Économie Agricole Sino-Africaine
Dissertation : Économie Agricole Sino-Africaine. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresrges horizons. Ils gardent d’étroites coordinations sur les questions internationales essentielles. Ainsi nous allons voir quelles sont les possibilités de coopération futures sino-française en Afrique dans le domaine agricole.
1/ Coopération politique
Ces dix dernières années, la confiance politique réciproque entre les deux pays s'est consolidée de jour en jour, le dialogue stratégique s'est approfondi continuellement, la coopération économique et commerciale s'est développée à un rythme accéléré et les échanges culturels ont gagné en intensité. Les Années croisées Chine-France, les échanges de jeunes et beaucoup d'autres manifestations ont permis d'approfondir la connaissance mutuelle et l'amitié entre les deux peuples. La relation sino-française est devenue ainsi un exemple de la coopération amicale entre pays aux passés historiques, aux traditions culturelles et aux niveaux de développement différents, avec un haut degré d'intimité et un caractère exemplaire et stratégique qui s'affirment chaque jour davantage. Les Chefs d'État ont exprimé leur profonde satisfaction à cet égard.
Multiplier les rencontres bilatérales et élargir le champ du dialogue stratégique sont l'une des priorités dans leur coopération agricole en Afrique.
Les relations politiques sino-française-africaines s’améliorent davantage. Les échanges de visite de haut niveau sont davantage renforcés et les dialogues et discussions politiques sous diverses formes sont nombreux. La Chine et la France appuient les pays africains dans leurs efforts pour gagner en puissance par le resserrement de leurs rangs et accélérer le processus d’intégration. Elle renforce également les échanges et la coopération avec l’Union Africaine et les organisations Elles participent activement aux opérations de paix de l’ONU en Afrique et finance les opérations de paix de l’UA. La Chine et la France ont envoyé de nombreux militaires en Afrique, répartis dans 7 zones de maintien de la paix.
Le principe du respect mutuel et de l’égalité jette une base politique solide pour la coopération sino-française-africaine. La Chine et les pays africains sont les deux des pays en voie de développement. Au lieu d’être un pis-aller, l’amitié avec l’Afrique fait partie de la tradition de la diplomatie chinoise. Les principes de base des politiques chinoises à l’égard de l’Afrique sont: respect mutuel, soutien mutuel, égalité et avantages réciproques et développement partagé. Les politiques chinoises à l’égard de l’Afrique appliquées depuis l’établissement de la Chine nouvelle il y a plus de 50 ans sont appréciées par la plupart des pays africains, ce qui permet de bonnes relations politiques et de l’amitié traditionnelle entre la Chine et l’Afrique, et fournit d’une garantie importante à la coopération commerciale sino-africaine. La France est un pays développé et qui aide énormément l' Afrique d'un point de vue économique mais également humanitaire. Donc une coopération multilatéral entre-eux surtout dans l'un des domaines les plus riches d'Afrique c'est-à-dire l'agriculture ne peut que renforcer ce pays et le rendre davantage autonome.
2/ Analyse des avantages de l'aide sino-française en Afrique
L’aide extérieure de la Chine, bien que d’un montant peu important, se réjouit d’une efficacité effective, d’un impact social important et d’un acquis politique positif. Cependant si on s'attarde sur la France on peut constater que le volume de l'aide publique française et sa structure montrent l'état de dépendance des pays Africains d'un point de vue économique ou même monétaire de la France. La France reste donc le premier fournisseur d'aide dans plusieurs pays d'Afrique. Les raisons en sont:
-La Chine exerce depuis longtemps une politique africaine basée sur la non-ingérence, afin d’éviter les risques politiques et d’assurer la durée et l’efficacité des projets. Les changements de gouvernements en Afrique ont donc peu d’impacts sur les projets d’aide, et les reversements de situation politique des pays bénéficiaires n’ont guère d’influence négative sur les projets. En ce qui concerne la France la coopération se traduit par de multiples échanges d'informations et de nombreux contacts physiques directe.
-Je pense que les projets d’aide franco-chinoise peuvent recevoir une bonne coopération de la part des pays bénéficiaires et susciter leur motivation. Ces projets, et notamment ceux dans les domaines agricoles, peuvent servir de résultats politiques pour les gouvernements, et reçoivent donc soutien et coordination des pays bénéficiaires. Cette coordination active est en outre basée sur l’absence de conflits de compétence avec le gouvernement.
-Le coût de main d’œuvre et d’accès à la société est faible pour la Chine. Les projets d’aide chinoise sont souvent confiés aux entreprises chinoises qui emploient les ouvriers chinois, dont le coût est relativement bas. De plus, la différence peu importante entre la Chine et les pays récipiendaire en matière de régime politique, économique et de composition sociétale réduit le coût d’accès à la société.
3/ Risques et solutions envisagés
Faute de terre car la Chine étant trop peuplée, la production chinoise est surchargée. Elle a donc choisi l'Afrique comme continent de coopération agricole car celui-ci est moins peuplée et plus étendu en terre. D'ailleurs désormais la Chine se développe en utilisant les matières premières africaines. La France a également besoin de l'Afrique pour le maintien de son industrialisation car l'Afrique est un continent riche en ressource naturelle.
Cependant cette coopération suscite de nombreux risques que se soit aussi bien au niveau politique, économique, sociales ou encore climatique.
En effet un accord bilatérale devrait être suivi entre la Chine et l'Afrique,Ici pour éviter les risques politiques il faudrait que leurs relations politiques reposent sur la confiance et la reconnaissance égalitaire. D'un côté la Chine et la France exploitent les terrains agricoles africaine et d'un autre côté elles leur permet le développement de leur secteur économique,
Cela doit être du gagnant gagnant pour qu'il y ait une bonne productivité de leur exploitation,
De plus pour éviter tous ces risques il devrait à la fois y avoir des travailleurs chinois allant en Afrique pour leur montrer comment travailler mais aussi avoir des travailleurs africains allant sur le terrain chinois pour mettre en confiance certains travailleurs africains et leur montrer une vraie coopération, Dans ce cas là, les travailleurs africains pourraient peut-être avoir davantage l'envie de travailler avec et pour les chinois.
On peut également aussi leur assurer la stabilité de leur emploi surtout si ce sont des paysans qui travaillent ou bien leurs accorder des sorte de prime afin qu'ils ne baissent pas les bras et continuent à être productif. L'aide extérieure française et chinoise doit être favorable au développement autonome des pays bénéficiaires en matière d'emploi ou de transfert de technologies et encore plus important la formation. Ici le mieux serait d'avoir un accord entre la France et la Chine pour installer un soutien financier et formateur en Afrique afin d'éviter une instabilité dans le développement de l'agriculture.
Mais ceci doit être sur du long terme car cela peut prendre beaucoup de temps pour voir que les efforts fournis portent leur fruit, Donc l'investissement doit être sur du long terme. A ce moment là il est préférable
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