Lecture Analytique N°2 - Gérard De Nerval, « El Desdichado », Les Chimères
Dissertations Gratuits : Lecture Analytique N°2 - Gérard De Nerval, « El Desdichado », Les Chimères. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresnir. Il insiste sur son désespoir présent tout en évoquant le bonheur passé, ceux qui rend le présent plus douloureux. Contraire de ces deux états d'âmes.
c) Appel à une consolatrice
Il va comme invoqué une consolatrice entre l'apostrophe « toi qui m'a consolé » et l’impérative « rends moi ». Il s'adresse à cette personne comme une prière. La femme morte est le symbole de l'amour perdu. Cet appel à la consolatrice se poursuit dans les tercets avec des images symboliques comme le baiser de la reine. Il quitte l'idée de deuil en utilisant le rouge → espoir.
Personnages féminins à qui il fait appellent pour consoler mais qui vont accentué ce double sentiments chez le poète. C'est un poème assez ambiguë qui confronte des sentiments contraires et qui mettent en évidence un poète en quête d'inspiration.
II- Quête de l'identité
a) Noblesse déchue
Il va essayer de montrer que le poète est l'aristocrate de la connaissance. On voit par le titre qu'il est à la recherche de la noblesse perdu. Le titre nous interroge, quand n sait que cela signifie ''le malheureux'' on comprend qu'il est pas directe mais très vaste et il désigne quelqu'un dans sa caractérisation. Absence de qui on est, anonyme. On a un homme qui a perdu les titres de sa noblesse. Des le vers 3, il y a un enjambement, chute du haut tour, il se retrouve dans le vide. Il va donner 2 noms d'aristocrates « Lusignan et Biron » qui va accentuer cette quête. Les références à Amus et Phébus aussi. Il va donner un caractère réel à cette quête. La dernière chose qui nous montre qu'il est en quête d'identité sont les questions. Plus il cherche son identité, plus il est en doute sur celle-ci, le doute d'accentue. Le « je suis le ténébreux » va disparaître au profit de quelqu'un qu'on ne connaît pas.
b) Le doute sur l'identité
Plus il cherche son identité, plus il est en doute sur celle-ci, le doute d’accentué. Le « je suis le ténébreux » va disparaître au profit de quelqu'un qu'on ne connaît pas.
Les points de suspension accentue ce doute, sorte de suspension.
c) Le poème de la destinée
Plusieurs signe montre ce destin fatale. Notamment le symbole de la mort avec « la tour abolie » qui apparaît comme une déchéance. Il fait un va et vient incessant entre la terre et le ciel, la vie et le mort. Le seul point positive dans lequel il va montrer qu'il peut renaître est l'image de la lyre d’Orphée qui pourrait à nouveau venir l'inspiré. Il va s'identifier à Orphée comme à une sorte de magie qui montre qui peut sortir de cette descente au enfer. Le va et vient entre le « T » et le « R » montre le désir de mourir et l'espoir qui revient. Dans le premier quatrain il est dans le constat de sa douleur. Dans le 2ème quatrain il est dans la réflexion de sa douleur. Dans les tercets il est à la recherche d'un moyen qui pourrait le faire revivre. Une série d'image apparaît.
Conclusion : On est dans le lyrisme romantique puisque le poète exprime un mal de vivre en retraçant l'itinéraire de ces expériences qui n'ont aboutie qu'au désespoir. Cependant, grâce à la poésie qui devient une sorte de magie pour exprimer cette errance, il retrouve goût à la vie.
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