Statut De La Palestine Dans Le Système Des Nations Unies

le territoire de la Palestine en deux Etats indépendants, un arabe et l’autre juif, et a placé Jérusalem sous un régime spécial international. L’Assemblé a cru que la situation local représentait une menace à la paix et aux relations amicales entre les Etats et donc a légitimé la solution adopté. Après l’abandon des Britanniques dans le territoire, il y a la proclamation de l’Etat d’Israël et, donc, le début d’un première conflit entre les Etats Arabes et Israël. Avec la résolution 62 (1948) du 16 Novembre 1948, le Conseil de sécurité invite les parties directement impliquées à trouver un accord. Ils ont été conclus en 1949 des Conventions générales d’armistice entre Israël et les autres Etats à coté, grâce à la médiation des Nations Unies. Cet accord d’armistice, inaugure seulement le long exile du peuple Palestinien. La Transjordanie, le Liban et la Syrie accueillent à eux trois 287.200 personnes, réparties entre trente-cinq camps ; La résolution 194 (III) établit la Commission de conciliation pour la Palestine et réaffirma le droit des réfugiés palestiniens au retour et à la restitution. L’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine) fut créé par l’Assemblée en 1947.

En 1967, il y a été un autre conflit armée. Dans ce conflit Israël a occupé la totalité de la Cisjordanie, la part est de Jérusalem, la Bande de Gaza et une grand partie de la péninsule du Sinaï et les plateau du Golan. Un autre conflit a éclaté en 1973 entre Israël et Egypte, étant la volonté de ce dernière de récupérer le territoire du Sinaï.

Cette fois, a été conclu un réale traité de paix, dans lequel, il y a la restitution des territoires occupé et aussi il y a la définition des confines entre les deux Etats ( Accord de Camp David, Septembre 1978 ). Beaucoup des accords ont été conclu, au début de 1993, entre Israël et l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) : « Israel-PLO recognition » ; « Déclaration des Principes » ; « Oslo I» ; « Oslo II » ; « Accord Wye Plantation » ; « Accord Sharm el Sheik »1999. Par ces accords, Israël s’est engagé à transférer aux autorités palestiniennes certains pouvoirs et responsabilités exercées au sein du territoire palestinien occupé dans son autorité et dans l’administration civile. Ces transferts ont été et son encore partiels et limités. Pourquoi aujourd’hui l’Etat Palestinien n’est pas encore reconnue ?

POURQUOI L’ETAT PALESTINIEN N’EST TOUJOURS PAS RECONNU?

a) l'Année 1947 : échec du plan de partage :

Durant le mandat britannique les autorités anglaises alternent répression sauvage et promesses d’ouverture. D’abord, ils détruisent 5.000 maison entre mai et septembre 1938. Il y a l’ouverture de camp des prisonniers, l’édification d’un barrière électrisée à la frontière nord pour ralentir l’afflux des armes venues du Liban et de Syrie. Mais tout cela, n’empêche pas les gestes d’ouverture, car la quotas d’immigration juive sont sensiblement réduits. Le Livre Blanc de MacDonald proposait que l’indépendance d’un Etat palestinien soit acquise après dix ans, sous certaines conditions ; l’immigration autorisée pour cinq ans serait limitée à 15.000 personnes par an, puis soumise à l’acceptation palestinienne. Un an plus tard, les Land Transfer Regulation ont protégé les droits des terres palestiniennes complètent les dispositions du Livre Blanc. Cet ouverture des britannique a trop tardé, car dans le schème d’un nouveau jouer : les Etats-Unis.

Les Palestiniens se retrouvent piégé pal le temps : on leur promet l’indépendance, mais sans l’instaurer, les sionistes entrevoient toute de suite le poids déterminant qu’une nouvelle alliance aurait sur leur ancien protecteur.

Dans le congrès réunit au Bitmore Hotel de New York en 1942, les deux principaux dirigeants du Mouvement sioniste en Palestine et 600 membres de la communauté juive américaine, publient un programme qui dénonce le Livre Blanc. Ils ont réclamé l’immigration illimitée et revendiquent la naissance de l’Etat juif. Les disposition des Land Transfer Regulation sont, donc, systématiquement tournées et l’immigration illégale se développe sans arrêt. Les Etats-Unis n’entrent publiquement en action sur la question d’Israël, qu’à la fin de la deuxième guerre mondial.

Avec leur solidarité à l’égard des victimes du nazisme, les américains ont un projet qui n’est pas forcément humanitaire. En fait son objective principale c’était de s’implanter dans une région stratégique et riche de pétrole. En 1946, le Président américaine Truman admet l’arrive de 100.000 juifs en Palestine.

