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Analyse de pratique stage- prélèvements sanguins

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ition allongée en cas d'incident.

Pendant que le patient retire son pull afin que je puisse accéder à ses bras, j'effectue un lavage simple des mains pour des raisons d'hygiène et d'aseptie.

Le patient installé à son aise, j'installe à mon tour mon plan de travail:

une table adaptable

un plateau stérile

le tube gris

l'aiguille

un porte tube

des compresses

un garrot

un conteneur pour déchets d'activité de soins à risque infectieux

un antiseptique

un pansement

des gants

un flacon de solution hydro alcoolique

un haricot

En prévention, je décide de prendre la tension artérielle du patient: 11/7

Mr F ayant des veines visibles à l'oeil nu au pli du coude du membre supérieur droit, je prends la décision de placer le garrot au dessus du pli du coude droit du patient puis j'effectue une friction des mains avec la solution hydro alcoolique.

Les veines du patient étant encore plus visibles, je choisis le lieu de la ponction sanguine en palpant avec précaution l'ensemble de la zone à la recherche de la meilleure veine (bien emprisonnée dans les tissus, ne roulant pas).

Je procède alors, à l'aide d'une compresse et d'un antiseptique, à l'aseptie de la zone de prélèvement.

Ne pouvant plus toucher la peau du patient à mains nues, je mets une paire de gant, prépare l'aiguille en l'adaptant au porte tube puis je pique le patient, en tirant la peau vers le bas, d'un mouvement franc et l'aiguille biseau dirigé vers le haut.

L' étape suivante a donc été d'adapter le tube au porte tube et de retirer le garrot dès lors que le sang a commencé à couler.

Le tube rempli jusqu'au repère, le prélèvement est terminé, je place alors une compresse sèche au niveau de la piqure avant d'enlever l'aiguille d'un geste sec.

Le patient étant autonome et indépendant, il appuie fortement au point de prélèvement afin d'effectuer une compression pendant que je procède à l'élimination des déchets (aiguille dans le conteneur DASRI, gants et compresses dans le haricot...) et j'effectue l'identification des tubes de prélèvement en notant le nom et prénom du patient. Pour finir, je place le pansement sur le pli du coude du patient après avoir vérifier que la coagulation soit faite.

Après le prélèvement sanguin, la tension artérielle du patient était de 11/5

J'ai décidé d'analyser cette pratique car le prélèvement sanguin était un soin que je redoutais particulièrement. En effet, je ne supporte pas moi même les prises de sang et je les redoutent très particulièrement. Je trouve cela très douloureux et très désagréable. Je craignais donc énormement cette pratique. J'ignorais quel effet cela me ferait de piquer moi même quelqu'un. Aujourd'hui à la fin de mon stage, je pense qu'au début de ma pratique je « stressais » les patients, je demandais plusieurs fois par soins si le patient ne ressentait pas de douleurs. Lorsque j'effectuais le soin, je me mettais à la place du patient et j'imaginais ce que j'aurais pu moi même ressentir. Cela m'empêcher un petit peu de réaliser un prélèvement de qualité. En effet lorsque le sang ne coulait pas j'hésitais à retirer l'aiguille ou à bouger l'aiguille et je demandais souvent l'aide de l'infirmière. Malgrè mon appréhension, aucun patient ne s'est plaind de douleur au début de ma pratique. A

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