Sujet d'Invention - Corpus. Zola, Maupassant, Balzac.

ussisse vite ne sont que des fraudeurs « il se rencontre dix hommes qui réussissent vite, le public les appelles des voleurs ». Le goût de la réussite est accentué aussi par le champs lexical de la réussite et de l'échec et de plus, ce texte se projette réellement dans l'avenir, à première vue, vautrin semble ici pour l'aider a s'en sortir dans cette dur société parisienne.

Dans le second texte, Zola montre le goût de la réussite par une manière différente. Octave Mouret est un homme qui possède un certain pouvoir sur la gente féminine, en effet, il a crée un magasin appelé « Bonheur des dames » qui comme son nom l'indique et là pour vendre du « plaisir ». Il utilise le besoin des femmes pour s'enrichir et atteindre son but, la réussite sociale. Mouret donne l'impression qu'elles lui appartiennent, qu'elles sont dépendante des achats. « Et Mouret regardait toujours son peuple de femmes » « la clientèle, dépouillée, violée, s'en allait a moitié défaite, avec la volupté assouvie et la sourde honte d'un désire contenté au fond d'un hôtel louche ». Dans ce passage, Zola montre bien la puissance et la domination qu'Octave entretient avec les femmes, elles cèdent honteusement à la tentation.

A l'époque, la religion a une très grande importance, et dans cet extrait, il tente de la remplacer par la dépendance des acheteuses, comme une nouvelle religion « apportait une religion nouvelle » « culte sans cesse renouvelé du corps » ; il se montre ici comme un dieu.

Pour accentuer sa supériorité, il compare indignement les femmes à des animaux qui l'aide uniquement a assouvir son besoin de réussite, « bétail dont il avait tiré sa fortune » « il se sentie le maître […] il les tenait à ses pieds ». Zola montre aussi le goût de la réussite de par la visite de Mme Desforges, qui elle aussi a fini par céder à ce désir d'achat. « malgré sa rancune jalouse, elle aussi achetait ».

Dans le dernier texte, Maupassant met en avant l'orgueil du personnage. Georges Du Roy est ambitieux, arrogant et fière et fait preuve d'une impressionnante réussite social : «consacrer le triomphe du baron Georges Du Roy » ; « se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer » « il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui » « Il allait lentement […] la tête haute » « le contemplait et l'enviait ». etc

Mais aussi, il montre le désire de la réussite par la possession de l'être « aimé ». Dans la préface, nous apprenons que Georges se marie avec la fille de son patron, mais que l'épouse de celui ci n'avais point su résister à son charme. Donc « Bel Ami » est présenté comme un charmeur qui a su gravir les échelons pour arriver en quelque sorte a ses fins.

Pour finir, la revoyons avec Mme de Marelle, son ancienne maîtresse, nous montre qu'il ne possède pas tout, mais qu'il la désire follement. « leurs yeux se rencontrèrent, souriants, brillants, pleins d'amour. » Et après son moment de gloire, il se remit a penser à elle. «sa pensée maintenant revenait en arrière […] flottait l'image de Mme de Marelle ». Goerges du Roy la voit comme sa future maîtresse.

II- travail d'écriture

Georges Du Roy le « tombeur » hypocrite

Georges Du Roy, « l'ami » des femmes est depuis hier l'époux de Mlle Suzanne Walter.

J'ai eu la chance d'assister au massacre de la cérémonie de son mariage, après cela je me demande, tout en restant polie, comment cet homme dont l'indignité est indéniable pourrait à présent se relever.

J'ai vue de mes propres yeux, comme tout le monde, la façon dont il nous a regardait, j'emploie même le mot « dévisager ».

Son regard peu complaisant sur les gens qui comme moi l'ont soutenu, qui on était là pour lui quand il en avait le plus besoin, quand il était encore dans l'ombre. Et aujourd'hui, il ose nous scruter d'une façon hautaine, avec mépris.

Et je suis là pour m'assurer que même ceux qui n'étaient pas présent à la cérémonie voit le nouveau visage du