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SR ifsi

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Par   •  12 Janvier 2020  •  Cours  •  3 475 Mots (14 Pages)  •  518 Vues

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Dans le cadre de ma simulation en soin relationnel, j’étais étudiante en deuxième année en stage en service de neurologie. C’était ma 3eme semaine de stage, j’étais en horaire d’après midi et à 16h,  l’IDE du secteur me demande d’effectuer un entretien d’information auprès d’un patient qui part le lendemain en MDR (médecine physique de réadaptation) et répondre à ses éventuelles questions. Il s’agit de Monsieur F. Monsieur F est un patient qui a été hospitalisé pour un AVC ischémique sans origine connu, il est à J6 de son hospitalisation et il présente une hémiprasie droite depuis le début de son hospitalisation. Je vais vous exposer le dérouler de l’entretien, l’analyse de l’entretien ainsi que les améliorations que j’aurais pu faire pour améliorer le dérouler de l’entretien.

Tout d’abord parlons de l’entretien, il est 16h, je me dirige vers la chambre du patient pour effectuer cet entretien d’information. Arrivée devant sa chambre, je toque et j’attends qu’il me dise pour rentrer pour rentrer dans sa chambre. Je suis face a un patient assie sur son fauteuil. Je me présente en disant que je suis doriane une étudiante infirmiére de deuxième année et je lui dis que je suis la pour lui apporter des précisions quant à son départ demain et bien entendu répondre à ses informations. Il me réponds « eeee » et dans l’immédiateté je lui demande si je peux m’asseoir. Le patient me réponds oui qu’il n’y a aucun soucis. Puis il commence s’est interrogation : il me demande si c’est bien demain qu’il part en réadaptation), je lui confirme qu’effectivement son départ se fera demain et qu’il a été informé ce matin par la cadre du service lui a précisé ce matin.

Et la il me dit qu’il ne parvient pas à faire sa toilette encore tout seul et me demande comment de temps va durer cette rééducation. Je lui réponds que sa sa dépendra de son évolution, de comment va se passer la rééducation, et que c’est difficile de déterminer un temps précis car c’est pas nous qui décidons, c’est un médecin présent au centre de reéadaptation qui va, suivre son évolution et qui décidera sa… je lui précise que généralement c’est quelques semaines. Le voyant inquiet, j’essaie de minimiser la chose en lui disant que c’est vraiment très aléatoire… et vraiment propre à chacun en fonction des progrès qu’il fait. Mais je l’informe sur l’importance de faire cette réadaption afin de parvenir à retrouver une certaines autonomie qui lui permettra par la suite de retourner à son domicile. Et pour sa toilettes je lui explique qu’en médecin de réadaption c’est une équipe pluridisciplainaire qui le prendra en charge (AS, Kiné, Psy, Diet, Assistante sociale etc), je le rassure sur le fait qu’il serait bien accompagné, aidé pour la toilette.

Il me demande ensuite s’il va voir un médecin pour voir comment il s’organise, car il a deux chats qui sont seul à la maison et sa fille qui voyage souvent et est actuellement absente, c’est chat étant seul depuis pas mal de temps déjà. Pour le médecin je dis que je vais voir avec l’équipe mais que s’il veut en voir un je pense que se sera possible. Suite à sa je le questionne sur le fait qu’un voisin ? ou un membre de la famille peut éventuellement venir lui nourrir ses chats. Il me dit qu’il n’a aucun voisin qui pourront lui rendre service car il ne s’entends pas avec eux. Je lui demande s’il a parlé de cette contrainte à un membre de l’équipe soignante ? Il me dit que non … du coup n’arrivant pas à trouver de solution pour ses chats, je lui dis que je vais le signaler à l’équipe pour qu’on essaie ensemble de trouver une solution. Je lui exprime la possibilité de faire de la rééducation de journée, c’est-à-dire rentrer le soir à la maison, et venir la journée au centre, ce qui lui permettrais ainsi de s’occuper de ses chats. Mais je lui explique que cela ne sera possible que lorsqu’il aura déjà un peu récupérer en terme d’autonomie. Donc je lui dis que c’est pas une solution immédiatement mais qu’il pourra utiliser cette option par la suite, en en parlant au médecin du service de réadaptation. Suite à sa il me demande que comment il fera pour aller et repartir de l’hopital de jour, je lui dis que c’est pas dans l’immédiat et qu’il va falloir encore patienter et qu’il verra sa avec le médecin mais que des solutions exister avec des transport type (ambulance, VSL…), je lui dis qu’il n’a pas a s’inquiéter que l’équipe le renseigneras.

