Les Suds Face à La Mondialisation
Commentaires Composés : Les Suds Face à La Mondialisation. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiress les échelles, depuis la scène mondiale jusqu’aux
territoires les plus restreints, villages ou quartiers urbains, en passant par tous les
niveaux intermédiaires. Elles s’établissent en s’appuyant sur des réseaux de natures
diverses : réseaux des firmes transnationales, réseaux d’échanges de marchandises,
réseaux financiers, d’infrastructures, de communication, réseaux migratoires. Les
porteurs de projets peuvent s’inscrire dans l’un ou l’autre de ces champs, s’intéresser à
l’un ou l’autre de ces réseaux, privilégier l’une ou l’autre des échelles, ou plusieurs
d’entre eux ou elles. Ils peuvent investir les « terrains » des « Nords », leurs économies,
leurs sociétés, leurs Etats, dès lors que cet investissement contribue directement à
l’explication de phénomènes qui intéressent les Suds. Mais comment mesurer ces inégalités ?
Considéreront en premier lieu le P.I.B produit intérieur brut, donc toutes les valeurs ajouté produit par les agents économique sur un territoire. Par exemple la France a un P.I.B de 41 000 Dollars par habitant. Mais cela ne tien pas compte de la réalité de vit des citoyens, elle ne tien pas compte de l'autoconsommation, par exemple en Afrique les gens mange se qu'il cultive donc le P.I.B est plus bas, mais alors comment ferait-il s'ils devais acheter leur nourriture ! On ne tien pas non plus compte des activités illégales, et non plus du pouvoir d'achat. Nous constatons alors que la richesse ne suffit pas à comprendre la réalité humaine. Les démographe on donc mis en place en 1972 le P.N.V.D donc programme des nations unis pour le développement. Cette organisme a inventé alors un nouvelle indicateur l'I.D.H qui se compose en 4 facette additionner : le P.I.B, l’espérance de vie, l'alphabétisation, l'éducation des enfants. Ainsi l'I.D.H devient le chiffre plus représentatifs de la réalité, 0 et nul mais 0,1 est déjà un a prendre vraiment en considération.
Pendant longtemps, la modernisation des formes sociales, politiques et économiques
des sociétés des « Suds », non-occidentales, fut interprétée sur le mode de la
déstructuration, voire de la destruction pure et simple, des relations sociales et des
systèmes sociétaux autochtones existants. Mais certain de ces pays sont intégré à la mondialisation, on en attribue les causes à l’imposition forcée de nouvelles productions agricoles et de nouvelles activités économiques, comme par exemple en Arabie Saoudite, un pays qui vit essentiellement d'une seul activité, l'hydro-carburant, qui contribue fortement à la richesse du pays, mais qui a long terme, peut aussi devenir un problème majeure, car cette production fini, ils n’auront alors quasiment plus d'entré d'argent dans le pays. Sont n'I.D.H est de 0,8 donc moyen.
Or Les évolutions les plus récentes, celles qui se sont opérées pendant à peu près le dernier demi-siècle et qui se marquent par la libéralisation des économies et la généralisation des échanges et de la production, par le fait que l’Etat-nation n’est plus le repère global du progrès économique, politique et social, par le succès du libéralisme politique, ont apparemment accru cette
hétérogénéité. C’est tout particulièrement le cas des nouveaux phénomènes de
mondialisation, qui, bien que se référant à des valeurs revendiquées comme
universelles : libéralisme et marché, droits de l’homme, démocratie. Ont des effets
différenciés selon qu’ils s’appliquent aux puissances asiatiques émergentes dont la Chine, l'Inde Appelé aussi les pays ateliers, ils participent à la délocalisation, ils permettent le fonctionnement de cette mondialisation, car la plus grande partie des production mondial se font dans ces pays, selon un rapport officiel on constate que 50 % des I.D.E vont vers la Chine. En effet la Chine produit
60 % des photocopieur, 60 % des vélo et jouer et 50 % des ordinateurs et chaussures en production mondiale. A Bangalore en Inde se trouve la capitale informatique, cette technopôle créer un contraste dans le pays, car il s'implante alors de grande écoles universitaires, des usines de productions, il y a 150 mille ingénieurs en informatiques dont toutes les marques du monde sont présents ! En comparaison nous pouvons prendre Sillicone Valley dont il y a 120 mille ingénieurs. La mondialisation s'implante dans des endroits ou l'ont ne pouvais imaginer auparavant.
