Lettre 30, Les Lettres Persanes, Montesquieu
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récit très différent que au début du texte, moins vivant, plus orienté vers l'analyse
découverte de l'indifférence « néant affreux » : traduit absence de regards et de conversations
l.24 : montre qu'il n’intéresse plus personnes
II- 1) le champ lexical de la vue
ce champ lexical est très présent et large ds le texte
opposition entre ce champ et celui du 2eme paragraphe
nb éléments (verbes, noms, expressions...) qui soulignent que le connaissance et le jugement qui suit snt lié
-verbes : l.2 « fut regardé » l.3 « voir » « regarder » l.24
-expressions qui suggèrent le même action : l.4 « se mettant au fenêtre » « m'entourais » « cent lorgnettes dressées »
-noms : « figure » l.8 « l'air » « portrait » « physionomie » « ornement »
2) La mise en évidence de l'apparence
champ lexical qui glisse progressivement vers l'apparence ainsi ce n'est pas la personnalité de Rica qui ns interresse mais sn image. Choix des termes « figure » ….. reprit par « physionomie » et expliciter par « ornement étrangers » pr prévenir qu'il y a erreur sur la personne : confirmer par la nouvelle situation de Rica.
3) prise de conscience de la réalité
opposition net entre les deux situations de Rica
1er : reconnaissance du caractère persan
2eme : interrogations, interloqué, double interrogation devant la possibilité d’existence de ce caractère persan.
Ds la 1er situations, curiosité des parisiens fortement souligné mais encore plus frappant : la reconnaissance de l'air persan (l.10) cm si l’habit régissait sur physionomie et l’être lui-même
au contraire ds la 2eme partie : indifférence des parisiens, met accent sur la réalité l.20 « ce que je valais réellement »
Rica fait une analyse de la réalité, personne ne s’intéresse à lui tout est négatif, c'est son costume qui le rendait intéressant.
III- 1) la critique des parisiens
mis en évidence par : une facilité à être très curieux, le parisien est attiré au moindre spectacle de rue, insistance sur la naïveté des parisiens
critique d'un comportement générateur de préjugés et d'idée tte faites
2) la critique d'un comportement peu réfléchit
crédulité des parisiens, cette illustration sur 1 jugement de l'apparence engendre des erreurs
incapacités de faire la différence entre deux choses, erreurs généralisés, apparence pr réalité, apparence ne représente pas la réalité.
Rica croit qu'on le regarde alors que c'est son apparence qui est la source de ts ces regards.
3) une réflexion philosophique et sociologique
identité de l'homme, cette réflexion révèle que le jugement qui porte sur l'identité mémé est faux
le jugement a besoin de points de repères et en fessant des parisiens de véritables enfants, montre leur difficultés de raisonnement.
Conclusion : Montesquieu souligne fragilité de ce sur quoi ns fessons reposer nos jugements et opinions
il attire attention sur la base de sa démarche : faire éclater un système d'apparence au profits
d'une réalité peu satisfaisante mais qu'il faut revoir et corriger
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