Mon expérience dans l’aide et l’accompagnement d’une personne dans les actes de la vie quotidienne
Note de Recherches : Mon expérience dans l’aide et l’accompagnement d’une personne dans les actes de la vie quotidienne. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresyage des surfaces et du matériel en collaboration avec l’IDE
* Bio nettoyage du sol selon protocole
* Respecter le circuit propre et sale
* Installer le matériel pour une nouvelle séance
* Incitation au lavage du bras fistuline pour les patients valides selon protocole
* Commande des repas et de l’épicerie selon protocole
* Réunir le samedi les feuilles de commande et les relevés de température pour transmission au siège
Dans quel lieu ?
Je travaille dans un centre d’hémodialyse AURAR (Association pour l’Utilisation des Reins Artificiels à la Réunion)
Quels types de personnes avez-vous aidé ?
Je viens en aide à des personnes autonomes, semi autonomes ou dépendantes, de tout âge qui sont atteintes d’une insuffisance rénale chronique terminal. Il n’y a que la greffe rénale qui peut les guérir. Avec des pathologies surajoutées à savoir le diabète qui est une maladie dans laquelle on observe un trouble de l’utilisation du sucre par l’organisme du fait d’un dysfonctionnement du pancréas qui ne libère pas assez d’insuline dans l’organisme.
L’hypertension artérielle est fréquente chez les personnes atteintes d’insuffisance rénale. Les reins sains produisent une hormone appelée rénine qui contrôle la tension artérielle quand le rein est malade il le produit à des taux anormaux c’est ce qui provoque l’hypertension. De plus la tension artérielle augmente lorsqu’il y a surcharge en eau.
L’excès d’eau dans l’organisme fait augmenter le volume sanguin provoquant une forte pression dans les artères. Ainsi l’accumulation d’eau entre les dialyses favorise l’hypertension artérielle souvent sans signe. Elle peut provoquer des maux de tête, malaise, œdème aigu (surcharge d’eau dans les poumons) si ça devait arriver cela nécessiterai une dialyse immédiatement.
1) Dans votre expérience, choisissez deux situations où vous avez accompagné des personnes pour la toilette, l’habillage, le repas, l’élimination et le déplacement
Situation 1 :
C’est une femme de type créole blanche de 68 ans qui est très coquette vit en couple. Elle a 2 fils qui vie en Métropole, l’un est policer l’autre est facteur ils vivent en région parisienne. Elle est en insuffisance rénale terminal depuis 10 ans due à une Polykystose rénale (maladie génétique caractérisé par la présence de kystes dans les reins). Cette dame est tombée à son domicile, son bras gauche est emplâtré et elle à des difficultés pour s’alimenter car sa fistule est implantée dans le bras droit (la fistule est obtenue par la création chirurgicale d’une anastomose entre une artère et une veine artificiel).
Dans quel endroit étiez-vous ? Etiez-vous seul ou avec d’autre ?
J’étais en salle de dialyse avec l’IDE et les autres patients.
Quelle aide avez-vous apportée à la personne ?
Décrivez concrètement ce que vous avez fait.
Après la distribution des plateaux repas j’ai vu que la patiente ne pouvait pas se servir et je suis venu m’occupé d’elle. J’ai posé le plateau sur l’adaptable. Je lui ai dit que j’allais la mettre assis et remonter le dossier, j’ai demandé à l’IDE de m’aider lors de la mobilisation pour protéger la fistule. Je me suis mis à gauche du lit car son bras droit est fistilisé et le générateur de dialyse était aussi du côté droit. En passant à gauche j’avais plus de place pour la manipulation. J’ai mis ma main gauche sous sa nuque et ma main droite sous ses jambes en lui demandant de m’aider en poussant avec ses pieds pendant que je la soulève l’infirmière n’a fait que surveiller. Une fois que cela a été fait j’ai pris la télécommande du lit et j’ai remonté le dossier du lit. J’ai avancé l’adaptable au plus près d’elle et je lui ai demandé si elle était bien installée, elle m’a répondu positivement. Je lui demande si le menu lui convient elle me répond que oui. Je lui propose de couper sa viande et de la faire manger. Elle est d’accord elle me dit que c’est gentil. Tout en l’aidant à manger je lui demande comment elle fait chez elle pour la cuisine et le ménage, elle me répond que son mari ne sait pas cuisiner donc qu’ils mangent du pain et de la charcuterie tous les jours et pour le ménage personne ne le fait depuis que son bras est cassé. Je lui ai répondu que son repas n’était pas équilibré et que sa fistule pouvait s’infecter si elle ne faisait pas attention suffisamment à l’hygiène (elle me répond qu’elle ne pouvait faire autrement). Je lui ai proposé d’en parler à l’équipe soignante et qu’un rendez-vous soit pris avec l’aide sociale de (l’AURAR) elle si était d’accord. J’ai continué à la faire manger et boire à sa demande en respectant son rythme, j’ai épluché la pomme que je lui ai fait manger, je lui ai demandé si elle voulait autre chose elle m’a répondu non. J’ai lavé sa bouche et je l’ai réinstallé confortablement sur son lit.
Pourquoi avez-vous procédé ainsi? A quel besoins souhaitiez-vous répondre ?
J’ai procédé ainsi parce qu’elle avait son bras gauche dans le plâtre, la fistule dans le bras droit. Répondre à ses attentes en l’installant correctement pour qu’elle ne se sente pas diminué et respecte son régime alimentaire.
Qu’est-ce qui vous
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