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Vie politique Française de 1945 à nos jours.

Cours : Vie politique Française de 1945 à nos jours.. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  22 Novembre 2016  •  Cours  •  990 Mots (4 Pages)  •  1 184 Vues

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Le retrait du général De Gaulle

On voit très vite un conflits apparaitre entre les deux partis de gauche et DG; il veut un gouvernement ou l’exécutif est fort, et veut effacer la 3e république et le fait que les partis politique décide de tout. Pour rédiger la nouvelle constitution, ils vont réunir une partie des parlementaire dans une commission (tous les partis sont présents dans l’assemblé constituante). Un régime parlementaire classique est en projet avec un parlement monocamérale; les socialiste et les communiste vont écarter le MRP ce qui va avoir des conséquences; ils veulent abaisser le pouvoir du président.

De Gaulle assiste impuissant à ça, et le MRP de souhaite pas aller au combat face aux partis de gauche. Le président va demander à suivre l’évolution de la constitution, mais sa demande va être refuser sous l’excuse de la séparation des pouvoirs. Il va alors tenter le coup de choc en donnant sa démission 20 janvier 46, pour choquer l’opinion publique pour le prendre à témoin. Il va donner une dimension théâtrale à sa démission (il à une très haute estimée lui), mais le MRP de va tout de même pas le suivre car il y en à même qui vont être content. La personnalité de DG était bien durant WW2; mais la France de 46, la France qui va se reconstruire n’as pas besoin de DG, la nouvelle démocratie va abaisser l’exécutif. Le MRP va alors travailler avec la gauche; le 23 janvier 46 les trois partis passe une charte de tripartisme, un contrat. Ils se mettent d’accord pour trouver un successeur à De Gaulle, le jour même Félix Gouin est nommé président du conseil. De base du SFIO il fait son gouvernement tripartisme.

2) Le rejet du premier projet constitutionnel

Le PCF tien à une assemblé unique, ceux de gauche disent qu’il faut un exécutif faible; la SFIO est sur la même position, elle suis les traditions de la gauche mais se dit qu’il n’est pas plus mal d’avoir un exécutif faible car si les communiste prenne le pouvoir.

Le MRP veut plus de poids à l’exécutif avec led doit de dissolution, et ne veut pas d’assemblé unique. Il veut une seconde chambre (sénat) qui à de vrai pouvoir et qui puisse équilibrer les pouvoirs. Mais les partis de gauche on trop de poids et le projet est accepter. Le 5 mais 46 il y à un référendum pour voter le projet.

De Gaulle se mur dans le silence, c’est alors le MRP qui va faire campagne pour le NON et les gauchiste pour le OUI.

Les Français on dit NON à 53%. Ce résultat ce traduit par la compréhension du peuple que le régime à était écrit par le partis communiste: c’est l’anti communiste qui ressort grace au MRP.

Mais il faut alors réélire une assemblé constituante; le 2 juin 1946 au suffrage universel direct. Le tripartisme est toujours prépondérant; mais ce n’est plus dans le même ordre:

MRP avec 28% des voies 169 élus

PCF 26% 153 élus

SFIO 21%

Radicaux 12%

Modérer 13%

Se recul de la SFIO est du à son image de second du PCF, elle est dominer par le PCF. Et le MRP prend de l’avance car c’est le seul partis qui peut tenir tête au communisme. La SFIO tombe à se moment la et ne remontera jamais. Il n’y a donc plus de majorité marxiste et la gauche ne peut plus gouverner seul, ils n’ont plus la majorité.

C’est Georges Bidault qui devient président du conseil, il est du parti du MRP et fait rentrer l’UDSR

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