Francais

e de Perette, cas particulier emprunté à une farce médiéval. 2ème partie, LA FONTAINE généralise à travers 2 questions réthoriques. Vers 32 : particulier, vers 33, 34, 35 : généralise car englobe toute le monde, autant les sages que les fous. Puis LA FONTAINE termine au particulier en évoquant son propre cas.

Conclusion

Cette fable montre comment, s'inspirant d'une farce, LA FONTAINE parvient à railler un trait profond de la nature humaine: la propension à la rêverie, défaut dont le fabuliste lui même n'est pas exempté. La moralité implicite de cette fable n'est pa si simple. Peut on en effet vraiment conseiller d'éviter ses rêveries dont LA FONTAINE déclare qu'elles n'épargnent personne et qu'elles sont inhérentes à la nature humaine? La moralité de cette fable pourrait être: connaissons nous nous même? formule très proche de celle par laquelle le philosophe Grec SOCRATE prétendait acceder à la sagesse.