Explication De Texte Descartes

s qui nous touche directement, qu’on ressent par le biais de notre corps, qu’il se ressent en nous, « et ces derniers, se présentant confusément à l’imagination », ici, les plaisirs « réels » sont mélangés à notre monde imaginaire, à nos rêves, les rêves que nous faisons peuvent se ressentir comme un plaisir, « paraissent souvent beaucoup plus grands qu’ils ne sont », l’auteur ici veut nous montrer que nos désirs sont plus qu’improbable, que ses désirs s’approchent plus du rêve que d’un fait possible, « principalement avant qu’on les possède », l’auteur nous montre ici que nos désirs sont bien loin d’être ce que l’on pense, qu’ils ne sont pas comme on a pu les imaginés, « ce qui est la source de tout les maux et de toutes les erreurs de la vie », cela signifie que ses désirs plus ou moins improbables sont la cause de nos erreurs, ils nous poussent à agir d’une manière qu’on n’a pas forcement souhaité, ils nous poussent à des actes, qui eux même nous mènent à une fautes, une erreur, « Car selon la règle de la raison, chaque plaisir se devrait mesurer par la grandeur de la perfection qui le produit », ceci signifie que plus le désir est proche de notre raison, plus celui-ci sera parfait lors de sa réalisation, c'est-à-dire que plus un rêve est « accessible » plus il sera proche de ce qu’on attends, « et c’est ainsi que nous mesurons ceux dont les causes nous sont clairement connues », donc ici, les désirs nous provoquent des choses en nous même, parfois un sentiment de dégout lorsqu’on arrive pas à les obtenir, ces causes ici sont des choses de ce genre. Nous voyons donc que dans cette 1ère partie l’auteur nous décrit deux types de plaisirs, ceux irréels qui font partie de l’âme et les réels qui font partis du corps.

Nous allons donc étudier cette 2eme partie, qui va de la ligne 8 à 12, nous allons donc étudier la passion, qui ici représente en quelque sorte l’excès, ou même peut être considérer comme le « mal ».

Nous allons donc voir cette première phrase, « Mais souvent la passion nous fait croire certaines choses beaucoup meilleures et plus désirables qu’elles ne sont », cette phrase signifie donc que la passion ici nous amène à croire en des choses peu réalisable, qui ne risque pas d’arriver, elle semble donc ici être considérer comme de la démesure, elle nous laisse penser que les choses les plus « folles » sont réalisables, par exemple lorsqu’on rêve ses choses paressent réels, et la passion nous donne le même effet, elle nous trompe, « puis, quand nous avons bien pris de la peine à les acquérir », ce qui nous laisse donc entrevoir qu’il y a quand même une possibilité que ses désirs se réalisent, il reste néanmoins une chance, mais cela demeure difficile, « et perdu cependant l’occasion de posséder d’autres biens plus véritables », ceci signifie que pendant le temps passé à essayer d’obtenir ses désirs plus ou moins réalisables on a passé à coté de désires plus « utiles », des désirs plus simple d’obtention, qu’on peut avoir dans la vie courante, « la jouissance nous en fait connaître les défauts », cela signifie que l’on apprends de nos erreurs, on apprends des nos actes, c’est grâce aux erreurs commises que l’on se corrige le mieux, ici obtenant un désir qu’on désirait, on apprends que c’est pas forcement celui là qu’on voulait, ou du moins on le voyait pas de cette manière, on voit les choses sous un autre angle lorsqu’on les possède, « et de là, viennent les dédains, les regrets et les repentirs. », ici l’auteur nous explique qu’en obtenant ce qu’on désire, on ne le voit plus de la même manière, on le voit différemment, et de là on peut éprouver une déception, on se lasse du désir obtenu, et donc on en désire un autre, donc voici la fin de cette deuxième partie qui nous montre que la passion peut être un défaut, puisqu’elle nous amène a vouloir des désirs quasiment inaccessible.

Dans cette troisième partie, qui va de la ligne 12 à la fin, nous allons donc étudier la raison, qui ici semble nous ramener à des choses concrètes.

Nous allons commencer par la phrase « C’est pourquoi le vrai office de la raison est d’examiner la juste valeur de tout les biens dont l’acquisition semble dépendre en quelques façons de notre conduite », cette phrase signifie qu’il faut réfléchir avant de vouloir quelque choses, et que si on veut l’obtenir on y arrivera grâce à nos actes, la raison nous guide dans nos choix, nos décisions à prendre, « afin que nous ne manquions jamais tous nos soins à tacher de nous procurer ceux qui sont, en effet, les plus désirables », ce qui