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Histoire des théories d'apprentissages

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avoir le temps de réguler pendant le mouvement.

Principe de la théorie :

Contrôle en boucle fermé, pour lui les mouvements que l'on réalise sont toujours comparés à une mémoire qui sert de référence. Avant de pouvoir réaliser un FB, il faut d'abord lancer le mouvements et donc il met en évidence qu'il y a deux types de mouvements :

Une trace mnésique qui est une mémoire pour lancer le mouvements. La mémoire du bon geste qui permet de dire que lorsque l'on a une référence en mouvement pour réguler le mouvement :

Une trace perceptive du mouvement, nécessité d'un comparateur.

C'est une théorie basé uniquement sur les FB, ces FB sont envoyés aux afférences et quand il y a un égard il faut savoir réguler tout cela.

(Schéma sur Diapo)

La trace mnésique lance le mouvement, ce mouvement génère une activité musculaire qui est déclencher, cette activité musculaire génère des FB kinesthésique et ces FB sont comparé à la trace perceptive. Il y a donc a ce moment une comparaison entre les FB réel et les FB qui été attendus.

En 1970, on résume l'apprentissage moteur par cela.

Il est essentiel d'apprendre, lorsque l'on apprend un mouvement, s'il n' y a pas de trace perceptive on ne peux pas apprendre un bon mouvement mais il y a un paradoxe, les bonnes sensation on ne les a pas parce que justement on ne connaît pas ce mouvement on arrive pas a le faire.

(Schéma diapo)

Pour ADAMS, la trace mnésique est un modeste programme moteur, le seul but est d'initier le mouvements et cela donne la première direction du mouvement. La trace mnésique n'est pas le plus important, le plus important c'est de former la trace perceptive pour pouvoir apprendre un mouvement.

Le plus important est de faire acquérir chez le sujet de :

Détecter l'erreur

Corriger l'erreur

Ce sont les deux capacités indispensables pour apprendre un nouveau geste, dans son idée à chaque fois que l'on fait un mouvement, on laisse une trace dans cette mémoire, on imprime une mémoire perceptive. Et pour que cette trace soit indélébile au bon moment, il faut le retenir, la connaissance du résultat est indispensable. La connaissance du résultat à toujours été un paramètre indispensable.

En partant de ce principe ADAMS préconise d'éviter les erreurs. Il faut placer les apprenants dans des contextes de réussite absolue, qu'il ne fasse pas de mauvais gestes et en sa il se détache tout de suite de THORNDIKE. On dans une pédagogie intégriste de la réussite, éviter les erreurs.

La conséquence de cette idée est de préconiser un travail en standard (toujours les mêmes conditions).

Connaissance du résultat, pour lui cette connaissance est une information sur l'erreur, c'est indispensable surtout en début d'apprentissage pour emmener le sujet vers la bonne réponse. Le sujet doit comprendre comment réduire cette erreur. Activité cognitive de compréhension de l'erreur, cela guide les mouvements et réguler le mouvements.

Par contre, il dit que la connaissance du résultat est indispensable au début mais ensuite il faut presque l'enlever car une personne qui apprend un geste petit à petit elle n'as plus besoin du résultat pour connaître le bon mouvements ce qu'on appelle le renforcement subjectif.

Pour ADAMS c'est essentiel de développer cette capacité de détection de l'erreur sans connaissance du résultat parce que la trace perceptive est suffisamment fiable.

Un problème à résoudre c'est que en essayant un mouvement, l'élève doit se rapprocher de la bonne réponse. La connaissance du résultat c'est le point de départ de l'élaboration de cette stratégie pour se rapprocher du mouvement.

→ 2 étapes dans l'apprentissage :

Étape verbale-motrice, le sujet se parle à lui même, fait des hypothèses et modifie sa stratégie.

Étape motrice, contrôle automatique du mouvement, il n' y a plus besoin d'une connaissance de résultats.

