Synthese Bts Image Du Corp
Mémoire : Synthese Bts Image Du Corp. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirescacher ce qui pourrais déplaire à la société. Cette réaction protectrice, que l’homme met en place, Marguerite Duras, nous en parle et nous le démontre dans son récit « la vie matérielle » publié en 1987 par les éditions P.O.L, puisqu’elle déclare que « ce changement est fait volontairement par l’être humain, mais pour de mauvaise raison, car ils le font pour obtenir le respect de la société et par politesse ». Ces trois auteurs, que nous venons d’étudier ne sont pas des auteurs de la même époque, puisque nous pouvons voir que les dates des différentes publications sont assez hétérogène. Cependant, les idées ne sont pas forcément en contradiction, comme on aurait pu l’imaginer, au contraire. Une idée les lie. En effet, ils se rejoignent un a un pour nous dire que si l’être humain effectue ces changement, c ‘est pour être, entre autre, « respecter et reconnue » de la société mais alors, reste a savoir et comprendre pourquoi l’homme souhaite absolument changer son apparence plutôt que de rester telle que la nature l’a décider au départ ?
Dès notre naissance, chaque être humain est classé selon différent critères : taille, poids, couleur de cheveux, origine ethnique… mais nous somme également identifié au sein de notre entourage proche/familial (parents, frères et sœurs…). France Borel, déclare dans sont essai, que « dés la naissance nous somme déjà catalogué ». En effet, selon lui, nous somme marqué dès le départ, par notre classe sociale. Chaque personne joue plus ou moins en grandissant avec son identité et les « faux semblant ». C’est pour cela que l’homme se sert ou utilise différent moyen de faire pour procéder à sa transformation. Selon aussi son degré de motivation. En revanche, une autre partie souhaite rester dans l’authenticité. Il peut arriver que l’homme porte un uniforme pour un travail ou dans un cadre sportif. Il en résulte, qu’il y en a pour qui cela ne posera pas de problème, puis d’autre qui auront un sentiment de « dégrader leur propre image qu’ils véhiculent ». Marguerite Duras, nous en parle dans son récit et celle-ci nous expose la réalité des faits. Il y a maintenant quelques années, l’idée qu’elle mettait en avant était celle que, lorsque nous portions un uniforme que nous n’aimions pas, les gens se servaient de ces vêtements comme un moyen de changer d’appartenance, et d’identité. A l’époque, aucun jugement n’était possible. Cela n’a pas empêché la société de trouver un autre moyen pour obliger les générations futures à s’identifier et se créer une nouvelle personnalité.
Ainsi, pour nos trois auteurs, l’image du corps n’est rien de plus qu’un moyen de pouvoir s’identifié et de se faire reconnaître dans le monde. Le plus triste, dans tout cela, c’est que la société d’aujourd’hui nous pousse à effectuer des changements sur nos corps sans forcément prendre en compte les conséquences désastreuses psychologique et humain que cela peut engendré
Depuis des années, les hommes se servent de leurs corps comme un moyen de s’exprimer, mais aussi comme un moyen d’identification afin d’appartenir a un groupe, par exemple. Nous voulons tous, plus ou moins, ressembler à un modèle, à une personne réelle ou imaginaire, proche de ce à quoi nous aimerions ressembler. Reste à déterminer le degré d’importance qu’engendre un tel changement. En nous appuyant sur le texte de France Borel, « il n’y a pas de place possible pour les métamorphose ». Mais celles-ci peuvent être simple tel que : se faire percer les oreilles ou l’épilation d’une manière générale. Cela devient plus grave lorsque, les changements sont important tel que le changement de sexe, d’un homme voulant devenir une femme ou inversement. Il est clair que nous vivons, aujourd’hui, dans une époque qui encourage de nombreux bouleversement physique, les tatouages, voir même, plus grave, les scarifications sont devenus des rituels auxquels de nombreuses personnes ont recours, et pas forcément dans des milieu « type » dit de rock, gothique ou autres. De plus, dans l’article de presse de « Science et Vie », l’auteur se base sur la théorie suivante : aujourd’hui dans notre société de consommation, nos vêtements de « tout les jours » ne sont que des prétextes pour « se donner et refléter une image » qui peut se distinguer à travers une marque, un groupe de personne, une célébrité qui jouent alors, un rôle de « prescripteur ». Nombreux étaient les enfants, il y a quelques mois, qui souhaitaient avoir
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