Théorie et modèle de l'information communication
Cours : Théorie et modèle de l'information communication. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar mines.dacamara • 17 Mars 2023 • Cours • 8 348 Mots (34 Pages) • 413 Vues
Théorie et modèle de l’information communication
31-01-23 voir i campus présentation
- 2 Partiels (note d’assiduité)
Objectif :
- Déterminer les liens entre médias et op Pu et démocratie
- Revenir sur les grandes théories qui ont permis et forgée la communication
3 thématiques centrales
- Culture populaire : qu’est-ce que la CP a l’heure de l’industrie culturelle ? est-elle tjrs dominé ?
- L’idéologie, l’identité et le PU : quels liens entre pratique culturelle populaire et les questions identité ?
- Productions, réception et les médias : qu’est ce que les usages populaires des textes, y a-t-il configuration des rapport entre émetteur et récepteur.
Questionner la ou les communications comme constitutifs de la sté.
- Introduction au texte de Barthes :
Barthes 1915 : 50’s= imposer comme figure centrale du structuralisme, moment important de la vie de l’auteur. ‘Père du structuralisme’.
Qu’est-ce que le structuralisme ? Mvt intellectuel, qui affirme que tt phénomène se structure de manière signifiante. D’après certains auteurs, De Saussure, émet l’hypothèse selon laquelle on peut étudier une langue comme structure, chaque élément ne prends sens que dans sa relation et opposition à d’autres élément.
De Saussure ; fondateur de la linguistique moderne qui proposa au dbt du 20è la sémiologie comme science général des signes, mais demeura une idée abstraite jusqu’au 60’s. C à partir des 60’s que les critique littéraires, anthropologues et d’autres intellectuels impressionnés par les succès de la linguistique cherchèrent à intégré ces perspectives méthodologiques, que cette discipline a commencé à gagner du terrain.
Barthes figure parmi les 1er défenseurs de la sémiologie, d’ailleurs il en fit son domaine de prédilection en choisissant la sémiologie comme titre de sa chaire au clg de France (poste de prof titulaire l’enseignement sup). Mais précise le caractère particulier de sa propre sémiologie par rapport à ces disciplines naissantes qu’il va proposer dans le cadre de plsr ouvrages. Dans Le degré zéro de l’écriture 1953, il démontre comment l’écriture est condamnée à se signifié elle-même considérant ainsi que l'étude des structures du langage littéraire permet de déterminer les significations du texte et ce dans la continuité de la linguistique élaborer par Saussure. Pour les 2 auteurs, la langue est un système cohérent à étudier de façon autonome.
L’ethnographie : Etude empirique au groupe humains des ethnies.
Anthropologie : études des hommes en sté et son évolution.
Barthes est désigner comme l’un des ethnologues les plus marquant de la petite bourgeoisie française par ses analyses des idéologies qui lui sont propres (a cette bourgeoisie), un travail qu’il propose dans ses textes : ‘Petites mythologies du mois’. Lui-même issue de la bourgeoisie provincial, il déclare à propos de ses textes : « en moi le compte petit bourgeois ne finis pas de se régler[…] mon intérêt très ambivalent pour la petite bourgeoisie vient de ce postulat qu’aujourd’hui la culture n’est presque plus bourgeoise mais petite bourgeoise ».
Roland Barthes s'interroge sur l'évolution de la culture bourgeoise à la culture petite bourgeoise. Pour lui, les petites classes moyennes ont pris le pas sur les classes plus aisées dans le déterminisme de la culture. Il observe que les petits bourgeois ont une attitude ambivalente envers leurs comptes et leurs finances, et qu'ils sont à la fois attirés et effrayés par l'idée de se régler.
Barthes constate que les petits bourgeois sont de plus en plus présents dans la culture et que c'est eux qui définissent aujourd'hui les codes et les normes de la société. Il remarque que leur influence est si forte qu'elle a pris le pas sur les classes plus aisées. Selon lui, cette nouvelle culture petite bourgeoise est plus flexible et plus ouverte que la culture bourgeoise.
60’s : Georges Friedman (sociologie du travail) créée avec Barthes (sémiologie) Morin (anthropologie) le centre d’études des com de masses. C’est créé avec un idée précise : celle de faire de la com et de la culture de masse un objet d’étude en soi. Dans les 60’s ct inédit cela était considéré comme sub-objet.