Nous pouvons considéré aussi qu'il y a des pays ou états partiellement intégré a la mondialisation on les appelles les P.V.D donc les pays en voie de développement. Ceux qui connaisse un décalage industriels mais partiels, une tertiarisation. On peut considérer que plusieurs siècles
d’économie mondialisante ont permis d’adapter les organisations sociales non
capitalistes à certaines caractéristiques simultanément productives et marchandes,
extérieures à leur contrôle, dans le temps où l’apparition de nouvelles formes de la
reproduction domestique et démographique, de nouvelles catégories de travailleurs et,
plus généralement, de nouvelles formes d’organisation du travail, ont permis de
réorganiser les sociétés de façon inédite. Prenons par exemple la Tunisie qui développe un tourisme ahurissant, mais qui en vient à créer une acculturation au sein du pays. Ces pays sont trop dépendant de la triade et des quelque commerce mondial qui les fait marcher, il ont en générale un I.D.H entre 0,7 et 0,8 donc plutôt moyen.
Un autre degrés à considérer sont les P.M.A donc les pays exclue de la mondialisation, ils constitue toutes l'Afrique Subsaharienne, car ces 1% des I.D.E alors qu'il sont sont 12 % de la population mondial, 50 % des enfant non scolariser vive en Afrique Subsaharienne. Quelque pays en Asie comme le Pakistan et Bangladesh sont aussi classé P.M.A. Ont n'assiste pour tous ces différent degrés et critère a se qu'on appelle une transition démographique.
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En effet, les sociétés des Suds sont affectées par des mouvements de long terme associés à
la baisse de la fécondité, à l’élévation de l’âge du premier mariage des femmes, au recul
de la mortalité, qui se traduisent par un ralentissement plus ou moins sensible de la
croissance de la population des pays des Suds. Ces évolutions conduiraient à un
alignement des modèles de population des Suds sur un schéma commun, mais
cette hypothèse, tout comme la notion de « transition démographique », pose des
problèmes dont débattent les démographes et des spécialistes d’autres disciplines. On
estime néanmoins que ces mouvements, dont les rapports sont plus ou moins étroits
avec l’urbanisation, le changement des modes de consommation, les progrès inégaux
de l’instruction des jeunes filles tout particulièrement et de la dispensation des soins. Se combinent avec des évolutions économiques variables selon les pays pour modifier en profondeur les structures familiales, les relations intergénérationnelles, ainsi que les perspectives de mobilité économique et sociale des jeunes.
Le contexte historique et socio-culturel de la création des technologies fait que, dans la
plupart des cas, celles-ci ont été élaborées dans les pays des Nords ; elles sont
donc nettement situées, marquées par l’environnement de leur conception, et
matérialisent des idées, des rapports de force, des enjeux de pouvoir et des
représentations culturelles spécifiques. Leur utilisation dans les sociétés des pays des
« Suds » suscite donc des interrogations légitimes relatives aux modalités de transfert
de ces technologies parfois, voir souvent considérées comme « occidentales » dans la
critique d’un néo-impérialisme technologique à la fois technique, économique, culturel
et linguistique. La question des modèles, des effets annoncés, des effets mesurés, des
conflits liés à leur mise en œuvre, de la pluralité des acteurs grandes firmes, Etats,
organisations internationales, groupes d’intérêt, présente donc un intérêt incontestable
pour la recherche. Mais les pays qui composent les « Suds » ne sont pas passifs dans ce transfert : leur consommation
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