Culture générale : vivre en société

Moustaid

Chahida

Culture générale « expression  personnelle

Vivre en société et le quotidien que nous vivons. Vivre entouré par sa famille, amis, collègues ou encore d’inconnu. Ils ont tous une influence sur notre manière de penser ou notre manière de faire. Dans ce corpus de 4 documents allant d’article (« Somme nous tous conformisme » par Héloïse Junier, « le groupe en psychologie sociale » de Dominique Obrélé). A pièce de théâtre (« Rhinocéros » par Eugene Ionesco), ou encore d’image caricaturale d’internet. Ils traitent tous le même sujet, le conformisme (le fait d’être semblable).

Mais dans la mesure où nous sommes anticonformisme, (on n’obéit pas aux règles) cela nous est-il toujours possible de demeurer libre ? C’est une question que nous allons étudier.

D’une part oui, car le conformisme enferme ! Par exemple on a tendance à mettre de coter notre propre avis pour ce ranger à celui des autres. Même si on n’est pas d’accord, dans l’expérience de Salomon Asch en 1951. Il a démontré que 36,8 % avait donné une réponse erronée à un test, alors qu’il était conscient de l’erreur. Pourtant ils ont fait le choix de ce rallier et de s’identifier aux autres, par peur d’exclusion et de solitude.

Alors qu’au contraire on devrait maintenir son opinion et sons sens critique. Si tout le monde avaient le même avis cela amènerais a la dépersonnalisation ou à l’uniformité. (Que chacun soit pareille et de la même manière).  

En 1958 Herbert C. Kelman a mis en évidence trois raisons, du pourquoi on avait tendance à ce laissé mener par le groupe. La première est qu’on se conformer à la complaisance, pour ne pas se faire remarquer et d’éviter les problèmes. Ensuite par identification, pour préserver les liens sociaux qu’on entretient. Puis par intériorisation on se laisse convaincre par l’intérêt de la majorité.

Malgré qu’il soit difficile de convaincre seul plusieurs individus, avec en plus le sentiment de pressions (par crainte du ridicule) on doit résister en se cultivant son idée, sa différence et son esprit.  critique.

L’effet de groupe peut rendre bête, dans le dessin de presse de « SE ASCH ». On remarque qu’un seul mouton demande ou ils vont (il fait preuve d’esprit critique). Mais le troupeau de mouton l’emporte pour ne pas réfléchir et poursuivre tous le même chemin. Alors qu’ils se dirigent tout droit à l’abattoir

Pourtant le conformisme permet de vivre paisiblement en société.

Vivre en société c’est respecter des règles commune, pour pouvoir vivre ensemble et en communauté. Par exemple si chacun crée ses règles sans prendre compte des autres, cela amènerais au conflit. Avoir le même avis sur divers sujets facilite les rapports sociaux, qu’on entretient. Comme dans l’expérience de Asch, être entouré de personnes donne un sentiment rassurant car on ne sent pas seul mais entouré.  

Pour finir le fait d’être semblable apporte des avantages mais des inconvénients. Personnellement on est obligé d’être conforme pour coexister, on doit respecter des règles simples. Comme arriver à l’heure aux travaille, respecter le code de la route pour ne pas mettre en danger autrui. Mais d’une autre part on est tous unique, on doit tous exprimer notre opinion sans porter attention au jugement des autre. Puisque au final on fait avancer nos esprits critique. Cela doit se faire dans le respect, même si on n’adhère pas une idée on doit la tolérer et non laisser seul dans la solitude. Pour finir si on était tous uniforme le monde ne serait pas tell qu’on le connait (il serait moins drôle).