Les réseaux sociaux participent-ils à la démocratie ?

En mai 2021, le nombre d’utilisateurs actifs des réseaux sociaux s’élève à 4,33 milliards (dont 39 millions d’utilisateurs actifs en France), soit 55,1% de la population mondiale. (le réseau social le plus utilisée dans le monde est Facebook avec 2,8millards dans le monde dont 40 millions en France ).Chaque année se nombre augmentent considérablement. Un réseau social est un site internet qui permet aux internautes de se créer une page personnelle afin de partager et d’échanger des informations, des photos ou des vidéos avec leur communauté d’amis et leur réseau de connaissances. Aujourd’hui, plusieurs dizaines, centaines, de réseaux sociaux existent et sont utilisées. De plus, la démocratie est un régime politique dans lequel le pouvoir politique appartient à l’ensemble des citoyens. Il respecte et garantie la liberté individuelle et collective, la séparation du pouvoir et le pluralisme politique. Les réseaux sociaux sont-ils liés à la démocratie ? Sont-ils des facteurs essentiels à celle-ci ? Pour y répondre nous allons nous intéresser à, (est ce que) les réseaux participent-ils à la démocratie ? Dans un premier temps nous étudierons que, oui ils participent à la démocratie avec un effet positif, et dans un second temps, qu’ils ne participent pas à la démocratie avec un effet négatif.

Première partie :

Premièrement, les réseaux sociaux se sont instaurés dans notre quotidien et donc sont de plus en plus utilisés pour n’importe quelles occasions et à n’importent quel moment de notre journée.

Nous faisons partie d’une société ou les réseaux sont indispensable pour la plupart de la population. Au départ, ils étaient considérés comme un facteur de lien social qui permet une expression libre et interactive. Et ou à n’importe quel moment de la journée on l’utilise pour exprimer un point de vue, une opinion (pour donner suite à des faits qui a pu se passer au qui est en train de se passer). Leur usage sera petit à petit détourné au profit de projet plus mercantiles. Les réseaux sociaux peuvent être une opportunité pour la démocratie. En effet, ils offrent une nouvelle opportunité démocratique de la parole à l’origine du « printemps arabe ». Et ou les réseaux sociaux remplacent la presse traditionnelle (car l’on a un accès instantané ou plus rapide au informations). Ils jouent un rôle essentiel dans la diffusion d’information. Grâce au réseaux sociaux on pourra avoir plus facilement accès aux nouvelles informations qui cela pourra nous permettre d’être tenu au courant assez rapidement des nouvelles lois ou des nouvelles décisions qui ont été prise.

Les réseaux sociaux sont positifs à la démocratie puisque celle-ci représente la liberté de pensée, d’écrire, de dire ce que le citoyen souhaite en restant dans la légalité. Donc, un politicien, une célébrité, un citoyen peut exprimer et publier ce qu’il le souhaite sur un ou plusieurs réseaux sociaux pour que dans l’instantanéité plusieurs milliers de personnes puissent découvrir et connaitre l’opinion le point de vue de cette personne. Et ainsi échanger avec des personnes ayant le même avis ou un avis contraire. Prenons exemple des gilets jaunes, les réseaux sociaux ont été particulièrement le lieu d’échange pour échanger et exprimé une volonté ou un désaccord sur un certain nombre d’action réalisées ou qui seront réalisés dans le futur. Grâce au réseaux sociaux on peut réunir des personnes qui sont du même avis ou du même parti politique. Par exemple sur les réseaux sociaux on peut avoir des comptes des personnes politiques assez connu comme Emmanuel macron avec 2,7 millions abonnés sur Instagram et 7,5 millions sur twitter, marine Le Pen à 1,5 millions d’abonnés sur twitter et 204k sur Instagram. Pour Jean Luc Mélenchon il a 1,5 millions d’abonnés sur twitter et 144k sur Instagram. Éric zemmour a 384,4k sur twitter et 176k sur Instagram. Grace au fait qu’autant de personne soit abonnés au personne politique là ils pourront voir les idées qu’ils ont décidé de prendre, les idées qu’ils ont. Grâce aux réseaux sociaux ils pourront faire des groupes sur les réseaux pour parler des idées ou des lois qui sont sorti et en quoi si les idées qu’ils ont eu peut avoir un aspect positif ou négatif a la démocratie.

De plus, la technologie à bouleverser la société dans laquelle nous vivons, plus spécialement, le web aurait des vertus dans la démocratie, avec plus de transparence, facilitation du débat, capacité à interagir et à communiquer plus rapidement, au départ quand les réseaux sociaux sont arrivés pendant plusieurs contextes tendus, ils avaient pour facteurs d’être un lien social pour une expression libre et interactive, mais leur usage sera vite détourné. Et sera peu à peu détourner pour un usage mercantile. Ils offrent une opportunité de diffusion démocratique de la parole à l’origine du « Printemps arabe ». Et le peuple s’empare de cette arme de « dégagisme massif », pour diffuser des informations, nous pouvons prendre pour exemple, l’opérations de sauvetages pour sauver le petit Ryan tomber dans un puit d’une profondeur de 36 mètres. Dans le monde entier grâce aux réseaux sociaux nous avons pu suivre cette affaire dramatique qui a eu lieu au Maroc, et y voir ce que les gens en pensaient, leur point de vue, leur opinion et le soutien qu’ils ont apporté au sauveteur et à la famille.

Les réseaux sociaux sont des lieux ou rarement on arrive à un compromis social intelligent après des arguments très rationnels. Mais ils sont montrés comme des hauts parleurs qui permet de parler à chacun à sa communauté idéologique, diffuser des annonces, d’informer d’une réunion. Que ce soit sur Facebook, Instagram, où sur Twitter, les personnes qui ont une communauté énorme avec des centaines, de milliers de personnes, comme une personne politique, va transmettre ses idées sont opinions, diffuser des informations qu’elles soient positives ou négatives les personnes qui les suivent pourront avoir le même avis que cette personne après qu’elle aura entendu la personne qu’elle suive. Elles pourront également partager leur avis négatif ou positif dans les commentaires, et en faire débat, en discutant avec les personnes contre et celle qui sont pour. Cela favorise la liberté de pensée et de dire ce que l’on veut.

Transition

Après avoir vu dans un premier temps que les réseaux sociaux participent à la démocratie quel que soit l’effet qu’elle procurait, nous allons étudiez que les réseaux sociaux ont des effets négatifs dans la démocratie.

Deuxième partie :

Bien que les réseaux sociaux soient un moyen puissant pour communiquer et diffuser toutes informations, et de pouvoir parler au monde entier, nous avons le problème du rôle des algorithmes, c’est-à-dire qu’ils décident des contenus mis en avant. Et certains propos d’acteurs qu’ils soient bons ou mauvais marginaux deviennent ainsi beaucoup plus visibles que si l’on se trouvait dans une libre concurrence des idées. Par exemple, une vidéo avec des propos racistes sera regarder 100 000 fois en entier par 100 000 personnes qui seront engagées sera une vidéo mise en avant donc qui apparaîtra en premier dans la suggestion car elles seront classées comme intéressante par YouTube et elles feront l’objets d’un débat qui pourraient avoir lieu par tous les citoyens qui seraient pour ou contre ce qu’il est diffuser contrairement à une vidéo qui ne serai pas voir peu regarder seraient moins exposer à la vue des gens.