Suis-Je Plus Libre Sans Autrui ?

e ou encore le désir de vengeance. Ceci enlèvera aussi d’autres sentiments comme l’honneur, la gloire, la fierté… Nous pouvons prendre pour exemple Victor de l’Aveyron, qui fut découvert à l’âge de 9-10 ans le Tarn de l’Aveyron. Cette Enfant à vécu toutes sa vie dans la forêt, sans autrui, et sans semblable à lui, nous avons remarqué qu’il n’avait pas de sentiments, pas de pitié et il ne pouvait pas communiquer avec les humains… Ils mirent des années à retrouver chez cette enfant une sensibilité, des sentiments, une faculté de raisonnement et surtout lui apprendre à communiquer.

Mais il y a aussi des inconvenants si nous sommes seuls, des inconvenants pour prendre sur notre liberté.

Nous pouvons l’affirmer par exemple suivant. Nous n’aurions pas de médecine, ne qui serait assez grave en cas de maladie. Ceci pourrait largement diminuer l’espérance de vie. Ou alors il n’y aurait pas de personnes pour produire la nourriture, nous devrions manger seulement les aliments naturels que nous trouvons dans la nature. Il n’y aurait aucune sociabilité. Il n’y aurait pas de progrès dans la société. Il n’y aurait pas de supérieur. Vivre seul doit être bien ennuyeux.

Sans autrui nous ne connaisserions pas le sentiment d’amour, le fait d’aimer quelqu’un, ce sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, et qui nous entraine a adopter un comportement particulier, plus ou moins rationnel. Le seul amour qui serait présent dans ce cas là est l’amour de soi, car sans autrui nous ne pouvons penser qu’à nous même et naturellement nous ne pouvons donc point nous souciez du regard des gens.

Si nous sommes seuls sans autrui nous ne pourrions pas faire la différence entre le bien et le mal, nous n’aurions aucune, moral, aucune conscience. L’être humain sans autrui ne serait pas ce qu’est être gentille ou être méchant. Sans autrui nous serions tout simplement dans un pur naturelle car rien n’aurait pu nous changer, ni les idées s’une société ou les idées d’autrui ou quoi que se soit. Sans autrui l’homme ne penserait plus qu’aux besoins naturels comme se manger, boire, dormir et respirer.

Nous pouvons comparer ce fait aux bergers d’Arcadie, qui est une société parfaitement pacifique qui aurait vécus des temps dans un pays où tout était propice à l’être humain.

Plusieurs philosophe s’intéresse à la question d’autrui comme par exemple Descartes (1596-1650) qui imagine une machine ayant l’apparence de l’être humain se demande si il rencontrait une de ces machines par quel moyens il pourrait la différencier d’un véritable être humain, il met alors en avant la Raison et les Sentiments, et qui fut un discours a ce sujet en 1836. Rousseau (1712-1778) qui fut l’auteur du livre Emile en 1751 qui est un traité raconte l’éducation d’un jeune garçon qui est un personnage fictif mais qui permet à Rousseau de donner ses idées sur l’éducation.

Pour conclure nous pouvons donc dire que le fais d’être plus libre sans autrui ouvre un débat. En effet sur ce sujet il y a des points positifs et négatifs. Nous pouvons alors le voir par cette thèse et antithèse de ce devoir. Nous voyons de certaines oppositions parmi les affirmations. En tout cas je pense que certaines personnes dans ce monde rêveraient