Vol Au Musée (Kévin F)

res reliques, une bague et un sceptre appartenant au roi Philippe VI, seraient des indices qui mèneraient à l’endroit où le roi aurait caché ca fortune avant de mourir. Selon le même site, les deux autres objets feraient partis de l’héritage du même professeur Julian, décédé récemment. Il aurait mené de nombreuses recherches sur les trois objets en collaboration avec le musée sans jamais aboutir à quelque chose. A sa mort les deux objets qu’il possédait auraient été donnés au musée de sa ville natale: Nantes. Mais personne ne savait vraiment comment le professeur était entré en possession de ses objets. Jérémie pensait que c’était peut-être une piste à suivre, il chercha l’adresse de cet archéologue.

Le lendemain, ils se rendirent pour la seconde fois au domicile du professeur, afin de vérifier si rien ne leur avais échappé. Comme lors de leur visite précédente, c’est la gouvernante qui leur ouvrit la porte. Les enfants entrèrent et se rendirent au salon, rien n’avais bougé depuis la dernière foi comme si tout ces objet était arrêter après la mort de leurs propriétaire. Mais en passant la porte, Jack resta figé.

« Ce n’est pas vrai, s’écria t-il, comment cela a t-il bien pu m’échapper la première fois. »

Ses deux collègues surpris lui demandèrent ce qu’il avait.

« Là, dit-il, en montrant un tableau accroché au mur, vous voyez ? »

La gouvernante expliqua qu’il s’agissait d’une photo du professeur avec son collègue de travail.

« Vous ne voyez pas, regardez cet homme, sur sa main droite, le tatouage, c’est le même que l’homme qui m’a percuté l’autre jour, j’en suis sûr.

- Sans paraitre indiscret Madame, quel est le nom de cet homme, demanda Jérémie?

- Il s’agit de Monsieur Lépignasse, c’était l’associé du professeur Julian. C’est d’ailleurs avec lui qu’il travaillait sur les objets.

- Je pence que c’est lui le coupable dit Jack. C’est vrai si on y réfléchit bien le cinéma n’est pas très loin du musée. De plus l’homme qui m’a percuté était vêtu de noir comme le cambrioleur sur la vidéo-surveillance du musée, il filait à toute vitesse une main sur le visage et quand son gant est tombé, j’ai très bien vu son tatouage.

- Tu es focaliser contre l’homme qui t’a bousculé, et moi, je pense que ton jugement se fait trop vite, et je te rappel qu’il faisait noir je ne crois pas que tu aies bien vu le tatouage. Tu serais prêt à accuser n’importe quelle personne qui porte un tatouage, répondit David.

- C’est lui, j’en suis sur, rétorqua Jack.

- Oui mais comment faire pour montrer qu’il est coupable? Ton simple témoignage sur son tatouage ne suffira pas à le faire arrêter, dit David.

- Pouvez-vous nous monter le bureau du professeur s’il vous plait madame ? dit Jack

- Bien sûr, c’est par ici.

Une fois dans le bureau, les garçons se mirent à la chasse aux indices. Après une demi-heure de recherches appuyées, Jérémie trouva enfin quelque chose, le journal du professeur, corné dans un angle et bien cachés derrière une pile de dossiers, cela devait être le jardin secret du professeur. Dans ce livre, on trouvait toutes les recherches qu’il avait menait avec son associé sur ces objets. C’est ainsi que nos trois camarades apprirent l’existence d’une grotte que le professeur avait découvert il y a de cela cinq ans durant des recherches archéologiques. La seule personne au courant du lieu où se trouve cette grotte est son coéquipier. Ils se rendirent sur ce lieu avec l’inspecteur Antoine. En arrivant, ils rencontrèrent le professeur Lépignasse en possession des trois objets recherchés. L’homme se laissa arrêter sans résistance. Il expliqua que la légende du trésor avait été perçée.