Dossier sur l’affaire Guillon vs Besson

vant, que Guillon qui aurait pu être bien plus dure que ca dans ses propos en faisant référence par exemple à LAGO.

En général de nos jours il pense qu’il est de plus en plus dur de pouvoir s’exprimer librement en comédie sur des thèmes comme la religion par exemple faisant notamment référence à Hara-kiri ou en encore à Charlie Hebdo mais explique bien que la première vocation d’un humoriste est d’apporter un sourire.

Jean-Luc Hees PDG de la radio France Inter prends cette affaire très au sérieux et nous énonce comment il perçoit la situation. Il énonce bien que l’humour dans son première aspect à presque tout les droits mais que M. Guillon n’en possède apparemment que deux qui sont l’acceptabilité des citoyens et celle des grandes valeurs morales qui scellent le pacte républicain.

Pour lui le temps des références aux yeux de fouines, au nez crochu etc... doit s’arrêter, il présente les attaques sur l’aspect physique comme intolérable.

Et a tenu à s’excusez auprès du ministre à se sujet, apologie qu’il estimait comme nécessaire afin de soutenir ses valeurs morales.

Synthèse :

Dans sa chronique sur France Inter le lundi 22 mars, M. Stéphane Guillon avait présenté le ministre de l'Immigration dans un portrait fictif comme "la taupe du FN". Une chronique qui était restée en travers de la gorge de Éric Besson, qui avait immédiatement répliqué, puis proposé un face-à-face à l'humoriste, avant de signer une tribune dans Libération, le 29 mars 2010 où il présentait Guillon comme quelqu'un de "lâche" et de "raciste". Après la chronique de Stéphane Guillon, le PDG de France Inter, Jean-Luc Hees, à tenu à présenté des excuses du groupe à M. Éric Besson.

Situation commenté dans une interview avec M. François Morel chroniqueur sur France Inter qui considère les propos de M. Besson comme démesuré à l’égard de M. Guillon et soutient la thèse de la caricature. Pour lui un humoriste à pour premier but de faire rire un publique.

Or, à cet égard, nous avons une histoire, qui nous enseigne que l'attaque personnelle, fondée sur le physique des personnes, fait partie de ces valeurs infranchissables de l’humour de nos jours et surtout en politique.