Les Conséquences De La Mondialisation Sur L'Environnement

u final le coût environnemental provoqué par les transports de marchandises est très élevé ce qui a un fort impact sur l'environnement.

En deuxième exemple :

Un escarpin revient à 26 euros s'il est fabriqué en France, seulement 4,20 euros, s'il est fabriqué en Chine. Dans ces pays où l'on travaille d'avantage, plus vite, avec une protection sociale au rabais, les économies réalisées sur la main d'oeuvre, sont telles que l'on peut bien payer aux marchandises le voyage retour pour l'Europe. Leur transport par bateau depuis l'Asie, ne réprésente que 5 à 10 % de frais supplémentaires. C'est bien là le problème pour l'environnement : Si le transport ne coûte pas cher en euro, il se paye en CO2. Ce sont les transports les premiers émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre comme le CO2.

Les pays tropiquaux sous-développés essayent depuis les années 1970 de prendre un petit peu plus de place dans le paysage mondial, et ce au détriment de leur faune et de leur flore. En effet, la plupart possédait une faune très abondante en 1970 que l'important développement qu'ils ont connu depuis a fortement décliné. L'empreinte écologique mondiale( évalue la surface de terre et le volume d'eau nécessaire pour produire les ressources qu'un pays consomme et pour absorber les déchets qu'il génère.) depuis le mileu des années 1960 éxcédait de 50% la biocapacité de la planète. En 2007, elle a ainsi utilisé l'équivalent d'une planète et demi. Cette évolution est en grande partie dûe au développement des pays tropiquaux qui commencent à polluer

Une des autres conséquences sur l'environnement c'est l'augmentation de la consommation d'énergie. Et par cette augmentation, on y voit notamment le réchauffement climatique

B/ Augmentation de la consommation d'énergie

1) Le réchauffement climatique.

Au cours du 20 ème siècle, la planète a connue en moyenne un réchauffement de 0,74 degré celsius.

Ce réchauffement est exponentiel, puisque, sur les 50 dernières années, il a été le double de celui constaté sur le siècle dernier. Les changements climatiques devraient affecter le système de production agricole. Certains pays, du nord comme du sud, pourraient perdre une grande partie de leur richesse agricole et l'on pourrait enregistrer à terme une décroissance de la production alimentaire.

Une des solutions trouvées est le développement durable.

2) Le développement durable

C'est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.

C'est né en 1987 lors de la commission mondiale sur l'environnement de l'ONU.

Si les pays du Sud adoptent en se développant, les mêmes formes de production et de consommation que les pays riches, la planète n'y suffira pas.

L'idéal serait d'avoir une société qui ne consomme pas les ressources naturelles plus vite qu'elles ne se regénèrent.

Il est indispensable de produire les biens et les services dont ont besoin les sociétés en utilisant de moins en moins d'énergie.

Il faudrait aussi développer les écotaxes. C'est un impôt proportionnel à la pollution engendrée.

II- Les organismes qui luttent contre les atteintes à l'environnement.

A) Le GIEC

Le GIEC est un groupe mis en place en 1988 par l'organisation météorologique mondiale (ONM) et le programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) réunissant une centaine de scientifiques mondiaux afin de comprendre « le risque de changement climatique d'origine humaine »

Il s'agit donc d'un organisme où les scientifiques expert du monde entier mandatés par les pays qui y adhèrent, expertisent et commentent tous les travaux de recherche qui ont lieu sur le risque de changement climatique provoqué par l'homme. Il ne s'agit pas d'un laboratoire de recherche mais d'un organisme où l'on expertisent des traveaux de recherche mené dans les laboratoires de recherche du monde entier. Le GIEC publie a intervalle régulier des rapports très détaillés et de la documentation plus spécifique sur des points particuliers. Les documents produits par le GIEC servent de référence dans le cadre des négociations internationales sur les gaz à effet de serre.

La création du GIEC répond à la nécessité de mesurer scientifiquement l'ampleur du changement climatique dans la perspective de trouver des solutions. Dorénavant, la prise en compte de l'environnement fait partie des prises en compte obligatoire pour l'évaluation des politiques économiques.

B) Le protocole de Kyoto

Le protocole de Kyoto de décembre 1997 tentent de concilier les logiques de marché et le développement durable. La majorité des pays industrialisés s'est engagé à réduire ces émissions ge gaz à effet de serre d'au moins 5% d'ici à 2012. Afin de rendre le dispositf suffisement flexible. Le protocole a prévu la mise en place la dispositive de « permis à polluer » qui permettent d'acheter ou de vendre entre pays signataires les droits à émettre des gazs à effet de serre. Les pays qui n'utilisent pas tous leurs droits à polluer, peuvent les vendre à d'autres moins vertueux.

Cependant les réticences russes à y participer mettraient en danger la mise en place du protocole. En effet Vladimir Poutine a déclarer en réponse aux demandes de l'ONU et de l'UE de ratifier rapidement le protocole de Kyoto.« Pour un pays nordique comme la Russie, un réchauffement climatique de 2 à 3 degrés ne serait pas grave, et peut être même bénéfique. On dépenserait moins pour les mateaux en fourrure et les vêtements chauds. »

C'est un danger car pour entrer en vigueur, l'accord doit être ratifié par un ensemble de pays réprésentant au moins 55% des émissions de gaz à effet de serre. Or la Russie pèse à elle seule 17%.