Éloge à Éros Selon Calliclès

nature une nature forte, nature qui le place au-dessus de tous les hommes normaux et lui procurant le bohneur qu'il ne pourrait recevoir qu'en assouvissant ses désirs. Aucun homme doté d'une nature forte et adorant Éros, ne pourraient être esclave d'un autres hommes et être heureux, « car comment un homme pourrait-il être heureux s'il est l'esclave de quelqu'un d'autres? » Éros ne pourrait pas non plus accepter que ses serviteurs et ses adorateurs soient asservis par une justice dicter par la majorité ou par des lois dont l'unique but est de brimer ces forces de la nature. Pour que quelqu'un adore réellement Éros, il faut qu'il laisse aller ses propres passions, si grandes soient-elles et qu'il ne tente pas de les réprimer, car « il faut être capable de mettre son courage et son intelligence au service de si grandes passions et de les assouvir avec tout ce qu'elles peuvent désirer » si un homme veut pouvoir être son propre maître, être libre. Un homme qui adore Éros et qui aime le désir, la passion et l'amour, qualités qui font de Éros ce qu'il est, ne peut se rabaisser à se laisser dicter sa conduite par la masse inférieure des gens qui refuse que de telles comportements de « déreglements » est lieux alors qu'elle ne fait que cela « gênée qu'elle est de devoir dissimuler sa propre incapacité » à assouvir ses désirs et ses passions si grandes soient-elles. Les plus forts ne devraient pas être dominer par les faibles, mais à l'inverse c'est eux qui devraient contrôler la masse des faibles. Il devrait être plus simple pour une masse de gens faibles d'écouter ce qu'un homme, dont la nature aurait pouvu d'une nature forte, leur dise, car lui seulement réussi réellement à assouvir ses désirs et assouvissant ses désirs il pourrait montrer aux faibles à assouvir les leurs. Le peuple égyptien avait compris ce concepte, car ils mettaient à leur tête les pharaons, hommes qu'ils considèraient comme des demi-dieux et la masse des gens les laissaient assouvir leurs moindres désirs quand ils le voulaient sans être déranger par leur infériorité et par la nature forte qui ne leur avait pas été donner. Un homme adorant Éros et ayant le privilège de s'être vu donner une nature forte ne devrait pas se laisser contrôler, mais assouvir ses désirs signent de sa soumission envers le grand dieu qu'est Éros.

Éros est un dieu puissant qui désir et ne cessera jamais de désirer et ce qu'il désir le plus c'est que les gens qui lui vouent un culte, lui vouent un culte en assouvissant leurs moindres désirs et en montrant à la masse de faible qui les entourent, la nature forte que la nature leur a fourni. Éros est le meilleur des dieux par sa nature forte et par les qualités dont il est le symbole, le désir, l'amour et la passion. Éros mérite des éloges plus glorieuses que celles faites à Zeus et à Athéna, car par sa nature forte il surpasse en puissance ces dieux et leur est supérieur dans tout les domaines. Éros est le meilleur des dieux, car rien ne se compare aux désirs et ne différencient plus les