Le" Tout Nucléaire "

s enregistrée en Allemagne. Les événements du Japon cumulés aux événements de Tchernobyl (le 26 avril 1986), pousse la population allemande à réclamer la fermeture des 17 centrale nucléaire du pays. Le nucléaire est très impopulaire en Allemagne, il y a 10 ans, la gauche avait prévu de tourner la page du nucléaire d'ici 2021, mais le gouvernement d' Angela Markel est revenu sur cette déclaration en prolongeant de 12 ans l'espérance de vie des centrales nucléaire mais les événements du Japon, les députés de l'opposition réclament la fermeture des réacteurs avant 2020. En attendant le résultat des contrôles des centrales allemandes, le gouvernement à décidé de fermer provisoirement les 7 plus vielles centrales.

Comparons les réactions de l'Allemagne avec celles de la France après l'accident nucléaire de Fukushima. La France jusqu'à aujourd'hui n'envisage pas de se séparer de l'énergie nucléaire, très peu d'experts croient que la sortie de l'énergie nucléaire soit possible, mais le désastre japonnais a quand même semé un vent de panique parmi les utilisateurs du nucléaire car la France possède le plus grand parc nucléaire civil de l'Union Européenne avec 58 réacteurs sur 143. Une demande est apparut pour la demande de la fermeture des 16 réacteurs les plus anciens, mais le premier ministre François Fillon, à appelé au calme car il plaide la sureté des centrales nucléaires françaises, tout en promettant de contrôler chaque centrale une à une.

Nous voyons très bien que l'Allemagne réagit plus durement que la France suite à l'accident de Fukushima, car en France le gouvernement est minimaliste face aux problèmes du nucléaire en affirmant que les centrales françaises sont les plus sûres, alors qu'en Allemagne le gouvernement à évoquer l'hypothèse de fermeture de toutes les centrales allemandes d'ici à 2020, mais à déjà fermé provisoirement les7 plus vielles centrales nucléaires en attendant les rapports d'expertises.

Les événements du Japon ont stopper les projets que c'étaient fixés l'Italie, ses projets étant de retour vers une énergie nucléaire, Paolo Romani, ministre du développement économique à

annoncé que l'Italie mettait en place un « moratoire d'un an ». Ce retour au nucléaire avait été décidé dans un décret-loi en 2008, qui était un projet phare du chef du gouvernement Silvio

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Berlusconi qui affirme que ce retour au nucléaire permettra de réduire le prix de l'électricité et d'atténuer la dépense énergétique de l'Italie. Mais depuis l'accident au Japon, les oppositions contre

le nucléaire s'est intensifié dans la péninsule, alors qu'un référendum pour dire « oui » ou « non » au nucléaire civil est prévu le 12 juin 2011, alors qu'il avait été abandonné en 1987 par référendum après la catastrophe de Tchernobyl. Les Italiens disent non au retour du nucléaire, alors que le

ministre de l'environnement affirme que l'Italie veut introduire le système nucléaire européen. Depuis 1999, plusieurs facteurs étaient favorables au nucléaire: Hausse des prix d'énergie d'origine fossile, problème de l'indépendance énergétique, la montée des taxation de CO2 pour lutter contre le réchauffement climatique, aujourd'hui 62 réacteurs sont en construction dans le monde, en particulier dans les pays émergents, le marché du nucléaire est énorme mais cela peut très vite changer en particulier lorsqu'il y a un accident lié au nucléaire. Mais tout cela est remis en cause car de son côté l'Allemagne envisage de suspendre sa décision de prolonger la durée de vie des centrales. Ailleurs les débats font rage car les antinucléaire ont gagnés des points suite à l'accident du Japon.

Greenpeace joue un rôle très important dans la sortie du nucléaire des différents pays membres de l'Union Européenne, comme on a pu le remarquer en Espagne, car le président espagnole, M. Zapatero, avait promis lors de ces deux campagnes électorales qu'il ferait sortie l'Espagne de l'énergie nucléaire. Greenpeace lui a demandé de tenir ses promesses car depuis le début de son mandat M. Zapatero semble vouloir lui aussi prolongé la vie des centrales nucléaires espagnoles, cette alternative semble être confirmée par la ministre de l'économie, Elena Salgado, a estimé que l'accident du Japon ne devait pas affecter les débats espagnoles car des études affirme qu'un tel séisme ne pourrait pas se produire en Espagne.

