Le bonheur : faut-il chercher le bonheur à tout prix ?
Fiche : Le bonheur : faut-il chercher le bonheur à tout prix ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar julietws • 16 Juin 2023 • Fiche • 401 Mots (2 Pages) • 489 Vues
Le Bonheur
Il faut distinguer le bonheur du plaisir ou de la joie. Car le plaisir ou la joie sont deux chose très éphémères (on à un pique de plaisir et ça redescend).
Au contraire, le Bonheur = est un état de satisfaction durable ou toutes nos aspirations les plus importantes sont réalisées.
Donc faut-il rechercher le bonheur à tout prix ?
Épicure distingue alors de plaisir cinétique = plaisirs en mouvement / des plaisirs catastématiques = plaisirs stables
Les plaisirs en mouvements sont liés à une certaine forme d’excitation qui ne nous apporte pas de véritable apaisement, nous éloigne de la plénitude. (drogue ; nous donne du plaisir pdnt un certain moment mais la descente qui s’accompagne toujours de souffrance et nous pousse à en reprendre davantage)
Il faut donc se focaliser sur les plaisirs stables qui apportent le bonheur véritable.
Pour cela, il faut trier entre nos désirs. Tout d’abord, certains désirs ne sont pas naturels, il faut donc s’en débarrasser (gloire éternelle, amour illimité.) 🡪 vivre dans l’illusion et donc la frustration et la souffrance.
On va donc se focaliser sur les désirs naturels (boire et manger), et parmi ces désirs naturels il faut se focaliser sur ceux qui sont nécessaires et apprendre à se passer le plus possible de ceux qui sont superflus.
Il faut donc viser la tranquillité du corps 🡪 l’APONIE
Tranquillité de l’âme 🡪 ATARAXIE
Le bonheur est-il le bonheur de la vie ?
ARISTOTE affirme que oui car c’est la finalité de toutes nos actions ( faire des études pour faire un métier qu’on aime, pour être heureux ).
MAIS, KANT n’est pas d’accord. Selon lui, il existe un impératif moral qui est parfois contradictoire avec le bonheur. Je ne vise pas le bonheur mais le devoir morale.
EPICURE pense que nous devons limiter nos désirs parce que le désir est un manque de quelque chose. Et le manque est une frustration, une souffrance
Rousseau va affirmer l’inverse (dans la nouvelle Héloïse) = « malheur à qui n’a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède ».
Si la satisfaction met fin aux désirs, elle ne nous apporte pas pour autant le bonheur puisque paradoxalement nous sommes heureux de désirer. Car nous espérons quelque chose de la vie dans le désir. Certes le désir nous fait souffrir car on est dans le manque mais c’est ce manque qui nous donne envie de vivre des expériences. Sans ce manque, nous sommes morts.
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