Le sujet à conscience de ce qu'il fait bien ou de ce qu'il fait mal et c'est une étape où le sujet à besoin de la connaissance du résultat comme il n'a pas de trace perceptive. Dans l'étape motrice, le sujet possède une trace perceptive, la connaissance du résultat n'est plus indispensable on est dans le renforcement subjective.

Conclusion : la théorie d'ADAMS est une théorie cognitive car le sujet utilise l’information sur l'erreur et aussi perceptive, la perception à un rôle très important pour le mécanisme de référence, la cognition est très important pour se rapproche du bon geste notamment en début d'apprentissage. Comment nous sur le terrain, faire en sorte de faire vivre la bonne sensation ? Et c'est loin d'être très évident. Chez tous les auteurs dans les premières années d'apprentissage il y a une activité cognitive très importante ce qui veut dire que quand le débutant apprend un seul geste, il faut passer du temps dessus, apprendre un geste en soi c'est une activité cognitive, normalement en début d'apprentissage, ce n'es pas la même chose qu'en fin d'apprentissage.

Les points fort de la théorie, la connaissance du résultats c'est une information sur l'erreur et donc guide les essais à venir. Au niveau des FB, il y a une explication, les FB sont associés à une référence.

Il n' y a pas de distinction entre les mouvements rapide et les mouvements lents, mouvements rapide dans les boucles fermées extrêmement rare, sa théorie exclu les boucles ouvertes.

La variabilité de la pratique donne de meilleur résultats. Si pour chaque mouvements il y a une trace et si pour chaque autres mouvements il a une trace il faut mémoriser énormément de trace et de mouvements pour être compétent dans plusieurs domaines.

C'est points faibles vont permettre à SCHMIDT de dépasser celle-ci.

La théorie des schémas, qui explique l'apprentissage des habiletés motrices discret. Propose une théorie sur quelque chose de plus large.

Pour lui il existe deux mémoires qui mémorise des choses différentes :

La mémoire de rappel, c'est la mémoire qui est solliciter quand on déclenche le mouvement mais pour SCHMIDT cette mémoire est déjà un régulateur, il va définir des paramètres, amplitudes forces, et déclenche les paramètres d'un programme moteur général en fonction des conditions.

La mémoire de reconnaissance, qui ressemble un peu à la trace perceptive et qui a pour fonction d'évalué la réponse motrice.

D'un côté le schéma de rappel et de l'autre le schéma de reconnaissance. (Voir schéma)

On prend le temps de mémoriser les connaissances, schéma de rappel et de reconnaissance, il faut entretenir leur finesse et leur précision et donc même les sportifs les plus habiles tentent de mémoriser sensoriellement et perceptivement le bon geste pour pouvoir s'y référer.

Théorie de SCHMIDT : « l'apprentissage consiste en les paramétrisation d'un programme moteur général défini par les invariants temporels (durée des phases du mouvement et ordre des séquences), spatiaux (amplitude) et cinétiques du mouvement. A partir de ces différentes paramètres utilisés lors de la mémoire assurerait la paramétrisation des mouvements à accomplir. La connaissance du résultat dans des conditions initiales variables apparaîtrait indispensable pour l'affinement et la paramétrisation du programme ».

Grâce aux schémas de rappel qui va spécifier les programmes de mémoire de rappel et elle permet donc d'envoyer des ordres moteurs sans avoir de retour d'information on est donc en boucle ouverte, à la fin du geste il y a une évaluation du mouvement qui affine la mémoire de reconnaissance.

Pour les mouvements lents les théories proposent une contrôle en boucle fermée on a donc le schéma de reconnaissance qui va réguler en cours d'action les ordres du schéma de rappel.

Le programme moteur général ou P.M.G. Structure générale du mouvement, les invariants du mouvement :

L'ordre des éléments

Homothétie spatiale:proportion d'espace

Homothétie temporelle : relation de phase entre les éléments

Force relative, rapport ou proportion des tensions entre les muscles reste constant.

Pour SCHMIDT tous les mouvements sont piloter par rapport à un pilote générale et on ne peux que affiner ce que gros pilote générale.

La spécification par les paramètres :

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