Histoire de jérusalem
Documents Gratuits : Histoire de jérusalem. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresde Canaan « fils de Cham ». Hormis cette référence à la table des peuples (Genèse, X, 15-19), les Cananéens sont d'origines diverses et organisés en clan jusqu'à ce qu'ils disparaissent complètement à la fin du deuxième millénaire av. J.-C. Vers la fin du règne de Salomon, roi d'Israël, les Cananéens étaient pratiquement assimilés au peuple hébreu sur lequel ils semblent avoir exercé une influence religieuse.
Tous les peuples s'installèrent au pays de Canaan avec leurs dieux. Aussi, de la rencontre de ces peuplades naquit une religion composite où les dieux furent assimilés les uns aux autres. Les divinités Baal et Ashtoreth semblaient toutefois dominer ce panthéon.
En ce qui concerne la langue, il semblerait qu'elle soit à l'origine de l'hébreu et que le phénicien soit lui-même une forme primitive d'hébreu. Des découvertes récentes indiquent en effet qu'avant la conquête du sud du pays de Canaan par les Hébreux, les Cananéens et les Phéniciens constituaient une seule nation.
L'Exode
Une partie des Hébreux émigre plus tard en Égypte, à la recherche d'un mieux-être. L'événement se déroule du temps de l'occupation du delta du Nil par les Hyksos.
D'après la Bible, Joseph, fils de Jacob (ou Israël) et petit-fils d'Isaac, serait devenu du fait de sa grande sagesse le Premier ministre du pharaon. Il aurait alors invité ses onze frères à le rejoindre.
Bientôt victimes de vexations, les Hébreux seraient revenus à Canaan sous la conduite du prophète Moïse, environ 1200 ans avant notre ère. Ils étaient sans doute quelques milliers et les chroniques égyptiennes n'ont pas gardé trace de leur migration. Celle-ci nous est seulement connue par le deuxième livre de la Bible, l'Exode, rédigé plusieurs siècles plus tard.
Après de longues vicissitudes dans la péninsule du Sinaï, les Hébreux se partagent les riches terres de Canaan, la «Terre promise». Chacune des douze tribus issues de la descendance de Jacob reçoit son lot à l'exception des descendants de Lévi, auxquels Moïse, selon la Bible, a réservé l'exercice du culte.
Splendeur et gloire
Vers 1400 av J.C (2360 du calendrier juif) : après avoir installé l’arche d’alliance à Shiloh, près de Schechem (Nablus), Joshua lance une incursion dans Jérusalem (Joshua 10:23, 15:63)
Arche d'alliance,
Dans le judaïsme, coffre sacré. Fréquemment mentionnée dans la Bible, l'arche est décrite dans l'Exode, XXV, comme un coffre en bois d'acacia. Elle était également appelée arche de la Loi, arche de témoignage ou arche de Dieu. Le coffret mesurait 1,15 m de longueur et 0,69 m de largeur et de hauteur ; il pouvait être transporté à l'aide de barres placées sur les côtés. L'arche repose dans le Saint des Saints, enceinte sacro-sainte du Tabernacle puis du Temple de Jérusalem. Selon différentes sources, le coffret contiendrait le bâton d'Aaron, un pot de manne et les tablettes en pierre du Décalogue, les dix commandements. Aujourd'hui, dans les synagogues, le terme « arche » désigne le coffret qui contient les rouleaux de la Loi utilisés pour le service sacré.
L'arche d'alliance est le symbole de la promesse éternelle, irrévocable et indestructible de DIEU faite à son peuple de ne jamais l'abandonner, même si certains faits comme la Shoa pouvaient faire croire le contraire. Elle contient les tables de la Loi (1) telle qu'elle a été énoncée et écrite de la main de DIEU.
Celle-ci ayant disparu il y a quelques 3000 ans au moment de la fin du règne du roi Salomon, abandonnant le culte du vrai DIEU pour celui, idolâtre, de ses concubines, plusieurs hypothèses sont actuellement prises en considération :
• La véritable arche aurait été emmenée et cachée en lieu sûr par la reine de Sabat en Ethiopie pour échapper au pillage et aux convoitises des armées Babyloniennes, Romaines ou autres..
• Une réplique l'aurait remplacée pendant quelque temps sur son site d'origine comme le relate les Ecrits anciens et la tradition Talmudique.
• Au début des années 90, des archéologues Israéliens l'auraient localisée au cours de leurs explorations souterraines dans un tunnel effondré sous le mont du temple mais suite à ce remue-ménage, les autorités Musulmanes encore propriétaires du sous-sol en auraient interdit l'approche en murant les orifices permettant d'y accéder.
