Roméo et Juliette

 Présentation du projet

Nombre de mots  + grille imprimé:

1. Références

« Domestic Movie Theatrical Market Summary 1995 to 2019 », sur le site The numbers, [https://www.the-numbers.com/market/], (consulté le 15 octobre 2019).

Magny, Joël et al., « États-Unis d’Amérique (Arts et culture) », dans Encyclopedia universalis, [https://universalis-sherbrooke.proxy.collecto.ca/encyclopedie/etats-unis-d-amerique-arts-et-culture-le-theatre-et-le-cinema/], (consulté le 15 octobre 2019).

1. Description (type et sujet)

Article informatif démontrant la façon dont le cinéma américain s’est imposé ainsi que ses statistiques économiques tel que les recettes, les revenus, les profits, etc.

Crédibilité

Un article publié par une encyclopédie reconnue. Écrit par un critique et historien de cinéma chargé de cours à l’université de Paris-VII, Joël Magny.

Appuyer par des statistiques retenues du Box-office.

1. Synthèse

Le cinéma américain prime son économie dès son début. Hollywood se change et ne prime plus la quantité comme avant. Elle fait une plus petite quantité de films avec un plus grand budget. Les technologies avancent et le prix de production augmente.  C’est dans ces moments que les plus grandes maisons de production se surpassent. Elles sont 10 principales, Disney y trône la première place en faisant 564 films avec un revenu total de près de 39 milliards de dollars américains, de 1995 à 2019. Lorsqu’un film est apprécié du public, des suites en découlent. Ce qui assure à la maison de production un public, un revenu et souvent le titre du meilleur film de l’année. De 1995 à 2019, 15 des meilleurs films de ces années sont des suites d’un succès passé.

1. Dictionnaire raisonné

Une « sequel » : Une « sequel » est la suite d’une œuvre ou son extension. Lorsqu’un film va avoir une bonne recette, l’histoire va se poursuivre sur un film suivant. Souvent, ils seront présenté d’un ordre chronologique, le protagoniste va être à sa deuxième année scolaire si on prend Harry Potter comme exemple. (50 mots)

Le revenu brut total : Le revenu brut total est la rémunération qu’un distributeur va faire avant toutes autres retenus ou prélèvements. De cette façon, on peut voir qui est la plus grande compagnie. Walt Disney l’est avec un total de 38 milliards de dollars, ainsi qu’une moyenne de 68 millions de dollars par films. (49 mots)

1. Références

Québec, ministère de la culture et des communications du Québec, « Statistique sur l’industrie du film et de la production télévisuelle indépendante », sur le site Statistiques gouvernementales, [http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/culture/cinema-audiovisuel/film2019.pdf], (consulté le 15 octobre 2019).

1. Description (type et sujet)

Site gouvernemental du Québec où les statistiques économiques reliées à l’industrie du film québécois tel que les recettes, les revenus et les profits sont présentés.

Crédibilité

Site gouvernemental du Québec, l’Institut de la statistique du Québec qui est une référence importante en matière de statistiques sur la culture.

1. Synthèse

Les salles de cinéma du Québec voient leur assistance diminuée depuis 1952, qui a été le moment le plus fréquenté avec un nombre de 14 entrées par habitant par année. Maintenant, l’assistance est de 2 par année. Pour les recettes au guichet, elles s’élèvent à 185,8 millions de dollars, en 2009. Cependant, elle est aussi en baisse avec une diminution de 14%, mais les entrées ont diminué de 25%. Ce qui indique que l’augmentation des prix des billets avec les différents choix de formats (Imax, 3D, D-BOX) maintient la diminution de la fréquentation.  Pourtant, le prix moyen d’un billet régulier se maintient depuis 1979 dans les environs de 8 dollars.