Synthèse Techniques d'Expression Sport Moderne

’est surtout l’établissement de règles : Bien que le dopage existe déjà dans le sport antique, il sera, au même titre que la triche, condamné et puni. Il y a une mise en place de règlement, où tous les athlètes sont égaux (l’ « égalité des chances », aussi appelé « l’agon » dans l’antiquité).

Les records apparaissent dans le sport moderne ainsi que les paris sportifs (nous sommes toujours au 18ème siècle).

Le sport devient plus qu’un simple divertissement puisque l’on va s’identifier dans le sport. Le sport permet le sentiment d’appartenance à un groupe.

II/Le sport ou notoriété international

Différentes utilisations du sport sont évoquées dans les textes :

* Les Etats utilisent le sport pour montrer la puissance de leur régime : Patrick Mignon donne pour exemple celui de Mussolini et Hitler qui utilisent le sport pour montrer la force du fascisme. Raymond Thomas en faisait déjà allusions dans son texte, où il expliquait, de manière moins développé, que le sport était une véritable arme politique (par exemple, la non-participation aux Jeux Olympiques des pays ayant perdu la 2nde guerre mondial).

* Certains utilisent le sport pour être reconnu et obtenir leur indépendance (Cas de la RDA, du Kenya etc.) qui cherchent par le sport une reconnaissance extérieure. C’est une idée commune de Patrick Mignon et de Raymond Thomas.

* Permet d’atténuer les tensions entre les pays.

* Boycott de compétions par certain pays pour affirmer leurs mécontentements vis-à-vis de la politique du pays organisateur.

Selon Patrick Mignon, le sport moderne permettrait de mélanger les races, les nationalités, et était donc accessible à tous. Dans son texte, Raymond Thomas nous explique que dans l’antiquité, le sport n’était pas accessible à tous. Par exemple, en Grèce, les esclaves n’étaient pas autorisés à pratiquer le sport. Chez les étrusques, ce sont les femmes qui étaient mises à l’écart.

Enfin, Le sentiment d’appartenance est devenue très fort (par exemple le Black power, l’engouement dans le rugby en écosse etc.) mais aussi avec les groupes de supporters s’identifiant à leur équipe par leurs tenues, chants et hymnes.

III/ le sport et l’économie

Cette notion de sport économique et commerciale est exprimée principalement par Jean François Bourg ; mais Raymond Thomas l’exprime lui aussi brièvement.

Pour Raymond Thomas, le sport n’est plus un combat EST/ OUEST mais est devenu une guerre économique. Il qualifie le sport d’entreprise tout comme Jean François bourg qui met en avant l’importance des actionnaires.

Les valeurs du sport ont donc changés pour les deux auteurs, aujourd’hui on assiste à un conflit d’intérêts : les sponsors financent les émissions sportives et exigent un retour de publicité important, et la télévision qui paye les organisateurs de compétitions exigent de bonnes horaires.

Les auteurs mettent donc en avant le fait que le sport est devenu purement commercial en s’éloignant de ses réelles valeurs.

Cependant Jean François Bourg va plus loin dans son argumentation. Il estime que les grandes instances du sport ont succombés au gisement financier que le spectacle du sport permet et n’a pas protéger ses valeurs originelles tout comme l’évoque Raymond Thomas. Il va mêmes plus loin en disant que le sport est instrumentalisé par des finalités qui lui sont externe.

Mais c’est tout de même Jean François Bourg qui met en relation le sport et le monde économique. Il dénonce les méfaits de l’argent dans le monde du sport. Tous les sponsors souhaitent être présent sur toutes les grandes compétitions à l’image de coca-cola et de grandes entreprises rachètent des clubs dans l’objectif de les rendre de plus en plus rentables (vente de produits dérivés, spéculations boursières.)

Dans de nombreux sports les clubs doivent répondre aux stratégies des actionnaires majoritaires puis leur rendre des comptes.

Jean François bourgs caractérise les clubs de sport comme des entreprises à part entières, qui ont pour objectif de faire du profit. Mais l’auteur met en lumière des inégalités engendrées par cette vision économique. En effet, si les clubs les plus forts s’enrichissent, les clubs les plus faibles s’affaiblissent, et cela remet en cause l’égalité des chances et réduira l’incertitude des matchs qui sont des éléments caractéristique du sport évoqué par l’ensemble des auteurs, notamment par Raymond Thomas.

De plus la notoriété du sport risque de régresser. En effet certains dirigeant souhaiteraient mettre en place un championnat de football regroupant les meilleurs équipes européenne, ce qui priverais les différents championnats de leur meilleur et détruirais l’image du sport au profit de l’argent qu’il rapporte.

L’auteur n’évoque pas que des effets négatifs envers l’argent dans le sport et explique même qu’il est vital pour celui-ci. En effet il permet l’installation de complexe sportif et méthode d’entrainement permettant la pratique du haut niveau.

A travers ces textes, nous avons constaté que le sport s’est éloigné de ses valeurs. Il est aujourd’hui régit par l’argent qui semble le pervertir même s’il reste vital pour le sport.

Après l’étude de ces textes, nous avons relevé certaines critiques que nous allons maintenant énoncer.

CRITIQUES

1) (Critique Alex)

2) (Critique Thibault)

3) Le sport n’est pas forcément une source d’intégration.

Les auteurs, notamment Patrick Mignon, précisent que le sport est source d’intégration.

Nous pouvons dire qu’ils ont raison, pour les points suivants :

Les personnes peuvent s’intégrer par le contact social, par la compétition ou bien par le niveau. Notamment les immigrés qui ont du mal à s’adapter ne serait-ce qu’avec la langue, peuvent s’intégrer par le biais d’un club sportif, et ainsi se faire des relations, des amis.

Les