Bilan De Lecture

du gouverneur de Perdican. La seconde réplique de maître Blazius est également une pause descriptive au sujet de Perdican, mais celle-ci est une éloges du fils du baron. C'est une description hyperbolique. Suite à la sortie de maître Blazius de la scène s'en suit une autre pause descriptive du chœur, concernant cette fois ci Dame Pluche. Une fois arrivée Dame Pluche fera une description hyperbolique de Camille, nièce du Baron. Cette description met en avant l'éducation religieuse reçu par Camille, sa pureté d’âme. Le Baron commence avec une pause explicative au sujet de maître Blazius. Il s'en suivra après l'arriver de Dame Pluche une deuxième pause explicative la concernant. Suite a la sortie de Dame Pluche, une troisième pause explicative venant du Baron arrivera mais celle-ci concernera le Baron et son envie de marier son fils et sa nièce. Peu de temps avant l'arriver de Perdican et de Camille le Baron fera une quatrième pause explicative concernant la prévoyance de celui de leurs arriver. A partir de l'entrer des 2 héros dans la scène c'est un moment privilégié que l'auteur a décidé de rapporter. |

Message de l'auteur et avis personnel.

1-Message de l'auteur.

Je pense que l'auteur a voulu dire part cette pièce que l'on ne doit négliger aucun sentiments de qui que ce soit. Il montre par ce trio amoureux (Perdican, Camille et Rosette) tout les bien faits et méfaits de l'amour. Par exemple Camille qui ne veut que Dieu pour amants, elle néglige et rejette les sentiments de Perdican, ce qui pousse celui ci par vengeance a aller vers Rosette qui n'es en fait qu'un souffre douleur de l'amour. Ensuite celui-ci a pu montrer que le mariage ne pouvait pas être quelque chose de prédestiner. Il l'a montrer par le refus des deux prétendants, sensés, d’après le Baron, s'aimer et être fait l'un pour l'autre.

2-Avis personnel.

J'ai fortement apprécié cette pièce de théâtre, car celle-ci a une morale et une histoire intéressante. Ensuite je l'ai trouvé très agréable a lire, car celle-ci utilise un style grotesque mais romantique a la fois, et jouant avec le fait que Camille veut aimer sans être aimer et que Perdican veut aimer sans aimer laisse une sorte de suspens jusqu'à la fin de cette pièce. Malheureusement la pauvre Rosette aura aimée sans l'être..