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Commentaire Lucrece Borgia Iii,2

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it complètement l’atmosphère « Vous êtes chez moi »

On apprend ensuite que tous les protagonistes de l’histoire sont empoisonnée par le vin par une longue tirade de Lucrèce qui leur annonce qu’il vont retrouvé leur proche (parallèle avec la scène 5 de l’acte 1)

Par une autre tirade elle demande à ce qu’on sorte tous ces homme de ce lieu.

Lucrèce apprend que son fils est présent à cette pièce et que lui aussi est empoisonnée « Il en faut un sixième, madame »

La sorti de tous les homme avec Gubetta « Il suffit »

- trois révélations :

Le fait que cette fête a été organisé par Lucrèce pour pouvoir tué tous ces invité qui l’avait critiqué lors du bal masqué de Venise. Et donc elle les empoisonne

Lucrèce apprend qu’en fin de scène que son fils est présent et donc que lui aussi est empoisonné.

Le double jeu de Gubetta est enfin révélé : les personnages savent enfin sa véritable identité et que son travail est d’être le valet de Lucrèce mais confirmation auprès du personnage qu’il est marqué par la duplicité car il ne dit pas à Lucrèce que Gennaro est présent dans la scène.

L’ACTIONET TANT VERS LE DENOUEMENT 3 révelations mais ce n’est pas la fin

B. Les jeux de miroir démultiplient les effets dramatiques

- les victimes de Lucrèce : les convives spectateurs malgré eux

Par ces deux longues tirades qu’elle dit et qui prennent pratiquement la totalité de la scène le spectateurs et lui aussi concerné par ce qu’elle dit puisqu’ils étaient témoin de la scène précédente où tous les personnages étaient heureux dans une fête ; Et là Lucrèce leurs parlent de vengeance. Il assiste à leur propre mort en même temps. Par la didascalie finale il n’oppose aucune opposition sur leur sort.

- la présence cachée de Gennaro

Gennaro n’intervient qu’en toute fin de scène, ce qui m’est considérablement Lucrèce mal à l’aise puisqu’elle ne s’attendait pas du tout que son fils « Oh ciel, Gennaro » soit présent puisqu’il était censé fuir cette ville. Ainsi Gennaro par sa présence a pu entendre les tirades machiavéliques de sa mère sur ces meilleurs amis et ainsi ne plus la comprendre. Cela crée ainsi un rebondissement dans la foin de cette pièce.

- Gubetta qui voit tout y compris l’intervention de Gennaro :

La valet de Lucrèce était lui aussi inciter à la soirée car il était amis avec tous les amis de Gennaro sauf qu’il avait fait attention de ne pas boire la coupe empoisonné (ce qui d’ailleurs créé une dispute), il n’a donc pas quitté la pièce et lui n’était pas prisonnier de Lucrèce, il va donc suivre es ordre de sa maitresse et la laisser seul avec son fils « Il suffit ». pour bien comprendre le statue des personnages( voir la scène 1, il n’est pas là par hasard, il est le complice de Lucrèce dans cette mise à mort.

C. Le texte porte en lui tous les indices d’une représentation potentielle

- l’occupation de l’espace scénique

Déjà Gennaro doit se cacher dans le début de la scène, il est donc à l’extrême de Lucrèce pour qu’il ne soit pas vu.

L’arriver de Lucrèce est très théâtrale puisqu’elle arrive tout à coup avec plein de moine à sa suite et lance directement une réplique pour prendre le pouvoir des lieux et être bien entendu.

Lorsque Gennaro doit faire sortir tous le monde pour que Lucrèce se retrouve seul avec Gennaro.

- le rôle des didascalies

Is sont très présent dans cette scène très courte, il y en a même dans les tirades de Lucrèce pour savoir à qui elle parle et savoir ce que font les personnage pendant qu’elle parle

« Aux moines »

« Les moines s’écartent (…) devant la porte »

Elles sont présentes aussi en début et fin de scène pour savoir la sorti et l’entrée des personnages.

