Oral Diderot

nL’autorité par la force et la violence qui selon lui, n’est qu’une illusion, et ne dure pas, elle se retourne même contre celui qui l’a imposée en premier.  ligne 12  2

L’autorité née d’un consentement entre plusieurs personnes qui ont définit dans un contrat LEUR autorité.  ligne 7  3

Les deux dernières autorités proviennent des hommes et des peuples tandis que la première provient de la nature.

Selon Diderot, un homme naît libre et non SUJET.

B. Diderot semble rester Objectif/ universel :

Diderot reste très objectif et universel pour faire de son article une vérité générale, à laquelle tout le monde devrait adhérer. Il utilise des formules générales, en inventant ces propres définitions qui apparaissent parfois comme arguments d’autorité, ou conclusion évidente. ligne 14.  4

Diderot utilise le présent de vérité générale et peu de pronoms personnels tout au long de son article, tout comme cela est fait dans les dictionnaires. Aussi les phrases d’explication sont longues et suivie de phrase brève et explicite, elles sonnent la encore comme une conclusion  ligne 29  5. Cependant, Diderot n’est évidemment pas objectif puisqu’il fait une critique VISIBLE et EXPLICITE de la monarchie de droits divins .

C. Progession logique de ses idées dans l’article :

Comme on l’a exposé plutôt, Diderot établit son postulat des la premiere phrase, dans un premier temps donne une définition, la sienne, de l’autorité, comme si elle était incontestable

Puis, il remet en question ce qui existe alors, , il ecrit : ligne 23  6 , Puisque Dieu est le maître absolu et que personne d'autre n'a ses droits, la monarchie absolue n'a lieu d'exister puisqu'elle repose sur le pouvoir divin

Enfin, il apporte d’eventuelles solutions :

Il rappelle sa premiere idée : en parlant de nature, il utilise a nouveau la métaphore de la famille  ligne 48  7

Introduit une nouvelle vision de la Nation , vision propres aux lumieres : LE PEUPLE .

2. Texte engagé

A. Denonciation de l’autorité politique absolue

Il s’agit un texte d'une grande audace où Diderot tente d'orienter la réflexion des lecteurs vers le rejet des régimes politiques autoritaire et surtout celui de la monarchie absolue. Cependant, Diderot n’oriente pas les lecteurs vers une REVOLUTION mais plutôt vers une evolution, il nuance un peu ses idées avec « Quelquefois » « devenant alors prince cesse d’etre tyran », il ADMET.

B. Dynamisme, et volonté de convaincre

- Périodes en clé de voute  ligne 3 à 6  8

- Volonté de convaincre : par la raison.

- Il fait preuve d’ironie lorsqu’il dit : « si par le plus grand des malheurs…… alors le sceptre et la couronne reviendrait à la nation ». Mais en réalité, c’est EXACTEMENT ce qu’il voudrait. Par NATION il entend PEUPLE et donc REPUBLIQUE.

C. Texte catégorique avec emploi de vocabulaire péjoratif

- Catégorique : Aucun (l1), chaque (L2), toute autre autorité (l5), « toujours », « necessairement »

- Péjoratif : tyran, joug, usurpation.

- L’emploi de ces termes marquent que l'auteur est engagé et qu’il est SURE de ce qu’il avance.

- Diderot argumente, et utilise des expressions qui traduisent son assurance.

On sent la conviction de Diderot pour affirmer qu’il a raison, car il ne prouve pas réellement ses propos.  l’homme ne peut, ni ne doit (l24)

Autorité politique est un article