Analyse de pratique bilan sanguin
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Je pars à la chambre du patient avec le chariot. Je fais une friction des mains avec la solution hydro alcoolique ( UE 2.10. S1. Arrivée à la chambre de la résidente je prends juste le matériel nécessaire dans le plateau. Je tape à la porte et j’attends que la personne me dise d’entrer.
Je dis à la personne que je veux lui faire une prise de sang et j’explique pourquoi cette prise de sang est faite en adaptant mon langage. Puis je demande à la personne si elle veut bien que je lui fasse la prise de sang. Si elle est consentante pour le prélèvement sanguin, je lui demande son nom, son prénom et sa date de naissance dans un souci de sécurité afin de ne pas prélever de sang au mauvais patient. Je demande à la résidente où est ce qu’elle préfère que je lui fasse la prise de sang. La résidente voulait que je lui fasse la prise de sang en restant dans son lit. Je règle le lit à la bonne hauteur afin d’être le plus à l’aise possible et je rehausse ou baisse le dossier de la résidente comme elle veut. Je nettoie l’endroit ou je vais poser mon plateau et le matériel pour le soin à l’aide d’une lavette et du désinfectant Anios.
J’amène une chaise jusqu’auprès du lit de la résidente pour pouvoir se mettre à l’aise (ergonomie
J’engage la discussion avec le patient pour ne pas qu’il soit trop angoissé, le mettre à l’aise ( relationnel
Je vérifie les dates de péremption et l’intégrité des emballages du matériel. J’installe le container à déchets loin du matériel propre.
Je demande à la personne à quel bras elle préfère que je lui fasse la prise de sang et on regarde sur les deux bras l’état des veines de la personne. Je choisis donc le bras sur lequel on va faire la prise de sang en faisant en sorte de satisfaire la personne et de pouvoir réussir la prise de sang mais aussi dans un optique de lui faire le moins mal possible. Je prends la protection papier absorbante et je le place sous le bras de la personne qu’on a choisi pour effectuer la prise de sang.
Prendre le garrot, le mettre en dessous du bras de la personne, croiser le garrot vers le haut et coincer une des deux parties du garrot en tirant sur celle-ci afin qu’il soit bien serré. Le nœud doit être fait de sorte que l’on puisse tirer sur le garrot d’une main afin de l’enlever plus tard.
Je regarde le bras de la personne et je sens les veines avec les doigts. Je demande à la personne de serrer le poing, je mets le bras en déclive et je tapote les veines ce qui permet de favoriser la dilatation des veines. Je choisis la veine ou je vais piquer, de préférence choisir le pli du coude pour faire le moins mal possible à la personne, la main étant un endroit douloureux pour un prélèvement sanguin. Je choisis de piquer dans une veine au niveau du pli du coude que j’ai repéré au toucher car elle ressortait bien.
J’effectue un traitement hygiénique des mains par friction avec une solution hydro alcoolique puisqu’il s’agit d’un geste invasif. J’enfile les gants non stériles pour diminuer le risque d’exposition au sang ( UE 2.10. S1,
Je prends un coton que j’imbibe d’un peu d’alcool modifié à 70°, j’aseptise l’endroit ou je vais piquer en passant une seule fois et en partant du bas (de la main) et en allant vers le haut (l’épaule). Ce geste permet d’aseptiser l’endroit ou va pénétrer l’aiguille notamment sous les poils, d’éviter une infection en introduisant des germes et de favoriser un afflux de sang. Je mets le coton dans le plateau, que je mettrai tout à l’heure dans la poubelle verte en ressortant de la chambre ( UE 2.10. S1
J’ouvre l’emballage de l’épicrânienne, j’enlève le capuchon en plastique. Juste avant de piquer, j’annonce à la résidente que je vais piquer. J’immobilise la veine en tendant la peau avec le pouce en dessous du point de ponction pour éviter qu’elle ne roule. J’insère l’aiguille dans la veine à un angle de 30 degrés, biseau vers le haut, dans la veine à l’aide des ailettes. Puis abaisser légèrement l’aiguille parallèlement à la peau. Je regarde si j’ai un retour veineux sur l’aiguille épicrânienne. J’adapte le corps de pompe sur l’adaptateur de l’épicrânienne. Et j’insère les tubes dans l’ordre qu’il faut en mettant d’abord le tube témoin afin de purger l’air du sang. Je remplis les tubes à la hauteur nécessaire pour l’examen. J’homogénéise les tubes qui contiennent le sang pendant que le tube suivant se remplit par plusieurs retournements lents à 180°. Pour les tubes avec gels je fais 5 retournements et pour les autres tubes je fais 8 à 10 retournements. Je repose les tubes dans le plateau. L’aiguille est toujours dans la veine, je tiens l’épicrânienne d’une main et de l’autre j’enlève le garrot. Je demande à la résidente de desserrer le poing. Je prends le deuxième coton, je le mets au niveau de l’aiguille, j’appuie sur l’aiguille épicrânienne au niveau de la petite flèche afin de rétracter l’aiguille alors qu’elle est encore dans la veine. J’appuie avec le coton sur le point de ponction pour ne pas que le sang coule. Je jette l’épicrânienne, et le corps de pompe dans le container jaune, déchets à risque infectieux ( UE 2.10. S1 Je jette l’aiguille dans le container car je pourrais me piquer moi-même ou un autre membre du personnel si je la jetai dans un sac poubelle normal. Si je me piquais avec l’aiguille il y aurait un risque d’infection à des virus, des maladies.
Je prends le bout de scotch et j’attache le coton à l’endroit ou j’ai piqué. J’enlève la protection papier absorbante en dessous du bras et le garrot.
J’enlève mes gants et je les pose sur le plateau. J’effectue un traitement hygiénique des mains par frictions avec une solution hydro alcoolique.
Je prends les étiquettes au nom de la patiente et je les colle sur les tubes de prélèvements pour que le laboratoire puisse les identifier quand
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