Prostitution Au Quebec

vidéos pornographiques, les bars de danseuses nues, des clubs échangistes, les services d’escortes, les lignes de téléphones érotiques etc. En effet, la prostitution est perçue différemment dans chacun des pays du monde. Les lois et les habitudes sociales qui entourent cette activité sont différents, à travers tous les pays du monde ou selon les règlementations la prostitution peut être réprimée, contrôlée, interdite et dans certains États respectée. Cette réalité est évidente lorsqu’en 1949, 72 membres sur 189 des nations-unies signent la convention pour la condamnation de le traite des êtres humains et l’exploitation de la prostitution. Dans cette convention les pays appuient leur décisions de lutter contre cette activité en affirmant que « la prostitution est incompatible avec la dignité et la valeur de la personne humaine. » Dans les faits, une trentaine de pays optent pour que l’acceptation d’un paiement contre un acte sexuel soit illégale et réprimée dont une multiplicité des États d’Amérique, du Golfe Persique ainsi que 28 autres Pays. D’un autre côté, dans le cas de l’Europe de l’Ouest, de l’Inde, de l’Asie du Sud-Est, du Canada, du Pacifique et de la majorité des pays d'Amérique latine, ces pays aiment mieux respectés les prostitués mais sont à l’encontre de plusieurs activités en faveur de la prostitution telles que le recrutement, la publicité en plus d’interdire la décriminalisation des proxénètes qui a pour but de contribuer à une revenue sur la prostitution. Complètement à l’extrémité de la répression se retrouve la Grèce et la Turquie qui choisissent d’accepter ce phénomène et de l’encadrer dans le but de s’impliquer pour protéger les prostitués afin d’éviter les conséquences violentes et médicaux qu’entrainerait ce phénomène. Une des mesures prises par ces deux pays est d’assurer la protection des personnes avec l’obligation pour les femmes de s’inscrire dans un contrôle médicale généralement 2 fois par semaine.

La fédération internationale des ligues des droits de l’homme qui est une organisation de défense des droits de l’homme à travers le monde se questionne sur le trafic des êtres humains et de la prostitution. D’après leurs recherches, l’organisation internationale des migrations estiment qu’environ 4 millions de personnes sont victimes de trafic humains et malgré cela l’industrie du sexe et la prostitution qui s’exerce également à l’intérieur des pays eux-mêmes sont intrinsèques à cette traite d’êtres humains dans le monde. En effet, D’après un article de Romain Jammes, on remarque que De nos jours, 98% des prostituées dans le monde entier sont des femmes ou des fillettes. On constate un rapport entre la prostitution et la domination masculine. Voilà comment on peut ici faire preuve de cette domination masculine. Ensuite, 75% de ces femmes sont âgées de 13 à 25 ans. La majorité sont des jeunes femmes adolescentes et adules. De plus Jammes nous affirme que c’est un commerce au même titre que l’esclavage parce que cette activité est profiteuse ainsi, il y a une augmentation d’un million de prostitués par année. Au québec … jai pas trouver de statistiques ?????

Le pour et le contre au Québec

La prostitution au Québec est aussi présente, depuis des années déjà le rôle de la prostitution devient de plus en plus important et de plus en plus de jeunes filles ou jeunes femmes considèrent ce phénomène comme une sorte d’option ou bien d’issue vers un métier futur. La prostitution est généralement dans notre société l’effet d’une cause, en d’autres mots la prostitution est malheureusement liée la plupart du temps à l’environnement des drogues, de la violence, des gangs, de la pauvreté, et aussi bien d’organisations criminelles affiliées à la mafia ou aux pratiquants de trafic humain. Évidemment, certains quartiers sont plus concernés par ce phénomène que d’autres, des quartiers plus défavorisés, dont la somme du loyer est plus modique et le revenu de ces habitants est par conséquent plus bas aussi. Ceci-dit, en effet la prostitution représente aujourd’hui une problématique aux yeux de la société Québécoise et la question est la suivante ; faut-il décriminaliser la prostitution au Québec ? Avant de pouvoir répondre à cette question, il faut d’abord considérer que le sujet contient beaucoup de questionnement car peu de personne ne partage la même opinion sur ce sujet. En effet, il est difficile de juger du sujet car chaque situation ou contexte social diffère pour les personnes concernées. La décriminalisation de la prostitution pourrait engendrer de bons comme de mauvais résultats. Dans ce travail, l’objectif sera d’analyser ce phénomène et de peser le pour et le contre pour parvenir à une conclusion.

Tout d’abord, le fait de légaliser la prostitution au Québec permettra de diminuer les actes de violence liés qui sont reflété par ce problème de société. En effet plusieurs crimes violents sont commis chaque année en lien avec la prostitution au Québec. De plus, la légalisation de la prostitution permettrait aux individus qui le pratiquent d’être en fin acceptés dans la société et que leur travail soit considéré comme une vraie profession, reconnu par le restant des personnes. Ensuite, étant donné les conditions souvent médiocres de travail des prostitués engendrés dans ce cercle-vicieux. Ce travail se fait en silence c’est à dire loin des yeux des autorités, en effet décriminaliser la prostitution permettrait de contribuer à la création de nouvelles industries réglementées, de revenus imposables, et par conséquent des vérifications et réglementations régissant des conformités de propreté et de contrôle des personnes exerçant cette profession. Cette règlementation contribuerait à la réduction du taux de personnes infectées par des maladies sexuellement transmissibles. Un environnement stable et sécuritaire serait mis en place pour les personnes exerçant ce métier, ce