Introduction théorie de la communication
Compte Rendu : Introduction théorie de la communication. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresanisation du travail collectif.
La facilité des transports ouvre également des marchés plus grands. La communication peut s’effectuer par des fleuves (communication fluviale : Egypte, Chine, Bengal…). Ce type de communication se développe quand d’autres moyens de communication plus poussés n’existent pas dans certains pays dû à la pauvreté. Les industries s’implantent le long des rivières et des mers, notamment pour pouvoir mieux communiquer.
La théorie d’Adam Smith est partiale.
Théories des marchés du monde entier : indice de croissance, marchand citoyen du monde.
La coopération et la division du travail
Cette nouvelle réflexion d’Adam Smith provient de deux auteurs : E.Wakelfield et Babbage.
=> correctif sur le concept de base > la coopération
(il va faire référence dans les figures de la communication moderne du 19e siècle)
Un seul aspect du problème : la division du travail. Une seule partie d’un principe économique et d’un principe politique général. Elle peut être simple ou complexe.
La coopération simple : réunion de plusieurs ouvriers qui vont s’entraider dans un travail. (Par exemple sur un navire, déplacer des objets sera un premier pas sur le travail social)
Sa théorie : le produit de ce travail va être proportionnel au nombre de personnes.
La coopération complexe : plusieurs ouvriers de spécialités différentes vont s’entraider mais par une division des opérations.
Les hommes y sont séparés. Donc il leur faut de l’esprit pour se rendre compte qu’ils coopèrent.
Il va attribuer une pratique pour la séparation du travail. Il préconise d’installer une population agricole et une population urbaine, il l’étend dans l’espace géographique.
* Naissance du marché d’échange : organisation de la société qui débouche sur la société de flux.
Malthus et la concurrence vitale :
Pour Condorcet, pour qu’il y ai équilibre entre ce qui est produit, il faut supprimer ces inégalités. Hypothèse optimiste : partage pour tous.
Mais à la fin du 18e siècle se forment d’autres théories. Un homme un peu horrible qui s’appelle Malthus va être contre cette notion de lois.
C’est un pasteur, qui se centre sur une chose simple. Il va vraiment à contrario de ce projet de société évolutive. Il va prendre pour cible tous ces systèmes d’égalité. Au-delà de ces systèmes, il va aussi prendre pour cible tout ce qui vise à la perceptibilité de la société. Pour lui, la cause de la pauvreté et de la misère n’a aucunement à voir avec la forme du gouvernement ou même l’inégale division des biens.
Il dit des choses terribles. Il rend responsable le peuple à un retour au despotisme. Avant lui, les théories sont liées aux progrès, à la recherche de l’égalité. Ces théories menacent les gens du pouvoir, ceux qui ont de l’argent.
Le 19e siècle, les premières fabriques et le monde se divisent en deux : les pauvres et les riches.
Grâce à ce fondement, les flux vont arriver et des modèles vont se développer. Certains vont vivre encore, d’autres non.
Au modèle révolutionnaire, il va opposer l’évolution à l’ordre, et à l’utopie humanitaire il va opposer une réalité d’un état moyen plus grand. Etat moyen favorable à la vertue, industrie, au talent de tout genre.
Autre notion de Malthus : l’imitation pour lui, les classes inférieures vont imiter les classes moyennes à 3 conditions :
* Que l’on n’ôte pas l’espérance de s’élever
* Que l’on laisse jouer le ressort de l’intérêt personnel
* Que l’on laisse une fonction régulatrice majeure perdurer => la propriété et le mariage.
Malthus s’oppose à toute intervention de l’Etat envers les pauvres. Dans cette société moyenne, les supérieurs et inférieurs sont inévitable mais utiles.
« Espérances raisonnables » : Il propose qu’on diffuse son principe de population et sa théorie.
Il va sans cesse trouver une espèce de consensus nécessaire à l’évolution. Pour lui, leaders d’opinions = esprits mécontents qui cherchent à révolter le peuple.
A travers son modèle de société régulée par un Etat moyen, Malthus est le premier à lier la question démographique comme outil de gouvernement à une stratégie cohérente de communication.
Il n’est pas étranger à une expérience de prédicateur (homme d’Eglise).
L’essai de Malthus forme un nœud essentiel dans la formation d’une théorie de la fonction régulatrice des institutions de l’équilibre social.
METHODOLOGIE ECRIT
Dans un cadre d’essai rédactionnel : montrer au correcteur notre capacité à représenter notre réflexion étape par étape
Un plan structuré s’établie en trois parties :
* Thèse (I)
* Antithèse (II)
* Synthèse (III)
* Pour cette dernière partie, soit la réflexion procède par opposition, soit par complémentarité ou par continuité
Les trois parties sont le socle de l’argumentation. Elles sont encadrées par une introduction et une conclusion.
L’introduction et la conclusion sont des parties formelles, qui ne nécessitent donc pas d’argumentation.
L’introduction présente un sujet, une problématique et également les documents utilisés. Elle contextualise et présente le plan adopté.
La conclusion est une partie dans laquelle on prend du recul par rapport au sujet. Elle peut ouvrir le sujet vers des domaines voisins.
Il faut présenter le plan et quelques éléments d’argumentation issus de ce texte.
Lorsqu’on rédige une problématique, il est intéressant et plus simple de la formuler sous forme de question. Il est intéressant de proposer une problématique large, de partir du général pour aller au cas particulier.
Saint Simon ou la philosophie des réseaux
Qu’est-ce qu’un réseau ?
Un réseau est un ensemble de personnes reliées entre elles par des relations de service ou de dépendances.
Où en trouve-t-on et à quoi servent-ils ?
On en trouve sur Internet, dans les secteurs professionnels, familiales… => partout
Théorie de St Simon
Elle repose sur une utopie d’une société égalitaire. Son projet : les réseaux vont créer une société égalitaire.
Ses disciples souhaitent que cet idéal devienne un principe de réalité : il faut réorganiser la société.
C’est une idéologie de la communication, mais pour St Simon, les réseaux de communication sont envisagés comme créateur du nouveau lien universel.
La métaphore de l’organisme renvoie à un projet de science exacte et appliqué à l’organisation sociale. La biologie régule le rythme du corps. En observant la logique du vivant, les sciences de la vie vont exclure tous recours à des considérations extrascientifiques, d’ordre métaphysique ou théologique. Il n’y a plus de Dieu horloger suprême.
Nouvelles
...