L’aveu - La princesse de Clève, 1678
Commentaire de texte : L’aveu - La princesse de Clève, 1678. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar yass.dah6 • 13 Novembre 2021 • Commentaire de texte • 365 Mots (2 Pages) • 498 Vues
Fiche texte
N° de séquence + titre : Séquence 1 - La princesse de Clève
Objet d’étude : Le roman et le récit du Moyen Age au 21ème siècle
Titre du texte + titre de l’œuvre + date : L’aveu - La princesse de Clève, 1678
Axe et point d’intérêt du texte :
1 : Aveu de la PDC- 2 : Réaction du prince
1) L1→ négation absolue (ne rien, ne pas) = caractère privatif/met en évidence le caractère de la princesse. Répétition du v. « dire » = relation cause à effet (vous ne me dites rien, c’est me dire) → insiste sur les non-dits et sur l’annonce de l’avoeu. L2-3→ La PDC prend les choses en main, interjection « et bien » = prête à tout lui avouer. Inversion des rapports traditionnels homme-femme. « En se jetant à ses genoux »→ rend la scène théâtrale. La scène parait unique grâce à la proposition « Un avoeu que l’on avait jamais fait à son mari » = caractère héroïque de la PDC. Les termes « innocence » et « intention » → insiste sur le fait qu’elles ne se sentent pas coupable. « Périls » = danger de cet amour. L6-7 → Prop subordonné hypothétique «et je ne craindrais pas … retirer de la cour » → recherche de bon conseils, d’un guide. L8-12→ L’aveu prend une tournure héroïque, sacrifice de la PDC « me conserver digne d’être à vous », négation absolue « je ne vous déplairai jamais » = honneur.
2) L16-18 = Parallélisme de construction « Plus digne d’estime… », « Je me trouve le + malheureux… » 1ère partie du parallélisme : description méliorative de la PDC. 2ème partie du parallélisme : description péjorative du PDC. « Qui ai jamais était » = subj. Passé → rend la scène inédite. Va à l’encontre de la bienséance. L21-23 = succession de question → accélère le rythme, met en évidence la jalousie du PDC. Diversité de MI « depuis quand », « quel » etc… mettent en évidence sa curiosité.
Conclusion : Cette scène montre un couple hors du commun qui à la manière des personnages de la tragédie suscite l’admiration et la pitié. La passion est redoutable…
...