Question entrevu MNG 1000
Fiche : Question entrevu MNG 1000. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Christophe Pelletier • 23 Avril 2018 • Fiche • 1 198 Mots (5 Pages) • 875 Vues
Principe de logique : examen maison 2
1. Au paragraphe 8 on dit que le couguar chasse de petits mammifères, tels le porc-épic, le castor, le coyote, etc. D’après votre compréhension de ce qu’est un genre, peut-on dire que « petits mammifères » serait un genre des espèces « porc-épic », « castor » et « coyote » ? Expliquez votre réponse. Si vous pensez qu’il ne s’agit pas d’un genre, précisez en outre de quoi il serait plutôt question.
1. Selon mes connaissances je ne crois pas qu’on puisse affirmer cela de la sorte. Le genre des espèces « porc-épic », « castor » et « coyote » serait « mammifères », un genre intermédiaire. Pour ce qui est du prédicable « petit », il serait un accident commun de l’universelle « mammifères ».
En premier lieu, je veux préciser la nature du genre « mammifères » car il peut jouer un double rôle. Dans cette situation, il peut se retrouver comme une espèce dépendamment de la manière qu’on voit les choses. Si nous prenons le genre « animal » qui peut se diviser en deux espèce/genre soit « vertébré » et « invertébré ». Une des espèces, du genre « invertébré » serait « mammifères », accompagné de « oiseau » (seule espèce citée dans le [10]). Ce qui ferait, si je m’arrête ici, de « mammifères » une espèce. Par contre, si nous continuions, sous « mammifères », nous pourrions avoir aussi différentes espèces (« mammifères marins » et « mammifères terrestres »). Voilà pourquoi que dans cette situation je crois que « mammifères » serait un genre intermédiaire. Tout simplement, car il peut être genre et à la fois espèce.
Secondement, le prédicable « petit » me laisse croire qu’il est un accident commun de l’universelle « mammifères ». Entre autres, car le fait d’être petit ne définit aucunement le fait d’être un mammifère (son essence). « Petit » est un accident contingent, car il ne fait que coïncidé avec plusieurs autres espèces de ce genre. En plus, ce prédicable est défini de l’extérieur. Autrement dit, « petit », est ce qui arrive à certaines espèces de mammifère et n’est clairement pas une propriété de tous les mammifères (genre).
2. Une des choses du texte qui peut être considéré comme un propre du cougar est sa « longue queue ». En premier lieu, j’appuis cette affirmation avec les propos de l’auteur qui précède le prédicable : « L’une de ses caractéristiques distinctives ». Donc, un accident qui est propre à son espèce. Tous les cougars ont une longue queue. C’est littéralement une propriété qui s’applique qu’aux cougars et non aux autres félins. D’où le nom « pi-twal » qui signifie « longue queue ».
Ensuite, je rajouterai que sa « longue queue » est propre au sens large. Par opposition au sens strict, tous les cougars ont une longue queue, mais pas seulement eux. Cette caractéristique précise, d’avoir une longue queue, peut aussi se dire de d’autres espèces. Par exemple, les singes ont eux aussi une longue queue. Ce qui me laisse croire qu’il s’agit d’un propre au sens large du terme. [1]
3. Un des accidents communs du cougar que j’ai identifié dans le texte se retrouve au paragraphe 2 : « Comme tous les félins, il a un corps souple, musclé et trapu, une poitrine forte et la tête ronde et courte. ». L’énoncé « Comme tous les félins » m’a grandement aidé à repérer cet accident contingent. Le fait d’avoir un « corps souple », peut coïncider avec d’autres espèces de félins. Qu’il aille cet attribut physique ou non, n’affecte en rien l’essence du cougar. En d’autres mots, qu’il soit souple ou non, il restera tout de même un cougar. Ce qui respecte l’un des critères de l’accident commun : « … n’est donc pas retenu dans les limites de l’espèce ». Pour finir, la réponse à la question « qu’arrive-t-il au cougar ? », est du ressort de sa singularité et non de son essence, ce qui me laisse croire qu’il s’agit d’accident contingent.
4. La différence spécifique est rare et dure à trouver. Il faut que le prédicable soit antérieur à l’espèce, qui entre dans la constitution de l’essence, soit une cause de l’essence et soit nommé de l’intérieur. Pour trouver la différence spécifique du cougar il nous faut de grandes connaissances biologiques sur le sujet (cougars), et une bonne maîtrise des principes de logiques. Mon hypothèse est que l’article n’était pas axé sur une différence spécifique précise du cougar, qui est peut-être même inconnue de l’auteur. Le texte est plutôt axé sur les accidents et l’essence du cougar. Ce qui permet, tout de même, de bien informer le lecteur sur le cougar.
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