Victor Hugo Joyeuse Vie

eurs auraient pu être évités. V. Hugo a choisi de raconter ces moments de souffrances avec ce registre car le lecteur peut s'identifier aux personnages en difficultés.

Comment le fait-il ?

Le poète, utilise alors certains procédés pour atteindre son but : la compassion du lecteur. Il commence son poème par : « Caves de Lille ! » vers 1, ceci permet alors aux lecteurs de visualiser le lieu et l'endroit où se déroule l'histoire, les mines. Il met le mot « caves » au pluriels ce qui signifie donc qu'il parle d'un tout et non d'un seul lieu en particulier. Victor Hugo ajoute pour finir cette phrase un point d'exclamation, cela révèle l'importance de cet endroit pour lui. La suite de ce vers est « on meurt sous vos plafond de pierre », l'écrivain se met à la place des ouvriers lillois et s'adresse à une ou des personnes en particulier avec le mot « vos ». Il accuse ces personnes de cette injustice. Puis il dénonce les dommages causés par celle-ci, vers 4 et 5, les dommages, ce sont les veuves et les orphelins victimes de cette cruauté. Victor Hugo exprime durant tout le poème et avec des manières différentes, le registre pathétique. Il place même une anaphore vers 13 et 14, ce qui entraine une mise en valeur de cette « tyrannie » et surtout de cette inégalité, de cette injustice. Victor Hugo n'arrête pas, pour lui c'est important de faire comprendre aux lecteurs que ce drame est réel et place alors deux allitérations en «-r » aux vers 3 à 6 et aux vers 11 à 12, ce qui provoque une nouvelle fois la compassion du lecteur.

Pourquoi le fait-il ?

Pour Victor Hugo, cette situation a de l'importance et pour lui, cette vérité doit être éclaté au grand jour. C'est pourquoi il choisit d'écrire ce poème sur les ouvriers lillois en 1853. Ainsi pour lui, c'est un événement important à connaître, malgré ces cotés néfastes.

II/ Montrer que le poète souffre mais aussi dénonce les responsables de cette misère ouvrière

Le poète souffre

Victor Hugo, dévoile à travers ce poème ses sentiments, notamment la souffrance. Il trouve que cette injustice est de trop dans ce monde si dur. Il dit même que les ouvriers travail « De l'aube jusqu'au soir » vers 15 et que se travail est « Sans trêve, nuit et jour » vers 16. Cela signifie l'horreur de leurs vies. Et cette horreur que partage le poète le fait horriblement souffrir. Cette souffrance se voit très facilement dès le début du poème avec « J'ai vu, vu de ces yeux pleurant sous ma paupière » vers 2. Il répète deux fois le mot « vu » pour que le lecteur est la même sensation que lui lors de cet évènement.

Il dénonce les responsables de cette misère / Comment ?

Victor Hugo dénonce les responsables de cette misère tout au long du poème. Mais il leurs donne un nom qu'a partir du vers 8 « Princes ! » au pluriels, il y en a donc plusieurs. Il parle en particulier des responsables à la dernière strophe, avec « Sortent, monstres joyeux et couronnée de roses » ce qui signifie que ces responsables abusent des mineures car ils récoltent l'argent du travail effectué par ces ouvriers. Les responsables sont tout simplement : les « montres joyeux », des patrons exploiteurs.

Conclusion:

Ainsi, Victor Hugo entend dénoncé les exploiteurs de ces mineures lillois abusés, de plusieurs façons. Il exprime son mécontentement