Historiographie histoire moderne
Cours : Historiographie histoire moderne. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar lg max • 10 Juin 2019 • Cours • 2 742 Mots (11 Pages) • 605 Vues
d histoire moderne
n1 :
introduction a l’historiographie de la révolution française
la révolution est un moment qui a construit des symboles ré activement activés. On peut dire que la révolution a posé les structures desquels pour certains on dépend toujours : société nouvelle encore actuelle plus de 200 ans plus tard. Par csq on peut pas avoir un regard distancié (1794 – 1795), on peut pas être objectif. Notamment en raison des divergences politiques qui se sont construites a cet époque et qui ont légués des héritages toujours vifs de nos jours. c’est l’une des raisons pour laquelle on trouve des débats entre chercheurs historiens concernant l’époque révolutionnaire.
I – faire l’histoire de la révolution entre 1789 et la fin du XIXe siècle :
a – écrire ds l’événement : l’histoire de la révolution pendant la révolution
l’histoire s’est fait pendant les 1eres heures de la révolution. On trouve des ouvrages sur la révolution qui commence avant 1789. la périodisation qui commence la fin de la révolution : 1799 ou 1815.
elle a commencé a l’époque de la révolution et on peut dire d’autres période faisant l'objet de récits, de mémoires. Les acteurs de la révolution sont conscient de vivre un événement révolutionnaire. Tout au long de la période (1789 - 1799) il y a de nombreuses histoire de la révolution : rabaud st etienne qui écrit un précis historique de la révolution fr depuis 1789. des les débuts la révolution est en débat : divergences politiques par exemple lavicomterie (radical) qui en 1789 publie un texte historique : les crimes des rois de France depuis Clovis jusqu’à louis XVI. Quelques années plus tard louis marie prudhomme reprend la même rhétorique en la retournant contre la révolution : histoire générale et impartiale des erreurs, des fautes et des crimes commis pdt la révolution. Le texte est imprimé en 1797.
l’écriture de la révolution est partisane des le début, et les débats sont vifs. On peut même dire que des le début l’écriture de l’histoire de la révolution est une action politique.
B – les débats historiographiques relatifs a la révolution, des monarchies censitaires au second empire (1815 – 1870)
la restauration en 1815 rompt avec la dynamique revolutionnaire meme si les acquis ne sont pas remises en causes. Cette periode est particuliere : les derniers acteurs et témoins de la rév meurt. Mais aussi que de nbrx memoires sont écrit en 1820 – 1830.
pour la 1ere fois le récit de ces témoins se confrontent a d’autres ecrits ceux qui sont produits par des ateurs plus jeunes qui n’ont pas connu la révolution, qui ne l’etudie qu’a travers la documentation : adoplhe tiers (propose une lecture plus ou moins nunacé de la rév : condamne les violences populaires et violences officiels mais qui souligne les libertés politiques et économiques acquise par la bourgeoisie).
Ainsi tout long du 19e siecle la rev fr perpetue les luttes de la révolution fr (pt de vue de la noblesse,
bourgeoisie ect).
Entre 1847 et 1853 on a michelet : histoire de la revolution francaise : erudution fonde sur les archives avec un style romantique dans le but de retrouver la rev par les cris. Il souligne le rôle du peuple et un bel exemple de revolution par le bas. Ds le meme temps la rev est conceptualisé, parmi ces auteurs sont : tocqueville. Il insiste sur la continuité et minimise la rupture par la révolution et il voit : une continuité de la centralisation du pouvoir apres la monarchie absolue. Par ailleurs il y aussi edgar quinet (pour la continuité) : il etudie la violence révolutionnaire qui selon lui n’est pas propre a la révolution. Il regrette l’incapacité de la révolution a rompre avec l’histoire de l’ancien régime. Il regrette la contiuité de l’apect monarchique de la révolution. Il regrette aussi la vigueur du catholicisme que la rev l’a encore et n’es pas parvenu a chasser de la société francaise.
La révolution est presente chez les philosophes de l’histoire tel que kant, marx (la critique de l’etat hégélien). Il fait de la revolution une etape : liberté et promotion de l’individu, la rev fr met fin a lordre feodal au profit de lordre bourgeois et d’un nouveau systeme de production : le capitalisme. Cette rev politique appele a une nouvelle revolution qui serait sociale. Marx est consideré comme un théologue tel que kant et hegel.