Dans ce contexte la, la violence des unités sioniste s’intensifie et devient quotidienne. Elle culmine avec le plasticage, le 22 juillet 1946, du siège du gouvernement mandataire à Jérusalem ( l’Hotel King David , où 91 personnes trouvent la mort. Le 18 février 1947, lord Bevin annonce que son gouvernement va soumettre la question palestinienne à l’ONU. Un commission ad hoc, l’United Nation Special Comittee on Palestine ( UNSCOP ), est constituée. Le rapport final de ce dernier, a été le partage du pays en un Etat juif ( avec le 56 % du territoire ) et un Etat Palestinien ( 43 % ). Le plan de partage est voté par l’Assemblée générale le 29 novembre 1947. Ce décision porte, inévitablement, a beaucoup des troubles. En mars 1948, l’Etats-Unis, demandent, alors, à l’ONU la suspension du plan de partage de ’47, réclament aussi la convocation de tutelle temporaire. Le 1er avril 1948, le Conseil de sécurité convoque l’Assemblée pour débattre du plan de tutelle et vote la proposition américaine d’un trêve, à négocier entre l’Agence juif qui préside aux destinées du Mouvement sioniste et le Haut Comité arabe. Cette proposition est acceptée par les Palestiniens. Mais la Haganah ( organisation paramilitaire juive ) lance le 4 avril 1948 le plan Dalet, du nom de code de la stratégie de conquête. Commence, donc, la première guerre de Palestine ; dans le cote arabe 4.448 hommes et dans l’autre cote 112.100. il y a l’inévitables défaite des Palestiniens. L’écrasement des Palestiniens et la prise par les armées juives de la majorité du territoire réservé à ces derniers par le plan de Partage de l’ONU est la cause de l’entre des armées arabes en Palestine en 15 mai 1948. Beaucoup d’ouvrages historique, fait commencer la première guerre israélo-arabe le 15 mai, et ça fait oublier que l’entrée des armes arabes sont une conséquence d’une premier attaque Israélien. Si on oublie les étapes de base pour comprendre l’histoire, les juifs, en ce cas-là, y font la figure d’agressés. Mais on doit rappeler forcement que le 15 mai les Palestiniens sont déjà des réfugiées. Questal, village stratégique des environ de Jérusalem, est repris par le Juifs. Cette défaite des Palestiniens est suivi par le massacre de Deir Yasin, village que n’a aucun importance stratégique, mais que montre aux Palestiniens comme il y puisse être une répétions à l’infini d’un même massacre à moins qu’ils ne partent d’eux-mêmes. A partir de ce moment 854.000 Palestiniens commencent une vie d’exil dans le 71 camps de réfugiés. La United Nation Relief and Works Agency ( UNRWA ) a pour change de superviser les affaires des réfugies, mais elle ne sera opérationnelle qu’en mai 1950. Le 14 mai l’Etat d’Israël est proclamé et les Etats-Unis, sont le premiers à le reconnaitre.

b) 1967 : passage de territoires contestés à territoires occupés

Après l’échec Palestinien, les réfugiés des camps prennent la tête du mouvement. Il y a aussi la création des mouvements étudiants, qui sont fondamentale pour la résistance palestinienne. Dans la capitale égyptienne, des jeunes adolescentes, parmi lesquels Yasser Arafat et Abou Iyad, créent en 1952 l’Association des étudiants palestiniens. En 1959 elle se transfère en Union générale des étudiants palestiniens ( GUSP ). A Beyrouth est fondé en 1951 le mouvement des Nationalismes Arabes. La GUSP et la MNA imprègneront les deux principaux courants de la résistance.

Parallèlement Yasser Arafat et autres importantes personnages, sont parvenues à une certaine position sociale dans le pays du Golfe, au Kuwait et au Qatar. Ils ont pour objectifs de réaliser l’unité palestinienne. Ils fondent la « Fath » en 1959 à Kuwait et le donnent des statuts internes et d’un branche militaire.

A la demande très impatient des palestiniens de créer un organisation d’un entité propre, le Janvier 1964 est né l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP ).

La centrale palestinienne se date d’un parlement en exil, le Conseil National Palestinien ( CNP ) et d’un « Armée de Libération de la Palestine » (ALP).

Une « région-Palestine » est créé. Elle donnera naissance au lendemain de juin 1967, au « Front Populaire de Libération de la Palestine » (FPLP).

Entre le 5 et le 10 juin 1967, Israël attaque ces voisins arabes, à la suite du blocus du détroit de Tiran aux navires Israélien par l’Egypte le 23 mai 1967, lequel, ce dernier, le départ des forces de maintien de l’ordre de l’ONU dans le désert du Sinaï. La soir de la premier journée de la guerre, la moitié de l’aviation arabe était détruite et la soir du dernier jour, les armées égyptiennes, syriennes et jordaniens étaient défaites. En moins d’une semaine, l’Etat Israélien