Résumé L'Amant - Marguerite Duras
Dissertations Gratuits : Résumé L'Amant - Marguerite Duras. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresnt déversements de péripéties)
° Diderot détruit l’illusion romanesque en soulignant l’arbitraire des péripéties narratives des conventions du roman.
° Diderot se moque des romanciers toute-puissante « démiurges »
IL condonne l’invraisemblable de toute création (l.43)
* Le cadre :
°Diderot refuse l’ancrage spatio-temporel (la description) il conteste l’arrière plan, le décor et refuse de satisfaire la curiosité du lecteur. Le cadre est indéterminé « beau chemin » le chemin peu être l’errance (voyage future inconnu vie) destinée , symbole de l’écriture elle-même ?
* Les personnages :
° le duo maitre/valet est beaucoup plus traditionnel plus classique (exemple Molière) mais le valet est celui qui parle le plus, il a un renom, il donne son titre à l’œuvre.
Valet : *) Vivacité, énergie, beau parleur, il « rebondit » il est réactif
*) fataliste, passive, impulsif, se laisse porter par les événements, il boit, fréquente le milieu malfamé de l’arme.
Maitre : moulin, indifférent, n’hésite pas à user de violence physique.
Bilan :
* Le lecteur est dérouté /déstabilisé par le procédé de l’interruption, le lecteur est contraint débondonné son rôle passif car les conventions habituel sont renversé.
* L’auteur / narrateur interviennent dans le récit par le biais de questions. (Diderot est le créateur, il est aussi un intervenant).
2°) Les enjeux du recit/ du dialogue
A) Un nouveau pacte de fiction ; les enchainements.
* Un serviteur nommé avant le maitre pourtant en 1er.
* Diderot envisage les questions du lecteur, il y répond avec méprit, il expédie les renonces, il est agacé, volontaire provocatrice. Les phrases interrogative direct sont une introduction brutal d’autant que les réponses ne sont pas résolu sont nié.
* Le dialogue entre l’auteur et le lecteur de même le maitre et le valet tourne à vide.(rien l.4). Les deux personnages ne disent rien, font rien, ne vont nulle part.
* Donc l’incipit (l’entrée en matière) se nie lui-même, se détruit dans une parodie du genre.
* Les enchainements
(L.1-L.5) : Un dialogue inaugural. Lecteur/Auteur
(L.6-L.34) : Discoure Direct, dialogue Théâtral
(L.35-L.39) : Récit par un narrateur externe
(L.39-L.47) : L’auteur intervient dans son récit s’adresse au lecteur « vous voyez »
Le dialogue entre les personnages :
* Jacques parle anaphore du verbe « dire » (L4) qui montre qu’il rapporte le discoure d’une personne qui ne parle pas par lui-même, il fait un proverbe de vérité général.
* Le dialogue (commence L.6) reprend ce qui a été dit.
* (L.10) Rupture : Jacques parle d’un cabaretier ca qui crée une incohérence et le maitre plutôt que l’interroger J. sur ce qu’il dit, le reprend sur sa manière de parler.
* J. répond au présent de narration, ce que raconte Jacques inaugure mène de rien un roman d’initiation à savoir un jeune qui s’exclu du foyer paternel pour parler.
* Les liens de cause à effet sont suggérés par la parataxe (phrases courtes qui s’enchainent).
B) Fatalisme et liberté
* Tout est l’effet d’une ou plusieurs causes : exemple : pourquoi J. tombe amoureux, 4 raiponces constitue 4 causes. Une image (métaphore) exprime cette idée (L.22) « les chainons d’une gourmette » autrement dit tout les événements d’une vie en apparence n’ont pas de lien mais sont imbriqués l’un dans l’autre. Le Fatalisme de J. consiste à penser qu’on ne peut modifier les enchainements des événements et que ce que l’on prend pour du hasard à du sens, est l’application décause qui nous échappe. Les propos de J. obéissent à une logique dans l’incohérence, l’absurdité n’est qu’apparente. (L.5)
* En apparence Diderot en tant qu’auteur et narrateur affirme sa parfaite liberté car il joue sur les effets de déception, il trompe les attentes de lecteur, il semble manipuler les personnages à sa guise : en faire ce qu’il veut.
* Mais en commençant son récit est-que
...