Synthese spor

e la même manière, la culture de consommation transforme le sport dans un enjeu économique.

Pour commencer, A. Ehrenberg évoque une société avec un esprit d’entreprise bien marqué ainsi que une culture de consommation qui traine des dépendances. De même, J. Julliard renforce cette idée en montrant dans l’exemple du drame de Heysel que les télévisions ainsi que les joueurs continuent son rôle simplement pour accomplir un contrat. Egalement, M. Bernard, ajout l’idée que la technique sportive est l’image de la société capitaliste. Le sport est simplement la pratique du système de production ; il s’agit toujours d’une production excessive d’argent.

Ainsi, on remarque que la société ne s’intéresse plus au sport comme une activité à jouir, à partager si non comme une machine qui fourni un énorme profit économique.

D’autre part, la recherche de l’amélioration des performances fait devenir le sport dans une guerre narcissique.

En fait, A. Ehrenberg fait apparaitre le sport immergé dans le dopage, il explique que la recherche de la modification et l’amélioration de ses performances physiques et mentales sont le résultat d’une culture de concurrence interindividuelle. De la même façon, J. Julliard montre que le sport est devenu une guerre où le gagnant sera toujours celui qui a la plus haute performance. De même, l’image de Serre, suggère la stimulation de son corps pour atteindre une haute performance physique et de cette manière être compétitif ; le rendement se mesure maintenait aux muscles. Au contraire, dans cette perspective d’une société compétitive, le dépassement des limites de soi, selon M. Bernard est plutôt lié à l’effort, la discipline, l’entrainement.

En résumé, le dopage dans le milieu sportif est le résultat d’une société marquée par une culture individualiste qui perd constamment l’idée d’égalité, d’encouragement, de respect en vers autrui qui sont des valeurs propres à cette société.

En conclusion, le sport est révélateur de la perte de valeurs sociales, il étant une image de la société. « Il (le match de football) y trouverait réunies la plupart de maladies sociales dont nous souffrons : la violence, la triche, le fric et l’ennui. » J. Julliard.

Bien que le sport relève certaines dérives, il continue à être un univers permettant la manifestation de passions collectives et individuelles ainsi qu’un vecteur d’intégration. Dans quelle mesure le sport émerge notre représentation d’un certain idéal ?

SYNTHESE SPORT

« l’outil plus educatif que j’ai eu a été à travers le sport : là j’ai appris à accepter la defaite, à me lèver lorsque je n’ai pas bien fait les choses, de m’efforcer pour mieux faire, …» Pep Guardiola (entraineur du FCBarcelona). Quatre documents traitent et etudient le sport et son rapport avec les valeurs de la sociète ; Premierement l’articlé intitulé « sport » de M. Bernard qui aborde le caractere bienveillant pour la société du sport, en deuxieme place un autre article intitulé « tout est fauz dans le foot » de J. Julliard que présente le football comme l’image d’une guerre. D’autre part A. Ehrenberg dans un entretient analyse les causes qui ont provoqué l’apparition du dopage au sein du sport, finalement une caricature qu’exemplifie le dopage au service des sportifs. Ces documents amenent à reflechir sur le sport comme reflet d’une societe qui perd ses valeurs. On orientera cette synthese sur les trois axes suivants : le sport generateur d’emotions destructives ensuite les enjeux avec le monde capitaliste et enfin sa relation avec le dopage

Tout d’abord le sport est devenu un lieu de debordement d’emotions destructives comme la violence.

Premierement Ehrenberg affirme que le sport a acquis deux roles tres importants : le sport permet l’egalité pour tous nottament lorsqu’il parle de la manque d’interference sociale et aussi un role civilisateur qui permettait de s’eloigner des drogues et aussi de diminuer la violence. Bernard coïncide avec Ehrenberg et ajoute que le sport accomplit une fonction sociale que permet la communion collective. Par contre Juillard refuse ses idées et explique que le foot est devenu un lieu de debordement d’emotions destructives par exemple la violence, la triche, l’ennui et il va au dela car il compare le foot avec une guerre notament en utilisant le champ lexical de la guerre : affrontement, assaut, mercenaires… donc on peut conclure que le sport est devenu un generateur d’emotions destructives comme la violence meme si a la base il suivait le concept de fair play, il montre la ouvelle façade de notre societe qui perd le respect pour les valeurs en engendrant la violence.

Meme si le sport peut engendrer de la violence il peut etre au meme temps une image du monde capitaliste

Dans un premier temps, Bernard explique que le sport s’est developpe au sein du système capitaliste, en particulier, car le sporte esr né lors de la revolution industrielle, de meme il montre que le sport imite le système de production capitaliste , Ehrenberg partage cette opinion nottament lors qu’il parle de l’esprit de l’entreprise, ainsi Bernard montre que le sport est devenu aussi un outil pour faire de l’argent. D’autre côté. Julliard precise que l’argent a penetré au sein du jeu et les jouers sont devenus des mercenaires qui cherchent le benefit propre notamment lorsque l’auteur parle des contrats.

En somme le sport est l’image de la société capitaliste, il permet de créer des richesses pour les joueurs et de la meme façon pour ceux qui l’ont engendré, ainsi il met en evidence la nouvelle societe qui perd les sens des valeurs et cherche le profit economique.

Bien que le sport est controlé par la societé capitaliste, il a une profonde relation avec le dopage qui permet aux sportifs d’ameliorer leurs capacités et de modifier leur