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Post-production argentique

Dissertation : Post-production argentique. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  26 Décembre 2019  •  Dissertation  •  1 455 Mots (6 Pages)  •  676 Vues

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I ) POST-PRUDCTION ARGENTIQUE

6 Étapes pour faire un film :

Développement (écriture, etc…)

Pré-production (repérage, etc…)

Production (tournage)

Post-production (montage, etc…)

Distribution (programmation)

Exploitation (projection)

la post-production commence, approximativement, deux semaines après le début du tournage.

La Post-Production, 2 étapes :

Étapes artistique (montage, étalonnage, mixage, etc…)

Étape technique (trucage, sous-titrage, encodage, etc…)

La Post-Production Argentique :

1er film : Un train arrive dans la gare de La Ciotat.

Cinéma muet, avec uniquement des plans séquence au départ (le montage n’existait pas)

Effet KOULECHOV : Un plan va induire la façon dont on va voir le suivent.

Montage traditionel :

A partir des rushs de base.

Les coupes est les assemblage sont fait avec des films adhésif.

Film envoyé au laboratoire pour les duplications.

Les étapes du développement d’un film :

Tournage en argentique : impression du premier négatif.

Assemblage de 5 bobines de négatif pour les envoyer au laboratoire.

Développement du négatif —> tirage du positif

Montage du positif.

Conformation du négatif.

Trucage argentique.

Tirage du négatif + Repiquage du son —> obtention de la copie 0.

Etalonnage (avec une chenille).

Parfois, tirage des bandes courtes (certains plans avec des ambiance différentes).

Tirage des copies.

Tirage des copies de series (destinées a être distribuées).

Découpe pour le transport.

Les 3 laboratoires de développement majeurs :

GTC Joinville le Pont

LTC Saint-Cloud

Eclair Epinay sur Seine

Les accessoires :

La chambre noire :

Machine de développement. Tout est développé dans des bains différents avec des températures différentes.

le coin sensitomètre :

Permet de savoir si il n’y a pas de soucis a niveau du développement et au DOP de savoir comment réagit sa pellicule a partir de la densité donné par le densitomètre.

La tireuse :

On tire le positif par contact. Le changement se fait dans le noir. Dans la tireuse il y a 3 filtres dichroïdes RVB qui filtre la quantité de lumière venant frapper le négatif.

L’étalonneur choisit les valeurs de tirage pour chaque plan.

le « trimmer » est un « préfiltre » qui calibre la puissance de la lampe en fonction de plusieurs paramètres (âge de la lampe, bain, pellicule, etc…)

la salle d’étalonnage :

On y effectue un étalonnage dit « une lumière » avec une lampe normalisé (comme le projecteur)

Le repiquage son :

Après le tournage.

Le signal pilote (signal étectrique ou la fréquence est proportionnelle a la vitesse du moteur) enregistré sur la bande 6,25mm va nous servir au moment de la recopie 16mm et 35mm.

La piste pilote joue son rôle pour retrouver la Synchro.

. Deux méthodes principal on été utilisé :

la Perfectone qui consistait a amplifier cette fréquence pilote et reconstituer un courant électrique triphasé qui sert a alimenter le moteur

La Négra qui consistait a asseoir le défilement du magnétophone 1/4 de pouce de lecture a la fréquence du secteur.

Le positif de montage :

Un positif correspond a l’ensemble des rushs négatif tirés. Il devient la copie de travail.

Le son est lui aussi sur la bande perforée.

Les différentes tables de montage : La Mavioda, CTM, Steenbeck, KEM.

LES ÉTAPES DE MONTAGE :

Le Dédoublage :

Création d’un bout-à-bout.

Les assistants extraient les différentes prises d’un meme plan de la bobine. L’image du clap fermé est noté au crayon gras sur la pellicule.

L’ensemble des prises de plan d’un séquence sont assemblé sur une meme bobine.

La Synchronisation :

Le son est livré sur une bande magnétique perforé de 35mm.

Les claps sont repérés, tout comme l’annonce et c’est sur la table assistant ou le son et l’image sont mis cote a cote pour le Synchro pour obtenir un bout a bout de la base synchrone.

Le Piétage / numérotage :

Pou ne pas perdre la Synchro, le stagiaire procède au piétage de ses supports. Cela consiste a numéroter les supports :

1 chiffre toute les 16 images en 35mm

1 chiffre toute les 40 images en 16mm

. Le chiffre repart à 000 des qu’il y a un clap. `

. 015 006 = 15ème plan et pied 6.

Il faut donc que les numéros soient alignés pour qu’il n’y ait aucun soucis.

Le Montage :

Le monteur marque la pellicule avec son crayon gras —> Création de l’ours.

Les assistants monteurs « montent au marques ». Afin de préparer le montage son, ils réorganisent les pieds des son direct.

Ventilation des paroles : la voix de chaque comédien est isolée sur une bande séparée.

Nettoyage des paroles : Les autres sons sont envoyés sur une bande dite « bande d’effets ».

Bouchage parole : On comble les vide avec de l’ambiance pour de pas sentir les coupes (avec de l’ambiance plateau ou silence plateau).

Toutes ces opérations mènent a la création du 1er montage.

on fait venir les personnes qui vont travailler dessus lors d’une diffusion.

On passe dans la version Final Cut.

LE MONTAGE SON :

Constitution d’un montage a partir de tous les éléments enregistrés pendant le tournage :

Effets, Ambiances, Bruitages,

Il faut savoir que le son se monte verticalement (superpositions).

Il existe 3 grands types de sons au cinéma : Paroles, Effets, Musiques.

Les Bruitages :

Les bruiteurs recréent des sons concrets partir d’objets hétéroclites qu’ils possèdent et accumulent, ainsi qu’à partir de leur corps. La difficulté

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