Commentaire de texte : Préface Au Traité du Vide de Blaise Pascal

Nous sommes en présence d’un texte écrit par BLAISE PASCAL, publier en 1647 qui est un extrait de “Préface pour le Traité du vide. Cette oeuvre s'intéresse sur le concepte de la connaissance des animaux ainsi que celle des Hommes.

Nous pouvons donc nous demander s’il les connaissances et les capacité d’apprendre sont équivalentes chez les animaux et chez les Humains.

Blaise Pascal prend partie des Hommes, qu’ils ont des connaissances qui s’étendent constamment, certes les animaux ont également des connaissances mais celle-ci ne sont présente que par nécessité, et n’ont pas la possibilité d’en apprendre plus.

L’auteur à organisé en trois partie, la première annonce d’entré sa thèse: il n’est pas compréhensible de comparer l’Homme et l’animal car il existe une différence entre les deux espèces (lignes 1 à 5). Ensuite Blaise Pascal étudie les capacités cognitives des animaux (lignes 6 à 18). Pour finir, nous verrons que la capacité intellectuelle sont illimités grâces au progrès des Hommes (lignes 19 à 27).

Ce texte est particulièrement intéressant en partie car la connaissance fait participe activement à la vie habituel de chaque individu, d’autre part que les animaux font de plus en plus partie de notre vie de tous les jours mais nous ne savons peu sur leur façon de penser ou d’apprendre.

Cet extrait commence par une question rhétorique que Pascal pose à ses lecteurs où il exprime sa thèse et la différence entre raison et instinct. L’instinct est une tendance héréditaire et innée des comportement des animaux par exemple l’instinct de survie. Alors que la raison est la faculté connaître, de discerner le vrai et le faux ou le bien et le mal. Ainsi on voit tout de suite que Pascal glorifie la conscience des hommes comparer à celle des animaux. Le terme “indignement” (ligne 1) accentu cette supériorité, puisque cela montre son mépris de placer les humains au même niveau d’égalité qu’avec l’animal. Pour Blaise Pascal, la “principale différence entre l’humain et l’animal, la raison peut d’évoluer au cours du temps alors que l’instinct était, est et restera toujours le même chez l’animal. C’est ce que nous essayerons de montrer dans la seconde partie du texte.

Pour montrer que l’instinct animal stagne, le philosophe va prendre comme exemple les abeilles. Il affirme que présentement, les abeille construisent de la même manière leurs ruches qu’il y a mille ans, et que toute les ruches avaient, ont et auront le même hexagone. Et ce dès la première fois que la ruches à été construite et cela ne changera pas dans le futur. Ensuite, Pascal affirme que “la nature les instruit à mesure que la nécessité les presse”(lignes 9,10). Cela signifie que les animaux apprennent durant