Influence Des Substances Sur Le Systeme Nerveux
Note de Recherches : Influence Des Substances Sur Le Systeme Nerveux. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresctuelles) en fait une drogue consommée lors de soirées. Le consommateur connaît alors une période de bonheur intense pendant une durée de deux à quatre heures selon l’individu. Peu après l’absorption de cette drogue certains symptômes apparaissent.
On observe une accélération du rythme cardiaque, une augmentation thermique importante.
En effet, la température corporelle de l’individu peut monter jusqu'à 41.2 degrés.
L’état de l’individu devient alors très critique et bon nombre de personnes se font alors hospitaliser suite à l’absorption d’ecstasy. Le sujet connaît alors une période de profond abattement qui peut même dégénérer chez certains individus en dépression.
De plus, l’ecstasy est un puissant hallucinogène, le consommateur ne connaît plus ses limites, fait des erreurs de jugement importantes et peut être amené à faire des choses qu’il n’aurait pas souhaité exécuter en temps normal, en pleine possession de ses moyens. Là encore, la conduite d’un véhicule est inenvisageable.
La plupart des amphétamines fonctionnent sur le même mode à la différence près que certaines sont des coupes – faims et n’ont pas d’effets hallucinogènes.
On note en France, une augmentation de la prise de poppers ou encore de cocaïne chez les adolescents de plus de 14 ans.
La cocaïne se présente sous la forme d’une fine poudre blanche. La ligne de coke est prisée (c'est-à-dire « sniffée »), elle peut également s’injecter par voie intraveineuse ou être fumée. Après la prise de cocaïne, l’usager ressent un pic euphorique immédiat ainsi qu’un sentiment de puissance intellectuelle et physique. Il sera complètement indifférent à la douleur et à la fatigue. Ces effets vont alors s’estomper pour laisser place à un état dépressif et à une profonde anxiété. Les conséquences de l’absorption de cette substance sont : des troubles du rythme cardiaque qui peuvent entrainer des accidents cardiaques notamment chez des personnes fragiles et/ou qui consomment de fortes quantités de tabac. Chez les personnes les plus sensibles, l’usage de la cocaïne peut provoquer des troubles psychiques, une grande instabilité d’humeur, des délires paranoïaques souvent liés au bruit ou encore des attaques de panique.
Elle entraine également des insomnies, amnésies ou encore des phases d’excitation. La cocaïne, de même que l’ecstasy a la faculté de lever les inhibitions cela peut donc entrainer à commettre des actes de violence, des agressions sexuelles ou encore des dépenses compulsives …
Les poppers sont considérés comme des stupéfiants depuis 1990, ils se présentent sous la forme d’un liquide contenu dans des petites fioles de 8 à 30 ml.
Le consommateur inspire narine après narine au-dessus du flacon, il va ainsi ressentir une brève sensation d’euphorie, une sensualité exacerbée, des bouffées stimulantes et également, dans certains cas, des hallucinations. A court terme, on note différents effets indésirables telles que vertiges voire des malaises, une dilatation des vaisseaux sanguins, une augmentation de la température corporelle ainsi que du rythme cardiaque, des maux de tête, des nausées.
Le crack est un dérivé de la cocaïne, il se présente sous forme de « cailloux » jaunâtres, Que le consommateur va absorber à l’aide d’une pipe à air de sa confection le plus souvent. Il peut également le « chiquer » cela entrainera une intense sensation d’euphorie et de toute puissance. L’usage du crack fait risquer de graves dégâts au cerveau, une overdose lors de la toute première prise ou encore des arrêts cardiaques ou respiratoires. Il faut savoir que la prise de crack engendre également des hallucinations paranoïaques, des comportements violents voire suicidaire ainsi que des altérations d’humeur. Il faut savoir également que la « descente » lors de la prise de crack est extrêmement violente, (la descente est la phase dans laquelle le consommateur revient de son état second puisque le produit n’a plus d’effets stimulants ou euphorisant. Ici la descente, survient de 30 minutes à 2 heures après la fin de l’absorption. ) Dans le cas du crack, elle peut provoquer des crises d’angoisse, de déprime et à plus ou moins long terme des dépressions. Le crack est un stupéfiant entrainant une très grande dépendance psychologique, à la première absorption. Il est quasiment impossible de stopper.