D'autres thèses tout à fait crédibles, d'origine diplomatiques en particulier font état de transactions secrètes entre des agents du Mossad et des dirigeants Ethiopiens corrompus qui auraient monnayé le retour de plusieurs milliers de juifs Ethiopiens vers Israël et la restitution de l'Arche.
Le retour de ces juifs Ethiopiens (2) est connu, vu les difficultés d'adaptation et de reconnaissance que ceux-ci rencontrent dans leur nouvel environnement, confinés dans des mobile homes sur des terrains colonisés et le plus souvent privés d'emploi. Selon des sources tout aussi crédibles, des Lévites entraînés au rituel de manutention de l'Arche (3) l'auraient tenue sur leurs épaules pendant son transfert dans un avion cargo. L’Arche serait à présent sur le territoire d'Israël attendant que le temple soit réédifié pour y être à nouveau entreposée.
Une réapparition de l'Arche, reconnue comme étant une garantie d'invincibilité ou d'invulnérabilité assurée par DIEU, inciterait un certain nombre de juifs exilés à retourner en Israël et accélérer ainsi le processus de mise en place des signes précurseurs du Retour de Jésus-Christ pour les chrétiens, les juifs messianiques et/ou de la venue du Messie pour les Israélites. Elle représente pourtant un intérêt mineur à la fin des temps :
" [...] Lorsque vous aurez multiplié et fructifié dans le pays, En ces jours-là, dit l'Eternel, On ne parlera plus de l'arche de l'alliance de l'Eternel; Elle ne viendra plus à la pensée; On ne se la rappellera plus, on ne s'apercevra plus de son absence, Et l'on n'en fera point une autre. (Jer 3/16)
Une allusion y est faite cependant en Apocalypse :
" [...] Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l'arche de son alliance apparut dans son temple. Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, un tremblement de terre, et une forte grêle. (Apoc. 11/19)
- celle-ci d'autre part, représenterait un motif de courroux et un " Casus belli " pour l'Antichrist. Sans compter que dans une perspective mystico-occulte, l'Arche aurait valeur de " talisman " pour le Dictateur qui, à l'instar d'Hitler désireux de s'approprier la lance qui aurait transpercé le flanc de Jésus-Christ sur la croix et qui était exposée à la chambre du trésor du palais de la Hoffburg à Vienne en Autriche, avait mis en place une agression éclair, l'Anschluss afin de s'en emparer et la rapatrier sur l'Allemagne, à Nuremberg où elle fit l'objet d'ostension et de pèlerinage à la cathédrale.
L'Arche confère des pouvoirs à ceux qui en ont la garde et en conformité avec la volonté divine.
" [...] Allons chercher à Silo l'arche de l'alliance de l'Eternel; qu'elle vienne au milieu de nous, et qu'elle nous délivre de la main de nos ennemis. (1 Sa 4/3)
Elle permet par exemple de traverser le Jourdain dont les eaux se sont retirées et séparées comme pour la mer rouge avec Moïse.
" [...] Les sacrificateurs qui portaient l'arche de l'alliance de l'Eternel s'arrêtèrent de pied ferme sur le sec, au milieu du Jourdain, pendant que tout Israël passait à sec, jusqu'à ce que toute la nation eût achevé de passer le Jourdain. (Jos 3/17)
" [...] Lorsque les sacrificateurs qui portaient l'arche de l'alliance de l'Eternel furent sortis du milieu du Jourdain, et que la plante de leurs pieds se posa sur le sec, les eaux du Jourdain retournèrent à leur place, et se répandirent comme auparavant sur tous ses bords. (Jos 4/18)
Au cours du milieu de l'Age du bronze, dès le XVIlle siècle avant l'ère chrétienne, une muraille massive fut élevée autour de la cité, dont une section d'une trentaine de mètres a été mise au jour au-dessus de la vallée du Kidron. Des constructions dégagées à l'intérieur de cette enceinte donnent une idée de la vie de la cité durant cette période.
Les découvertes datant de la fin de l'Age du bronze (1600 - 1200 avant l'ère chrétienne) se révèlent rares et décevantes, en contraste marqué avec l'idée communément admise selon laquelle Jérusalem aurait été un centre urbain cananéen important, et qui repose sur des archives du quatorzième siècle avant découvertes à Tel-el-Amarna en Egypte, et mentionnant le roi de la cité de Jérusalem. Le chapitre dix du livre de Josué décrit la défaite d'Adoni-Cédek, roi de Jérusalem, à la tête d'une coalition de cinq rois amoréens. Défaite mais non conquête de la ville, puisque Jérusalem est ultérieurement mentionnée dans Juges XIX, 10-12 comme une cité jébuséenne (Amoréens et Jébuséens faisant partie de la communaut des Cananéens).
Approximativement
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