Souligne l’intensité dramatique par la tenue de Lucrèce et de son entrée

Les didascalies sont des hypotypose pour les spectateurs

- les indications dans le discours lui-même dans la tradition du théâtre antique

Par les exclamations que l’on voit après la première tirade de Lucrèce on voit que les personnages sont abattu de la déclaration qu’elle vient de faire.

« Voilà un rude réveil, Maffio ! »

« Songeons à Dieu ! »Patrice Chérot est vraiment fidèle à ce que dit les personnages.

II. La scène est aussi portrait saisissant du personnage éponyme

A. La scène amplifie la monstruosité de Lucrèce

- l’apparente victoire de Lucrèce par le crime == établir un parallèle

avec I, 1° partie , 5

Déjà, on retrouve les même personnages que dans cette scène sauf que dans celle-ci c’est Lucrèce qui à l’avantage par l’empoisonnement de tous les autres de personnages ce qui montre un crime monstrueux. Ainsi, par ce crime, on pourrait croire une victoire de Lucrèce et pour avoir raison, elle parle de vengeance.

« Il me semble que je me venge ». le « il me semble » est terrible pour les compagnon car cela est profondément ironique. L’ironie pour Lucrèce qui est aussi présente.

Il y a une ressemblance mais dans le sens inverse, avec la longue tirade de Lucrèce qui énumère tous les crimes de leurs familles et qui ajoutent qu’ils vont enfin les revoir. Elle reprend les même que dans cette scène, c’est un retournement d’arguments qui est à son avantage.

- le cynisme de Lucrèce es marqué par son rejet des conventions sociales, comme celui de juger avant de tuer et cherchaient un retour à la nature.

Elle ne se contente pas de se venger, elle en prend plaisir, c’est un moment de grâce pour elle qui s’exprime par toutes les marques d’ironie « il me semble » ou quand elle dit qu’il peuvent ce confessé au moine. Elle n’a aucune pitié ne s’exerce vers ces victimes.

« Ceci n’est pas mal » c’est une litote qui renforce.

« ton oncle t’attend » remarque profondément cynique et ironique pour lui dire de le rejoindre en enfer.

- le plaisir dans le mal

Par cet acte Lucrèce est heureuse car cet affront qui lui avait était faire à Venise ne pouvait que être puni. Elle décide donc de les punir par le système qui souvent utilisé chez les Borgia : l’empoisonnement. Elle est heureuse de pouvoir enfin avoir sa revanche sur des hommes qui l’avait mal traité et d’utiliser des arguments qu’ils avaient utilisé contre elle l’a rend encore plus heureuse.

« va retrouver ton cousin »

« va parler de moi dans l’autre monde »

Par les phrases exclamatives, on peut voir sa jubilation par les crimes qu’elle a commis et qu’elle va commettre

« Que j’ai empoisonné dans une fète ! »

« Qui est-ce qui se connaît en vengeance ici ? »

Elle est heureuse de pouvoir annoncer cela, elle dit que cet un vertu.

B. Mais elle donne aussi à voir l’autre facette, l’autre masque du personnage : mère :

- le trouble de Lucrèce

Après avoir montrer l’atrocité de son acte par l’empoisonnement, l’arriver de son fils Gennaro au milieu de la scène la trouble puisqu’elle comprend aussitôt que lui aussi est empoisonné et donc elle veut à tout prix le sauver en fait sortir tout le monde de la pièce. Elle change complétement de ton et elle perd presque la parole avec des répliques beaucoup plus courtes. Le discours qui change envers Gubetta est un discours tenu dans l’urgence. Ce sont des ordres qui sont adressé à tout le monde.

« Que tout le monde sorte d’ici »

Elle ne sait plus quoi faire, elle doit être choqué de ce qu’elle vient de voir car elle le pensé très loin de Ferrare. C’est la deuxième fois qu’elle se fait humilier par cet empoisonnement et elle ne veut pas que les autres personnages voient sa véritable face de mère de famille et les autres ne doivent pas être présent lors de la révélation. C’est un reflexe instinctif qui relève de la réflexion maternelle. Pour les yeux du public, elle change de pensés, c’est un autre personnage.

Cette ordre n’est égoïste, il est aussi pour Gennaro.

« Qu’on nous laisse seuls. »

« Ciel ! Gennaro ! »

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