SVT : La biodiversité

Perraud-Grange

Anthony

Seconde 1

Devoir maison : Science et Vie de la Terre

Partie 1 : La biodiversité

1) D’après le document 1, on remarque que la biodiversité croît de – 600 Millions d’années (MA) jusqu’à -450 MA.

A partir de là, le nombres de familles est resté stable jusqu’à -220 MA.

Ensuite, une baisse conséquente du nombre de familles intervient durant l’ère Trias.

Pour conclure, après cette diminution importante, la biodiversité marine a haussé régulièrement.

2) La connaissance humaine sur la biodiversité du passé est assez floue. En effet, la fossilisation est un fait extrêmement rarissime. Le reste des organismes vivants se décomposent et donc ne laisse aucune trace pour analyse. De plus, plus les roches sont anciennes, plus il est rare de les trouver ce qui réduit les chances de trouver d’anciens fossiles qui nous permettraient de connaitre la biodiversité antérieure.

On peut donc dire qu’il est ardu d’avoir une connaissance précise de la biodiversité du passé et que rares en sont les témoins.

3) A l’heure actuelle, il est difficile de se prononcer sur cette affirmation « La biodiversité est-elle plus importante aujourd’hui qu’il y a 100 millions d’années » car, comme vu avec le document 2, nous n’avons pas les connaissances exactes du nombre d’espèces qu’il y avait il y a des milliers d’années auparavant.

Certaines espèces ont prospérés, d’autres se sont éteinte et d’autres ont vu le jour mais autant, il est impossible de savoir si la biodiversité actuelle est plus conséquente qu’avant.

Partie 2 : Une espèce menacé – Le Guépard

1) On remarque, grâce au document 2, que la diversité génétique est très faible. En effet, comparé aux autres espèces tel que le drosophile (>40%) ou encore l’homme (>30%), le guépard n’a quant à lui seulement 2% de diversité génétique.

2) En dehors de la destruction de sn habitat et du braconnage, le guépard doit faire face à une autre menace tout autant dangereuse que les 2 autres. Il s’agit d’une malade virale appelé la péritonite infectieuse. Cette maladie est fatale chez les guépards.

3) Selon les différentes espèces présentent sur le document 2, celle qui serait la plus susceptible d’être menacé par un pathogène infectieux est le léopard. Se rapprochant beaucoup en termes d’espèce avec le guépard et ayant une diversité génétique peu élevé (<10%), le léopard est donc enclin à être une espèce dont les effectifs risquent d’être fortement atteints.