Ensuite, il aura une rechute de l’AVC, je lui dis qu’il faut être prudent surtout durant les premières semaines qui suivent l’évènement car le risque est particulièrement élevé. En effet je lui explique qu’un AVC c’est une rupture de la plaque d’athérome. Je lui dis qu’après il faudra faire de la prévention, pour éviter une récidive, c’est-à-dire prendre le traitement, adapté son hygiène de vie, avoir une alimentation équilibré, équilibré son diabète, le surveiller et le contrôler. Il comprends mes paroles et me demande si du coup, il ne pourra plus manger de charcuterie à tout les repas. Je lui dis qu’a tout les repas c’est trop l’idéal mais une fois par mois, il peut se faire plaisir mais sans abuser et en prendre en trop grande quantité.

Il revient ensuite sur sa plus grande inquiétude qui sont chez chat à son domicile seul depuis longtemps, je le rassure en lui disant qu’on va trouver une solution mais que moi toute seule, à ce moment précis ou je lui parle je n’en vois, ainsi je dois faire appel à l’équipe pour solutionner ce problème. Il comprend et me demande de faire vite.

Enfin, il m’évoque une douleur affreuse au niveau de la cuisse, je lui demande s’il est tombé, s’il s’est cogné ? Car je ne comprends pas la cause de cette douleur. Il me dit qu’il souffre énormément, je lui propose d’évaluer sa douleur qu’il dose à 5/10. Il me demande un massage. Mais étant donné que je ne comprends pas pourquoi il a mal car il n’a pas de pansement compressif ni rien, je lui dis que je vais me renseigner auprès d’une infirmière pour savoir pourquoi il a mal, et que je reviendrais vers lui avec une solution, soit un antidouleur, soit pour lui faire un massage.. mais que je dois voir sa avec l’équipe.

Je lui demande s’il a d’autres question, il me dit que NON, je lui dis que je reste à sa disposition et je lui dis que je vais revenir une fois que j’aurais interrogé l’équipe concernant sont : soucis avec ses chats, concernant sa demande à voir un médecin et surtout concernant sa douleur à cette cuisse que je ne parviens pas à expliquer. Je lui dis que je vais traiter son problème de douleur en priorités.

Je lui demande s’il a besoin de quelques choses, s’il est bien installé, il me demande de lui mettre le cousin derrière la tête, je m’exécute, je lui demande s’il est plus confortable à présent, il me réponds que oui. Il me remercie pour toute ses réponses. Je dis qu’il n’a pas de soucis et que je reste à sa disposition.. Je quitte ainsi la chambre !

Après l’analyse de la situation :

Pour la communication verbale :

Au niveau de la relation professionnelle communicante, je pense que j’ai adopté un vocabulaire adapté, suffisamment compréhensible pour le patient, professionnel mas intelligible. J’avais des connaissances cliniques, que j’ai su mettre à profit pour répondre au différents questionnements de mon patient et ainsi le rassurer. J’avais des connaissance concernant comment aller se dérouler sa readaptation, j’avais des connaissances sur l’AVC et sur comment faire de la prévention et lorsque je n’avais pas de soluition j’évoquer le fait que je devais me renseigner auprès de l’équipe pour pas lui donner des réponses fausses. Cependant lors du TD, notre groupe n’avait eu d’informations comme quoi il était sous lovenox et avait d’autre traitement, donc forcement lorsqu’il m’a parlé de sa douleur à la cuisse, moi je n’ai pas pensé au lovenox car on avait pas eu l’information et pour moi la piqure de lovenox se fait dans le ventre et non dans la cuisse. C’est pour sa que j’ai manqué de connaissance à ce niveau la… enfin plutôt d’information.

Je parlais clairement et lentement, en articulant afin qu’il est le temps de comprendre mes dire et d’y réfléchir. j’avais un timbre de voix clair, calme, posé et celui-ci a été le même durant tout l’entretien même lorsqu’ils a insisité par rapport au fait que ses chats était tout seul, je ne me suis pas agacée, j’ai bien compris l’importance de sa demande.

Cependant, j’ai rencontré des difficulté à m’exprimer, à trouver mes mots, lorsque moi-même j’avais des doutes sur ma réponse ou lorsque je ne savais pas si ma réponse allait le satisfaire. Du coup j’ai eu des secondes de bégaiements, d’hésitation, avant de me reprendre pour éviter de perdre en crédibilité, et de faire peur au patient. Mon but étant de l’informer, de le rassurer et de solutionner les problèmes de mon patient si je le pouvais bien entendu. Dans le cas ou je ne le pouvais me référer à l’équipe soignante du service.

De même lorsque je suis rentrée dans la chambre du patient pour effectuer l’entretien, je me suis trop précipité en demandant directement au patient si je pouvais m’asseoir après mettre présenter, sans même lui laisser le temps de parler, j’aurais du prendre plus le temps de me posé et d’observer l’environnement avant d’entamer la discussion. De même j’aurais pu demander au patient «comment il allait », sa aurait pu être une première approche, moins brutale que la mienne je pense et sa aurait facilité la relation de confiance. A ce moment là, étant donné que c’était ma première simulation, je pense que le stress a joué en ma défaveur. Heureusement, le patient malgré ma précipitation a tout de même accepté de créer un dialogue.

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