C - la III eme et l’avenement de lecole méthodique :
l’école méthodique est une école bataille.
l’état républicain est intervenu dans cette construction de l’histoire comme une science avec la volonté de parachever l’histoire nationale. Les historiens, organisés comme profession, se donnent des regles scientifique, dans lesquelles n’intervient pas le politique. Ce moment correspond à la fondation de la revue historique (1876). De plus, on voit certains intellectuels comme : fustelle de coulanges commencer a affirmer que l’histoire se doit d’etre une science objective, qu’elle doit se fonder sur la critique des documents. Ces intellectuels se sont élevés pour refuser l’histoire dans sa version philosophique.
Ainsi dans les années 1860 – 1870, une critique commence à émerger, voulant construire l’histoire comme une science objective, de type expérimental. Cette école méthodique s’affirme au moment au moment ou la IIIeme republique a besoin de reperes et de symbole pour construire sa legitimité aussi bien a l’interieur qu’a l’exterieur face a l’empire allemand. La revolution fr fournit un certain nombre de symbole et c’est dans cette perspective qu’ai fondé en 1888 la société de l’histoire de la revolution francaise. Date majeur car c’est le centenaire de la revolution de 1789 et la republique qui a besoin de cette legimité.
Alphonse aulard (le 1er titulaire de la chaire d’histoire de la révolution francaise fondée à la fin des années 1890) qui ds cette ecole methodique ecrit une histoire politique de la revolution fr publié en 1901 : Histoire politique de la révolution francaise un livre scientifique qui est marqué par son engagement vers la république. Par ailleurs il à écrit aussi 10 commandements de méthodes : toujours puiser aux sources, ne présenter que des résultats originaux, en présentant ses références, éviter les insertions sans preuve, distinguer les faits importants des faits insignifiants, présenter les faits de manière impartiale dans la réthorique (l’histoire se distingue de la literrature). Le principal manuel de méthodologie destiné aux étudiants qui compile les regles de la scientificité de l’histoire est rédigé par victor langlois et charles seignobos (médiéviste et moderniste) : introduction aux études historiques (1898). Ces textes sont marqués par l’engagement républicain de ces auteurs.
II – faire l’histoire de la révolution au XX eme siecle :
a – la revolution au prisme du pluralisme politique :
la revolution avec jean jaures. Les socialistes se tiennent a lecart de la rev fr (discours et heritages) et les socialistes preferent d’autres evt et d’autres symboles tel que la commune de paris ou l’internationnale, le mur des fédérés. Jaures concilie de maniere ideo lheritage socialiste et la rev fr : une histoire socialiste de la rév francaise. Neamoins c’est aussi une action politique qui permet delargir lelectorat socialiste (apres la mort de jean jaures et avant). Les communistes font aussi pareille dans les années 30 – 40.
ds la seconde moitié du 20 e siecle la gauche nn communiste propose une lecture nuancé de la rev en retnant les acquis démocratiques mais en rejetant la radicalité. La droite gauliste qui par definition rassembleuse au dessus des partis integrent les idees de la revolution. Seule l’extremedroite rejete lheritage révolutionnaire aussi bien que celui bien des lumieres. d’une maniere general au bicentenaire dsles années 80 – 89 que lextremedroite fait de la rev fr le point dorigine des totalitarismes et elle qualifient la repression de la contre rév dela vendée comme génocide. Elle est soutenu par quelques revolution a paris IV : reynald secher.
Les travaux de jacques martin vont souligner les erreurs de pierre chaunu ou de reynald secher. Ce n’est donc pas un génocide mais une réprésssion.
B – les annles et l’affirmation d’une lecture economique et sociale de la révolutionnaire
on s’interesse au peuple, oublié des sources officieles, arcchives, des méthodiques. On s’interesse aux gens qui bossent, a la production eco. A la fin du 18e s la production agriole reste ds les annales.
Ernest lavisse qui est un histo et s’interesse a la crise agricole et eco de la fin des années 1780.
g.levefre insiste sur le rôle des paysans ds la révolution, son rôle politique. Il n’ y pas que paris qui fait la révolution par exemple lefvre sest interesse aux paysans du nord. Ses travaux se reduisent pas les causes
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