Ntroduction À La Philosophie

humanité mais devient contraire autre, c’est-à-dire la connaissance est caractérisée par un certain nombre de traits qui caractérise un peuple, une nation, un pays. La connaissance devient la particularité d’un peuple, d’un lieu. Le fait d’habiter dans ce lieu, la connaissance s’impose à vous. Il y a donc un pouvoir auto-civilisateur du fait de la puissance. Il ya une forme de hiérarchisation absolue de la connaissance. C’est une vision de la connaissance ethnocentrique.

C’est de toute cette histoire que c’est développé la culture c’est un processus centré sur l’individu centré sur l’individu, visant un raffinement intellectuel par une fréquentation assidue des œuvres. Ceci explique pourquoi, le poids de la lecture est si importante en France, Angleterre, Allemande etc. quelque soit l’ampleur des connaissances, un être humain soucieux de son progrès, dans l’ordre intellectuel, et bien se soumettra à l’impératif d’un idéal ( jamais atteint ) dans l’acquisition du savoir mais également dans le déploiement d’opérateur conceptuel de nature à lui assurer la maitrise symbolique de sa situation dans le monde et ce au moyen de la réflexion.

C’est de l’ensemble de ce poids, de cette héritage que va surgir le développement de la notion de culture en terme singulier et en terme de pluriel. La culture VS les cultures et ceci est née de la confusion de nos contemporains.

Le changement à lieu au cours du 19eme siècle, et on va être conduit à parler de cultures et de passer à une acception universaliste à une acception singularisée.

Le phénomène va être augmenter par l’avènement de l’anthropologie (sc humaines ou sociales), qui va augmenter l’opposition entre LES et LA culture, mais également la sociologie de max Weber. Weber affirme qu’il est méthodologiquement impératif de rejeter tout jugement de telle ou telle culture. Weber precrit la règle de ne jamais hierarchiser les cultures entre elles. Cette position parait bienveillante mais peut conduire au problème de relativisation de la compréhension du mot culture et peut conduire à un certain relativisme. Weber met l’accent dans son analyse des processus de la culture, sur l’idée de valeur plutôt que sur la notion de fait. Cette thèse explique pourquoi il ya un usage inflationniste du terme de culture aujourd’hui.

Si dans l’Histoire de la pensée on a pu dire que la connaissance est le propre de l’homme, si la connaissance est le propre de l’homme, c’ets que l’humain serait un animal négateur, c’est-à-dire un animal qui n’acceptera pas ce qu’il est, il n’accepterait s’il était un supposé de nature.

On pourrait dire que l’humain se sent comme le produit de son propre dépassement ou transcendance. Il cherche à transcender l’ensemble des faits naturels dont dépend son existence biologique.

I - Problèmes Généraux.

1.1 De certaines question à propos de statuts de « connaissances scientifique » et de certaines différences que peut recouvrir l’épistémologie des sciences humaines.

Notre intérêt à étudier le problème épistémologique dans les sciences sociales découle :

- Les sciences humaines et sociales sont des savoirs et des discipline en constant bouleversement et constitution.

- Elles se sont constituées depuis des modèles de disciplines scientifique

dites exactes ou dures qui leur sont le plus souvent hétérogènes et qui

sont aussi dans une relation complexe à la psychologie pour certaines.

Le poids des neurosciences essaie d’affirmer l’autonomie dans sciences psychologiques.

- Les sciences humaines et sociales ont des conséquences concrètes et pratiques sur l’homme et la femme et leur environnement. Elles peuvent être ainsi soumises à des pressions d’intérêts externes et peuvent donc