Mythes - d’origine grec : signifie récit, une histoire avec caractéristique précises dont la plus importante est la présence du sacré sur l’homme et sur le monde. Dans le mythe chaque élément a une fonction symbolique, chaque ele renvoi a une interprétation. Ainsi le mythe ne délivre pas de msg immédiatement clairs ou accessible, il propose un enseignement a déchiffré, a s’approprier. La symbolique sert parfois a matérialiser des choses difficile a percevoir
Le mythe répond au besoin de l’homme de s’interroger sur l’origine et la condition de l’homme. C pour cela que les mythes ne sont pas de simple histoire mais c plutôt une réponse symbolique a l’interrogation de l’homme. En ce sens le mythe dans son essence même est proche de la philo qui s’interroge aussi sur l’homme et sur le monde, avec un diff c que la philo n’a pas ce rapport au sacré contrairement au mythe. Depuis le dbt de la modernité les penseurs occidentaux, découvrent chez tous les peuples des récits fondateurs, exemplaire qui sont transmis entre générations et qui se démarquent par l’élaboration poétique ou mises en scène rituels.
Certains les appels mythes, d’autre fables ; ces récits présentent une invention du monde différente de celle de leurs lecteurs occidentaux qui les considèrent comme étant faux, mythes face a une unique histoire véridique soit biblique soit scientifique. Dire de l’histoire qu’elle est un mythe équivaut a l’appeler ‘mensonge’ que l’autre prend pour vrai, le mythe est donc la ‘vérité’ que l’autre souhaite croire comme l’indique Pouillon.
Paradoxalement, une des facettes du concept du mythe est l’impression que c qql chose qui existe partout, partout il y a des histoire importantes qui mettent en scène des personnages et des évènement que nous dirons miraculeux ou impossible.
Concept du mythe moderne : L’idée est de s’interroger sur les traits insolites, singuliers, des histoires des autres ainsi que sur les parallèles possibles qui peuvent exister entre de telles histoires dans diff partie du monde et a diff période historique.
Barthes s’intéresse aux mythes modernes, en publiant une série de petites analyses d’image , des petites histoires de la petite bourgeoisie. A travers ces analyses Barthes cherche dans chaque cas a dégager la porté de ces phénomène. Il qualifié cette portée de mythique en se référant à la notion de fausseté dans la portée sociale qu’on ces objets d’études, cad que derrière le sens patent (évident) se cache un sens non critiqué qui renforce l’idéologie dominante, ainsi le mythe est nécessairement conservateurs d’après Barthes.
07-02-23
Exposer : Clara & Paulo
Le texte mythe comme système sémiologique.
Mythe petit bourgeois : bourgeois= classe sociale élever qui aime bien s’entourer de normes de bons sens, le ptit va récup ces normes, les appauvrir. Petit bourgeois a la source des mythes. Le ptit bourgeois renvoi a la classe moyenne de la sté française.
Un mythe= une parole qui s’articule dans un système, à partir du moment où on ajt un usage a la phrase pure.
Le mythe n’est pas éternel, car régit par l’histoire.
Le mythe est un msg, car il est une parole et est significative, c cette parole qui va donner sens à son message.
Cours :
En analysant, l’image de l’abbé Pierre ou encore le steak-frite , Barthes déchiffre les significations cachées de ces matériaux, comme autant de symbole qui peuvent etre banale en apparence mais qui sont selon lui des P° historique véhiculant des idées socialement conservatrices.
Mythologies est un recueil de 53 articles de la rubrique, Petite mythologies du mois, paru dans la revu des lettres modernes. Il rassemble ces faits divers analytiques et le rajoute un grand texte généralisant le mythe aujourd’hui qu’il choisi de mettre en postface. Il s’agit d’un essaie sur le mythe comme système sémiologique et sa place dans nos stés. L’auteur n’ pas recours à la permutation des parties pour dissimuler le caractère tardif de ce texte, au contraire il nous laisse suivre son parcours intellectuel, comme il explique dans sa préface : l’idée pour lui est de présenter les observations de départ puis les résultat théorique auxquels il a abouti ; il avance à ce propos : « après avoir explorer un certains nombres de faits d’actualité […] j’ai tenté de définir d’une façon méthodique le mythe contemporain, texte que j’ai laissé bien entendu a la fin de ce volume puisqu’il ne fait que systématiser des matériaux antérieur ».
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