Nouvelle Donne Mondiale

cène internationales (ONG, Multinationales), les états sont importants, mais nous devons analyser les autres acteurs afin de réguler les relations internationales

Ces problèmes ne peuvent pas être traités par des politiques nationales et doivent être étudiés conjointement, une coopération doit être mis en place au sein d’une institution (théorie institutionnaliste), l’évolution s’explique par la décolonisation, les notions du tiers monde (Alfred SAUVY)

1955 : conférence de BANDUNG. `

Première intervention des casques bleues → canal de Suez 1956.

Crise du Biafra 1964 (NIGERIA), crise ethnique avec demande de sécession de la part du Biafra, crise humanitaire très importante. → Intervention de la croix rouge, organisation apolitique, si je veux pouvoir intervenir, je dois être neutre politiquement.

1989/1990 : les théories réalistes dominantes sur la scène internationales ont été incapables de prévoir la chute du bloc soviétique. Remise en cause de l’ensemble des théories, apparition de nouveaux courants : théories constructivistes des relations internationales :

Ils essaient de faire une synthèse des théories précédentes, les états sont importants, mais ils ne sont pas les seules à agir sur la scène internationales, les ONG ET Multi sont importants.

Dans les années 70, on se préoccupe du développement durable :

- Choc pétrolier 1973, on se pose la question du pic pétrolier, le choc est politique.

- Mouvement Hippie, qui veut se rapprocher de la nature.

- La prolifération nucléaire.

1- sécurité internationale et sécurité environnementale

Un réfugié est celui qui regroupe les points suivants :

- Craindre avec raison d’être persécuté du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe sociale, ou pour ses opinions politiques

- Passer une frontière internationale, trouver asile dans un autre pays.

- Ne veut pas réclamer la protection de son état d’origine.

A- Développement durable

Commencement en 1972 à Stockholm, conférence des nations unies sur l’environnement humain, on commence à s’interroger sur le bien être humain. Au même moment un groupe d’experts vont se pencher vers ce sujet et se réunir à Rome, en présentant un rapport « les limites de la croissance », il vont se demander en quoi la croissance a une répercutions sur la vie humaine.

Avec la croissance économique, on va voir assez vite des pandémies, problèmes de répartition des richesses, des atteintes à l’environnement avec la pollution, qui va toucher la santé des personnes.

On commence à se poser la question de la limite de la croissance.

On réagit dans les années 80 en 1987, commission mondiale sur l’environnement et le développement, commission BRUNDTLAND, elle va rédiger un rapport « notre avenir commun », c’est dans ce rapport que l’on va retrouver une définition du développement durable.

Développement durable : « un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion :

- le concept de besoin et plus particulièrement le besoin essentiel des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité.

- Idée des limitations que l’état de nos techniques et de nos organisations sociales impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et avenirs.

Une définition d’un problème comme étant un problème intergénérationnel « nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants »

Trois volets abordés dans la citation :

- environnemental.

- Social.

- Economique ;

1992, le sommet de la terre, à Rio de Janeiro, utiliser le concept de développement durable à l’international, 150 état se déplace, 1400 ONG, 8000 journalistes, et tout le monde vient en avion.

2002, sommet de Johannesburg, USA invitent firmes Multinationales et les impliquent dans la question du développement durable.

B- Concept de décroissance soutenable :

Porté par un économiste roumain Georgescou Roegen, le problème n’est pas la croissance, mais la conception de la croissance focalisé sur le coté matériel, on pourrai penser la croissance différemment, produire différemment en consommant des produits de saison. Relocalisation de la production.

Tragédie des biens communs, 1972,

2- les éco politiques de l’énergie

A- Pétrole : problème de sécurisation de l’approvisionnement et du transport.

Deux grandes catégories d’énergie non renouvelables :

- énergie fossile : gaz, charbon, pétrole issus de la fossilisation des matières végétales et animales, elles ne se renouvellent pas suffisamment vite par rapport à notre consommation, l’utilisation de ces énergies dégagent un effet de serrer responsable du dérèglement climatique.

Donc deux problèmes : renouvellement des énergies et effet de serre.

- Nucléaire, utilisant l’uranium, dont les gisements ne se trouvent pas au même endroit que le pétrole, de nouvelles tensions apparaissent autour de l’exploitation de l’uranium, c’est une ressource qui ne se renouvelle pas.

Sur le problème du pétrole, la sécurisation des gisements est quelque chose d’important, de l’autre coté, l ‘acheminement vers les produits industriels.

Concernant l’acheminement :

- Voie terrestre, pipeline ou gazoduc. Pour que le transport soit sécurisé, l’ensemble des territoires traversés doit être sécurisés. (République d’Asie Centrale gisement de Bakou, Azerbaïdjan et Géorgie pas très stable)

- Voie maritime, problème de sécurisation, à travers le détroit d’Ormuz, avec constamment une flotte américaine qui veille à sécuriser. Le pétrole qui arrive au Pakistan, passe par Malacca (Singapour Indonésie), endroit super fréquenté, un des points noirs de la piraterie dans le monde (les supertankers pour voler la paye des marins)

La chine négocie avec la Thaïlande pour faire passer le pétrole par voie terrestre.

B- la géopolitique du pétrole : une problématique relativement ancienne.

19 eme siècle, rivalité entre empire russe et britannique appelée le Grand Jeu, rivalité