Macroéconomie

ique donc la fonction de production « f » ne change pas au cours du temps.

Il va donc y avoir une égalité entre 2 fractions :

Y(t)/N = fonction (K(t) / N)

Cette montre la relation entre action et capital. Lorsqu’on a un niveau élevé de travailleurs, on a un niveau de capital plus élevé.

a. Production et investissement

Hypothèse 1 : On suppose que l’économie est fermée.

L’emploi est égale à : (la force du travail X 1) – taux de chômage.

Hypothèse 2 : On se concentre sur l’épargne privée. On néglige le rôle du gouvernement G.

Avec ces hypothèses on a donc PIB : Y = C(consommation) + I (investissement)

On dit aussi que : S(épargne) = Y – C

On suppose donc que l’épargne est proportionnelle au revenu ; donc S = s(Y)

Le taux d’épargne va donc prendre une valeur entre 0 et 1.

L’investissement sur une période t est une proportion à épargner sur une période t :

It = s(Y)t

Plus la production est élevée, plus l’investissement sera important.

b. Investissement et accumulation du capital

On travaille sur la relation entre investissement (qui est un flux) et capital (qui est un stock).

On considère la relation entre les deux sur une période t, on va mesurer cette relation en disant : K(t+1) = (1-£)Kt = It

K(t+1) : le capital sur une année t+1

1-£ : dépréciation de ce même capital

It : Investissement sur une période t

c. Relation entre taux d’épargne et production

On considère qu’il y a un effet du taux d’épargne sur la croissance.

1 : Le taux d’épargne a-t-il un effet de long terme sur la croissance de la production par le travailleur. On considère que le taux de croissance de l’économie est nul et donc il n’y a pas de relation en taux d’épargne et taux de croissance. Ex : USA

2 : Est-ce que le taux d’épargne détermine le taux de production par travailleur sur du long terme. On peut observer que les pays détenant un taux d’épargne élevé, auront un niveau de production par travailleur sur le long terme.

Est-ce que l’augmentation du taux d’épargne entraine une réponse plus élevée dans le temps ?

Il y aura des phases, on peut le dire dès que l’économie atteint un niveau stationnaire.

2) Le progrès technique et taux de croissance

a. Relation entre progrès technique et fonction de production

Dimension 1 du progrès technique : Le progrès technique permet d’augmenter la production avec un même niveau capital travail.

Dimension 2 du progrès technique : Le progrès technique permet de produire avec une quantité supérieure.

Dimension 3 du progrès technique : Le progrès technique permet de créer de nouveaux produits.

Dimension 4 du progrès technique : Le progrès technique permet de produire une plus grande variété de biens.

Le progrès technique réduit le nombre de travailleurs par production créée. Il fait augmenter la quantité de travaille par effectif.

b. Interaction entre production et capital

Elle permet de travailler sur les déterminants de la croissance.

La production par travailleur augmente avec le capital, mais elle augmente de moins en moins vite.

On remarque que l’investissement est égal à l’épargne grâce aux progrès technique et on va pouvoir connaître la quantité d’investissement par travailleur afin de maintenir un stock d’investissement de capital par travailleur.

c. La dynamique du capital et de la production sur la croissance

Elle va nous intéresser à partir du moment où le taux de croissance est stationnaire, c’est à dire lorsqu’il est égal au taux de croissance de la population + le taux de progrès technique.

Le taux de croissance est indépendant de l’épargne.

Dans un état stationnaire, toutes les variables (capital, travail, effectif et production) si elles augmentent au même taux, alors c’est « le sentier de croissance équilibré ».

On a alors deux conséquences :

* Le capital lié au travail ainsi que le capital lié à la production sont constants

* Le capital et la production augmentent en fonction du taux du progrès technique.

d. L’influence du taux d’épargne

On considère que le taux de croissance de la production dépendra uniquement su taux de croissance de la population et du taux de progrès technique.

En fonction de l’augmentation du taux d’épargne, on va avoir une convergence vers un niveau d’équilibre plus élevé.

III/ Les déterminants du progrès technique

1) La fécondité du processus de recherche

Relation entre la recherche et le taux de progrès technique. Il s’agit du niveau de dépense alloué à des résultats pour des nouveaux produits.

Il y a trois niveaux de fécondité :

1. La fécondité dépend de la relation recherche fondamentale / recherche appliquée

2. La fécondité dépend de la nature des recherches fondamentales d’un pays.

3. Quel est le nombre d’année qu’un pays est capable de mettre à disposition pour un travail de recherche ?

2) L’appropriabilité des résultats de la recherche

Quel est le niveau d’appropriation et d’intégration de ces recherches ?

IV/ Les faits empiriques de la croissance, une nouvelle perspective

1) Accumulation du capital ou progrès technique ?

On va essayer de mesurer 3 faits empiriques :

Elle peut se relier avec le progrès technique : Si on mesure une croissance soutenue, un ralentissement ou une convergence ; on constate que la croissance s’organise vers un sentier de croissance équilibré, car le taux de progrès technique est élevé. Il y a donc un rapport entre le capital et le progrès technique.

Pendant les 30 glorieuses ont a vu un progrès technique très élevé mais on a pas observé une accumulation du capital, c’est ce qu’on appelle un taux de rattrapage.

Après en 1974 on a eu le choc pétrolier

La convergence en terme de production par travailleur provient de progrès technique et non pas de l’accumulation du capital.

IV/ Les secrets de la croissance et le rôle des institutions

1) La nouvelle économie

Faut-il une politique industrielle ?

Faut-il un potentiel de progrès technique ?

La nouvelle économie serait un facteur de croissance.

Les TIC ne suffiront pas pour augmenter la croissance, c’est seulement un facteur.