Le nucléaire est d'autant plus remis en cause par le fait qu'on définit les centrales du Japon comme exemples en terme de sécurité en cas de risques sismiques et donc cet accident de Fukushima à blessé à mort la légende de la sécurité du nucléaire. Greenpeace estime que le « mythe de la sûreté nucléaire » est remis en question, 25 ans après la catastrophe de Tchernobyl, on se rend compte que dans un pays réputé très sur comme le Japon, la catastrophe arrive quand même! Selon Greenpeace, cela devrait inciter tous les pays nucléarisés à revoir leur position, notamment le Japon, où plus de vingt projets de réacteurs sont envisagés.

En France un réseau a été mis en place, il se prénomme « sortir du nucléaire » affirme que continué l'activité nucléaire relève de l'inconscience, ce réseau a également révélé en juillet 2007, que les centrales nucléaires françaises n'étaient pas aux normes sismiques.

Il y a aussi l'exemple des écologistes d'Alsace, qui ont rappelés que la centrale nucléaire de Fessenheim ( la plus vieille centrales de France, âgée de 35 ans ) qui est en attente d'une réponse concernant la continuation de sa production est attendue en avril car celle-ci est placée dans une zone sismique. Les écologistes affirment que l'accident qui s'est produit au Japon pourrait se produire en Alsace. Les écologistes « lanceur d'alerte » n'ont pas été écoutés au Japon, pas plus qu'en France, cela est d'autant plus grave que ces deux pays on tout misé sur le nucléaire, sans en débattre. Les risques sismiques sont craints par les organismes car cela est fortement dangereux pour les centrales nucléaires mais rappelons que dans le sud de la France dispose de centrales nucléaire dans le sud qui sont soumises aux risques d'inondations, ont vues leurs durées de vie prolongées de 10 ans.

En Italie, l'organisme antinucléaire se prénomme « La gambiente » a demandé au gouvernement de faire marche arrière concernant le retour au nucléaire prévu depuis 2008, qui était censé être concrétisé en 2020.

Pour conclure, nous pouvons dire que chaque pays de l'Union Européenne commence a remettre en cause l'utilisation du « tout-nucléaire » comme nous le montre les différents exemples ci-dessus. Surtout que l'événement du 11 mars 2011 n'est pas le seul accident qui est causé des dégâts sur des centrales nucléaires des pays de l'Union Européenne, il y a l'exemple de Tchernobyl

le 26 avril 1986, mais il y également le nouveau tremblement de terre qui à touché le Japon une nouvelle fois et que à de nouveaux touché la centrale de Fukushima le 7 avril 2011 avec une

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intensité de 7,4 sur l'échelle de Richter. Ces événements sont des ouvertures contre l'utilisation du nucléaire pour les différents organismes antinucléaires qui dénoncent une nouvelles fois les risques

en courus par la continuité du fonctionnement des centrales nucléaires.

De nombreuses alternatives existent pour résoudre les problèmes de l'utilisation du nucléaire en Union Européenne. Ces alternatives sont en pleine expansion depuis quelques années. Depuis le XX éme siècle des énergies renouvelables voient le jour, mais ces moyens doivent être capables de continuer à produire autant que peut le faire le nucléaire. Il y a déjà eu une alerte dans les années 1970, avec le rapport « Halte à la croissance » avait publié un rapport « Facteur 4 » en 1995, faisait le point sur les technologies disponibles pour produire les mêmes biens et services qu'aujourd'hui en utilisant quatre fois moins de matières premières non renouvelable. L'utilisation des énergies renouvelables s'est intensifié depuis la déclaration du gouvernement concernant le réchauffement climatique, certes ces énergies ont des avantages pour combattre au réchauffement climatique mais elles ont également des inconvénients car ces énergies ne seront pas aussi rapidement rentable que ne l'ai le nucléaire, ces énergies sont rentable sur le long terme et elles coûtent extrêmement chères à mettre en place, ce qui pose problème aux différents gouvernements de l'Union Européenne car cela serait une trop grande perte pour ces gouvernements. Mais ces énergies sont déjà mises en place dans les pays de l'Union Européenne, comme l'Autriche qui est totalement antinucléaire, renouvelle le débat de la proximité des ex-centrales soviétiques, alors qu'il y avait déjà eu un référendum qui avait classé cette énergie anticonstitutionnelle en 1978. Les manifestations des autrichiens ne cesse depuis six ans contre la centrale Tchèque qui se trouve à 45 km qui se prénomme Temelin, dans les rues fleuries de Haute Autriche voir leur murs remplis d’affiches jaunes fluorescentes qui demande