Leibniz l'entendement humain

L’idée du texte est de nous montrer que la connaissance quoi que nécessaire n'est

pas suffisante pour nous fournir toutes nos connaissances. Le sens en prenant son sens du

terme est des récepteurs de la perception, on en distingue 5 sur le corps humain

le toucher, l’odorat, l’ouïe et le goût la vue. Grâce à ces cinq sens le monde paraît se

donner à nous. Dans la thèse de Leibniz, il cherche à contredire l’empirisme, car pour

l’empirisme nous obtenons toutes nos connaissances grâce à nos cinq sens ainsi

Leibniz rejoignit les rationalistes en expliquant que les sens nous sont bien nécessaires

pour nous apporter nos connaissances en premier car sans nos sens nous sommes dans un

vide où le matériel est inexistant donc nous ne sommes rien, mais grâce au sens nous

apercevons qu’il existe certain type d’objets ou d’information qui sera par la suite une

connaissance dans notre esprit. Donc l’idée du texte est de démontrer en quoi le sens

n’est pas la seule faculté que l’homme utilisera pour prendre connaissance d’une.

Donc pour argumenter et défendre sa position, il le fait en trois temps. En

premier lieu, il commence par une affirmation en disant que les sens nous sont bel et

bien nécessaires pour l’apport des connaissances ‘’les sens quoique nécessaire pour

toutes nos connaissances actuelles " parlant d’une connaissance en acte et rajoute sa

contradiction et sa réponse a la problématique qu’il traite. Il appuie sa position en

donnant comme illustrations en disant que ces connaissances que nous obtenons des sens

ne sont que des exemples de l’intégralité même de toute la connaissance concernent.

En deuxième, ils développent en parlant de ses exemples. Il prend le mécanisme des

vérités pour illustrer ses propos, il parle des vérités individuelles et universelles une

vérité d’une chose ne dépend pas d’un objet, mais plutôt de la personne qui fait appel, a

lui. La connaissance lui est objective. On ne prend connaissance qu’à partir d’un objet

donc la connaissance en dépend.

En troisième, il conclut en utilisant une théorie mathématique parce que les

mathématiques ont une science qui adopte un raisonnement rationaliste contredisant ainsi

l’empirisme. L’auteur donne en exemple les mathématiques, car certaines connaissances

scientifiques ne peuvent être fondées suite à des expériences sensibles. ‘’ D'où il paraît

que les vérités nécessaires, telles qu’on les trouve dans les mathématiques pures "

certains objets de connaissance scientifique ne peuvent pas être l’objet d’expérience

sensible.

2. Tous les exemples qui confirment une vérité générale de quelques nombres qu’ils

soient ne suffit pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité.

La vérité est la correspondance entre un penser et une réalité, mais si l’on donne comme

exemple le soleil. Aujourd’hui en Europe de l’Est le soleil se couche, a une heure, précise

ceci devient une vérité générale cette