L'Omc

ndre l’idée de multifonctionnalité agricole sans pour autant créer de distorsions sur les marchés mondiaux.

Cependant l’épaisseur sociale des négociations ne concernent pas uniquement l’agriculture.

Plus on ouvre les marchés plus la dimension non marchande de la régularisation commerciale sera présente.

Du côté européen : questions environnemental et sociales seront de plus en plus mise en avant

Du côté des pays du sud :

* Plus grand accès aux marchés industriels

* Plus grande ouverture des marchés de services (demandé par l’Inde)

* Interrogation sur les liens entre le commerce et le développement :

* L’ouverture est bénéfique au développement

* Si l’ouverture devient une fin en soi sans réformes institutionnelles et sociales internes aboutira a un renforcement des déséquilibres sociaux (ex : Mexique)

Paradoxe OMC : Comment continuer à parler de libéralisation des échanges quand cette libéralisation se trouve de plus en plus connectée à des enjeux sociétaux qui ne sont pas déductibles à la seule rationalité économique et que cette institution n’est à priori pas en mesure de prendre en compte ?

Abolir l’OMC => protectionnisme qui reviendra

Réduire l’agenda de l’OMC au seul domaine de l’accès au marché => accentuer la perte de légitimité sociale du libre échange

Demander à l’OMC de prendre en compte les facteurs non économiques => risque de faire de l’OMC l’organisation de la gouvernance mondiale.