Le barbier de séville de beaumarchais

ant, Alonzo. Il prétend être le remplaçant de Don Bazile qui serait atteint d'une maladie. Rosine reconnaît Lindor et accepte une leçon de chant qui se transforme en duo d'amour. Figaro attire Bartholo dehors, et pendant ce temps Don Bazile fait irruption dans la maison, mais grâce à une bourse d'argent il est mis à la porte... Alonzo a donc réussi à se débarrasser de Don Bazile et à préserver la supercherie. Cet acte est marqué par 2 quiproquos (sur l’identité du compte Almaviva : Lindor et Alonzo) et par le rôle de la musique qui se révèle dramatique à l’annonce d’un amour impossible et comique lorsque Bartholo se ridiculisera en chantant.

Le tuteur et Don Bazile s'accordent sur le mariage qui devra avoir lieu à minuit dans cet acte IV mais le notaire est absent.. Bartholo apprend à Rosine que son bien-aimé Lindor est en vérité le messager du comte, celle-ci est humiliée et promet sa main à Bartholo. Dans la nuit, après que le comte eut dévoilé sa véritable identité à Rosine. Les deux amants signent leur mariage quelques instants avant que Bartholo ne revienne à la maison. Don Bazile a signé en tant que témoin. L’acte IV, permet à tous les acteurs de se réunir sur scène (typique de la comédie), révèle un comique de caractère ( l’argent et Don Bazile) mais aussi un passage de la comédie à la satyre puisque l’autorité du compte est vue comme un abus.

En conclusion, la diversité des comiques et le multitude de procédés qui l’y amène permettent à la pièce de s’enrichir. De plus, le jeu des acteurs avec leur gestuel, les déplacements, les expressions du visage ou encore la mise en scène de par les costumes les décors ou le jeu des lumières accentuent le comique. Enfin pour avoir lu l’œuvre l’année dernière j’ai trouvé cette représentation plus agréable car ce Barbier de Séville se révèle tout en nuances et extrêmement rythmé.