Le LSD, se présente sous forme de papier buvard de forme carré qui s’absorbe par voie orale, entre une heure et une demi – heure après la consommation de ce stupéfiant, les premiers effets apparaissent. Le LSD
est un hallucinogène extrêmement puissant, (seul 25 grammes de produit sont suffisants pour provoquer des effets très forts et réalistes). Le consommateur peut alors être sujet à un léger sentiment de confusion et à une anxiété désagréable, les idées se mettent à défiler très rapidement, il peut notamment devenir difficile de s’exprimer oralement. La notion du temps et de l’espace est complètement faussée, les perceptions sensorielles, (auditives, tactiles, visuelles se confondent … Ainsi, les couleurs se transforment en sons, les gens deviennent distordus …
Le LSD amplifie et sublime chacun des sentiments que le consommateur éprouve qu’ils soient bons ou mauvais. Le consommateur perd le contrôle avec la réalité, la prise de ce stupéfiant se manifeste physiquement par une tension artérielle et un rythme cardiaque qui augmentent, une faiblesse musculaire, des tremblements, une sensation de lourdeur, de froid, des nausées, de l’hyperventilation ou encore une perte de sensibilité au niveau des mains.
De plus, le LSD provoque et déclenche certaines prises de conscience chez certains individus qui peuvent s’avérer être très perturbantes. Ce stupéfiant peut également être à l’origine de « bad trip », c'est-à-dire une mauvaise expérience liée à la prise de LSD, elle peut survenir dès le début de la montée, après plusieurs heures ou encore plusieurs jours tels le flash – back (après l’absorption de cette substance, le consommateur peut ressentir de nouveau les effets du LSD, quelques heures ou quelques jours après la descente). Cette expérience peut être légère et de courte durée, l’individu va alors ressentir des
crises de panique, avoir d’effroyables révélations, être emporté par de terrifiantes et angoissantes hallucinations. Cela cesse avec l’arrêt et la dissipation des effets du LSD. Cependant, cela peut également engendrer un vrai traumatisme, le consommateur sera alors sujet à des angoisses incontrôlables, des phobies, la perte involontaire de repères, des bouffées délirantes, un état d’intense confusion, ces troubles psychiatriques peuvent être irréversibles. Sous l’emprise du LSD, la conduite devient extrêmement dangereuse, dans la majorité des cas, elle provoque de graves accidents.
L’héroïne procure un sentiment de détente, de déconnexion avec la réalité, de bien être mais également une sensation de chaleur, une impression de désinhibition et de relaxation. La douleur, les pulsions
sexuelles (c’est-à-dire qu’au bout d’un certain temps de consommation variant selon les individus, le sujet ne va plus ressentir aucun désir), la faim, la soif, tout cela n’existe plus. Les premières doses provoquent généralement de l’agitation, des nausées, des vomissements, le corps devient chaud, les extrémités du corps s’alourdissent, la bouche s’assèche. Le consommateur va rester dans un état de torpeur, les pupilles vont se contracter et se réduire jusqu'à devenir minuscules, de la taille d’une tête d’épingle. La peau va prendre une couleur bleuâtre, humide et froide, l’individu peut être sujet à une constipation ainsi qu’a des démangeaisons. Il y a également un risque de dépression respiratoire pouvant entrainer la mort.
En effet, plus la dose ingérée est importante plus la respiration ralentit. Le risque le plus dangereux est de devenir accro à la première consommation. La dépendance physique et psychologique est très importante, le sujet doit augmenter les doses et leurs fréquences afin de ne pas ressentir la douleur et le mal être engendré par le manque. Ces effets sont les mêmes pour toutes les différentes sortes d’opiacé, cette famille regroupe notamment : l’opium, la méthadone ou encore la
codéine.
L’alcool passe directement dans le sang, il se disperse ainsi très lentement. Rapidement, l’alcool va relaxe et désinhibe, cela facilite les relations, le sujet sera moins timide et aura l’impression de disposer de plus d’énergie, une sensation de perte de contrôle autant des des fonctions intellectuelles que physiques fera également son apparition ainsi qu’un besoin de répondre aux à des tendances instinctives. L’alcool entraine des vertiges, des troubles de l’équilibre et de l’élocution, de bouffées de chaleurs et une vision réduite. L’alcool peut également provoquer une période de déprime si l’individu l’ayant absorbé était fragile.
Il fait également prendre au sujet des risques inutiles car ce dernier ne se rend pas compte du danger. L’alcool provoque également des difficultés à coordonner les gestes ou à marcher, à s’exprimer
correctement, les idées peuvent devenir confuses. Physiquement, la prise d’alcool se manifeste par des nausées, des vomissements ou encore de la diarrhée.
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