Les humanistes veulent parler grec pour dire que la Fr est d’origine grèque. Mais en Fr, les universitaires n’aiment pas trop parler les langues anciennes, ou mal. Et pour convertir les Juifs, il faut avant connaître leur culture, pour pouvoir les comprendre profondément. Débat : aller prendre quels auteurs ? Prendre un peu chez tous, ou plutôt se faire un et un seul modèle ? Mais certains pensent que c’est débile, il faut les prendre mais les adapter, car le monde a changé. Débat sur Cicéron : qui parlait sa propre langue ; pour l’imiter, il faut donc bien parler sa propre langue, l’améliorer,… 1549 : Du Belay : dit comment enrichir les langues modernes : faire des grammaires du fr en fr, traduire les anciens textes en grec et latin en fr, forger des néologismes à partir de mots grecs et latins, introduire du patois dans la langue. Rôle de la coure, des avocats,… qui parlent bien et véhiculent la bonne langue.

B) La sagesse des anciens

Beaucoup d’humanismes sont des pédagogues : précepteurs, professeurs, maîtres,… remettent en cause l’idée qu’ils ne doivent que former des théologiens, médecins ou juristes. Veulent le retour des « humanités » (la culture G), pour faire un homme (un citoyen), bon-vrai-beau : se connaître soi-même. Veulent s’intéresser à l’éducation puérile (de l’enfance) et des femmes (oubliées) qui éduquent les enfants. Veulent réhabiliter la réthorique : bien penser, donc bien parler, l’éloquence. Aussi par la poésie, écartée au X-Age pk « obscène », mais débile parce qu’est un savoir de la nature.

Dans l’université de Paris, on dit qu’il faut un programme : étudier tel auteur,… ON voit se faire des classes de niveau : c’est le « modus parisiensis ». Au X-Age : pas de lieu d’université : les cours ont lieu sous les porches des églises, ou dans des petites salles (collèges). Donc : création de collèges dans des villes qui n’avaient pas d’universités (Lyon,…).

C) Les appuis des humanistes

Les princes

Roi et coure les accueillent, en ont besoin (médecins, précepteur, comme Rabelais